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Abécédaire de
Les humains savent qu'il faut cesser de prédater
L'inscription en fer forgé « Arbeit macht frei » (« Le travail rend libre ») symbolisant l’entrée de l’ancien camp de la mort nazi.
C’est dégueulasse ce que la majorité d’entre nous est prêt à faire pour un emploi et un peu d’argent. Nous devenons des défenseurs d’un Système qui nous trahit.
La CAUSE de bien des maux et de la Pauvreté : l'Élitisme et ses hiérarchies de revenus par l'Équité/Concurrence/Méritocratie.....L'empire britannique élitiste s'est associé, depuis plus d'un siècle, avec les USA, la France, le Canada.... pour exercer une domination mondiale avec des outils de décision centralisés.
Les gens confondent l'Équité avec l'Égalité: alors qu'ils sont opposés.
Une classe sociale qui en opprime une autre, ne saurait être libre!
La valeur d’une personne humaine ne se définit pas au mérite ni à l’effort. La valeur est autre chose qu’une proportion, qu’un échange monétaire. La valeur c’est ce qui nous sert à tous, ce qui nourrit bien, ce qui amène du confort à tous. La valeur fait de la qualité de vie un droit! LE VRAI MÉRITE EST DANS LE SOUCI DES AUTRES. Nous méritons tous de mener une vie décente
L’Équité crée l’inégalité et justifie les différences de revenus.
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Les Pays Guerriers ont fait de nos bourgeois des traîtres envers leurs populations..... et ça continue de nos jours...... car drs ''bozos'' trahissent leurs collectivités pour un job et un peu d'argent et se justifiant qu'ils et qu'elles n'ont pas le choix; qu'il leur faille bien survivre et payer leurs logements .....et le crime continue et s'excuse de s'excuser ...
Les Élites et les bourgeois en majorité souffrent du syndrome d'asperger (insensibilité aux autres) car ils n'ont aucune empathie envers les autres. Ce sont des autisme à l'amour fraternel: et ils sont nombreux ces personnes de nos joursNos élites souffrent de piller ou de contribuer aux pillages sur leurs collectivités
Dirigeants de ce Monde,
les citoyens de la Terre ne sont pas des fourmis, pas à exploiter, pas de la main d'oeuvre ni des manouevres ou encore des locataires, pas à hiérarchiser, pas à punir ou à récompenser, pas vos sujets ...... mais VOS ÉGAUX.
NOUS TOUS, LES 7 MILLIARDS D'HUMAINS: SOMMES PROPRIÉTAIRES/GESTIONNAIRES/ACTIONNAIRES/BÉNÉFICIAIRES SUR TOUT: sur l'Économie, sur le Commerce International, sur la Marine et les Sous-Marins, sur les Banques et les multinationales, ....... SUR TOUT ... TOUT ... TOUT ......
La prostitution des citoyens qui s’offrent aux idéologies bourgeoises de la compétition et du mérite afin de survivre.
Cessons d’être achetables... Les exploiteurs, jadis laissaient leurs esclaves danser le soir pour se défouler, mais ce n'était que l'illusion de la liberté, Et les ''slaves'' ainsi ''dopés'' d'illusions et d'auto-mensonges recommençaient vaillamment chaque jour à consolider ce Commerce d'Esclaves..
Quand les gens sont traités comme des animaux, ils finissent par vivre comme des animaux. La danse comme mécanisme de défoulement, comme langage, comme plainte, comme évacuation des tensions...... oui cela on peut bien le comprendre: mais lorsqu'il ne reste que la danse pour s'exprimer et qu'on se croit livres ainsi, là on fait pitié.
Mais on danse pourquoi??? Dansons-nous avant les repas? Non! Dansons-nous tous les jours? Non!..... La musique et son rythme nous portent naturellement à danser, à se lever et à se laisser aller. Jusqu'ici, la danse est naturelle et saine: car la douceur et le plaisir nous meuvent.
NE NOUS LEURRONS PLUS, les décors ont changés, mais nous restons toujours prisonniers des Èlites qui défendent leurs valeurs hiérarchiques de l’Équité et de
La souffrance, la compétition, la hiérarchie et la pauvreté nécessaires sont le discours des profiteurs
Les gens confondent l'Équité avec l'Égalité: alors qu'ils sont opposés. L’ÉQUITÉ C’EST L’ÉGOÏSME EN STRUCTURES. Construire les murs et le toit d’une maison (équité) sans une fondation solide (égalité) ce serait mal travailler.
Hélas, l
La déshumanisation DE TOUT SYSTÈME est due à l’aspect inégalitaire du travail et des différences salariales qui oublie les besoins vitaux et les droits écono-sociaux de bases de tous!
La violence commence en imposant une hiérarchie et la certitude que des personnes humaines sont plus importantes que d’autres et que d’autres leurs doivent soumissions.
«Ni Droit, ni Loi, ni Justice, ni Équité ne satisfont à l’Égalité. On s’est malheureusement donné des Droits et des Lois pour éviter de Partager également LE BIEN COMMUN»! «Dans le combat, il y a toujours un perdant : tandis que dans le Partage, tous y gagnent» !
Il n’y a que l’Égalité Monétaire, pour les besoins de Base, qui devrait soulever la marche des Peuples !
« La valeur d’une personne ne se définit pas au mérite ni à l’effort » ! La valeur est autre chose qu’une proportion, qu’un échange monétaire. La valeur c’est ce qui nous sert à tous, ce qui nourrit bien, ce qui amène du confort à tous. La valeur fait de la qualité de vie un droit!
Belle morale et belle éthique sociale que de croire que les plus forts méritent plus que les plus doux et les plus raisonnables ; que les plus agressifs et les mieux syndiqués, que les réalistes-suiveux et les plus compétents méritent plus que les normaux de pourvoir aux besoins de leurs familles.
«Faut-il être malade pour vouloir s’élever au-dessus des autres et les contrôler»? Faut-il être arriéré et dérangé pour entretenir l’idée que des gens méritent plus que d’autres; de croire que la pauvreté est nécessaire; qu’il faille souffrir pour grandir!
«Toutes les personnes humaines sont essentielles à
Mai qui donc sont en bas de toutes hiérarchies ? Les Peuples hélas!
TANT QUE DES GENS SERONT ACHETABLES POUR UN JOB ET UN PEU D'ARGENT
Les classes bourgeoises-opportunistes et achetables par Londres nous parasitent, et avec culot elles viennent nous mépriser.
L'ÉLITISME MÈNE AUX ABUS DES UNS SUR LES AUTRES, AUX DÉVIANCES ET AUX CRIMES..... Les bourgeois sont des DÉMUNIS de sensibilitéss citoyens à l'esprit élitiste de la vie de combat. Sortons de la vie animale, ÉVOLUONS!
Documentaire de Pierre Falardeau ''LE TEMPS DES BOUFFONS''
1985. Pierre Falardeau ---DÉNONCE LES COLONIALISME DES BRITANNIQUES --- il filme le monde où il n'y a plus de possédés, mais que des possédants qui se donnent en spectacle. Dans la grande salle de festin du Queen Elizabeth Hotel à Québec, les masques se posent sur des masques - ceux de l'argent, ceux du pouvoir..... colonisés québécois déguisés en colonisés québécois, garnis de sangliers énormes et d'autres gibiers à poil et à plumes. La table est en fête.
Documentaire de Pierre Falardeau ''LE TEMPS DES BOUFFONS''
1985. Pierre Falardeau ---DÉNONCE LES COLONIALISME DES BRITANNIQUES --- il filme le monde où il n'y a plus de possédés, mais que des possédants qui se donnent en spectacle. Dans la grande salle de festin du Queen Elizabeth Hotel à Québec, les masques se posent sur des masques - ceux de l'argent, ceux du pouvoir..... colonisés québécois déguisés en colonisés québécois, garnis de sangliers énormes et d'autres gibiers à poil et à plumes. La table est en fête.
CEUX QUI CRÉENT LES PAUVRES: ÉLITES ET BOURGEOIS HIÉRARCHISTES
Texte de Pierre Falardeau tiré de son documentaire ..LE TEMPS DES BOUFFONS''
C'est ca, le Beaver Club il y a 200 ans. C'est la mafia de l'époque. ... Toute la gang est là : un beau ramassis d'insignifiants chromés, médaillés, ...
On est au Ghana en 1957, avant l'indépendance. Jean Rouch tourne un documentaire, Les Maîtres fous, sur la religion des Haoukas. Chaque année, les membres de la secte se réunissent pour fêter. Ils sont possédés. Possédés par des dieux qui s'appellent le gouverneur, le secrétaire général, la femme du gouverneur, le général, la femme du docteur. En 1957, le Ghana, c'est une colonie britanique... quelques rois nègres pour faire semblant, mais les vrais maîtres sont anglais. Une colonie avec tout le kit: Union Jack, God Save the Queen, perruques, cornemuse, pis la face de la reine en prime. Ici, on connaît.
On est au Québec en 1985. Chaque année, la bourgeoisie coloniale se rassemble au Queen Elizabeth Hotel pour le banquet du Beaver Club. Ici, pas de possédés, juste des possédants. A la table d'honneur, avec leur fausse barbe et leur chapeau en carton, les lieutenants gouverneurs des 10 provinces, des hommes d'affaires, des juges, des Indiens de centre d'achats, des rois nègres à peau blanche qui parlent bilingue. Comme au Ghana, on célèbre le vieux système d'exploitation britanique. Mais ici, c'est à l'endroit. Ici, les maîtres jouent le rôle des maîtres, les esclaves restent des esclaves. Chacun à sa place!
- Bonsoir, mesdames et messieurs. Good evening, ladies and gentlemen. My name is Roger Landry. I am your president of the Beaver Club. It is my privilege to welcome you to the twenty-seventh annual dinner of the Beaver Club celebrating this year the two-hundredth anniversary of the Beaver Club in Montreal. Sont réunis ici ce soir, dans cette illustre enceinte, des personnalités dont le seul nom évoque assurément la grandeur et l'honorabilité; puisque, en fait, à cette table ils sont tous honorables. En titre... Mais rassurez-vous, ce soir, exceptionnellement, ils redeviennent tous humains et les règles du protocole sont dès maintenant abolies. Avant de ce faire, j'ai reçu, il y a quelques instants, Je vous souhaite à tous une soiré agréable et au Beaver Club beaucoup de succès dans les années à venir. The right honorable prime minister of Canada, Brian Mulroney."
Des bourgeois pleins de marde d'aujourd'hui déguisés en bourgeois pleins de marde d' autrefois célèbrent le bon vieux temps. Le bon vieux temps, c'est la Conquête anglaise de 1760; par la force des armes, les marchands anglais s'emparent du commerce de la fourrure. Chaque année, les grands boss se réunissent pour fêter leur fortune. Ils mangent, ils boivent, ils chantent. Ils s'appellent McGill, Ellice, Smith, Frobisher, Mackenzie. C'est ca, le Beaver Club il y a 200 ans. C'est la mafia de l'époque. Ils achètent tout : les terres, les honneurs, les médailles, le pouvoir, tout ce qui s'achète. La gang de fourrure forme lentement l'élite de la société. Les voleurs deviennent tranquillement d'honorables citoyens. Ils blanchissent l'argent sale en devenant banquiers, seigneurs, politiciens, juges. C'est ça, le Beaver Club au début.
Deux cents ans plus tard, leurs descendants, devenus tout à fait respectables, font revivre cette fête par excellence de l'exploitation coloniale. Le gros Maurice, ministre des Forêts, devenu boss d'une multinationale du papier. Jeanne Sauvé, sa femme, administrateure de Bombardier, d'Industrial Insurance, et gouverneuse générale. Marc Lalonde, ancien ministre des Finances, maintenant au conseil d'administration de la City Bank of Canada. Francis Fox, ministre des Communications, engagé; par Astral Communications. Toute la gang des Canadiens français de service est là, costumé en rois nègres biculturels. Des anciens politiciens devenus hommes d'affaires. Des anciens hommes d'affaires devenus politiciens. Des futurs politiciens encore hommes d'affaires.
Toute la rapace est là: des boss pis des femmes de boss, des barons de la finance, des rois de la pizza congelée, des mafiosos de l'immobilier. Toute la gang des bienfaiteurs de l'humanité. Des charognes à qui on élève des monuments, des profiteurs qui passent pour des philanthropes, des pauvres types amis du régime déguisés en sénateurs séniles, des bonnes femmes au cul trop serré, des petites plottes qui sucent pour monter jusqu'au top, des journalistes rampants habillé en éditorialistes serviles, des avocats véreux, costumés en juges à 100 000$ par année, des liche-culs qui se prennent pour des artistes. Toute la gang est là : un beau ramassis d'insignifiants chromés, médaillés, cravatés, vulgaires et grossiers avec leurs costumes chics et leurs bijoux de luxe. Ils puent le parfum cher. Sont riches pis sont beaux; affreusement beaux avec leurs dents affreusement blanches pis leur peau affreusement rose. Et ils fêtent...
Au Ghana, une fois par année, les pauvres imitent les riches. Ici, ce soir, les riches imitent les riches. Chacun à sa place... Les bourgeois anglais se déguisent en bourgeois anglais, les collabos bilingues s'habillent en collabos bilingues, souriant et satisfaits, les Écossais sortent leur jupe écossaise, les Indiens se mettent des plumes dans le cul pour faire autochtones. On déguise les Québécois en musiciens pis en waiters. Les immigrés? Comme les Québécois, en waiters! Chemises à carreaux et ceintures fléchée. Manque juste les raquettes pis les canisses de sirop d'érable. Des porteurs d'eau déguisés en porteurs de champagne. Alouette, gentille alouette!
C'est toute l'histoire du Québec en raccourci. Toute la réalité du Québec en résumé : claire, nette pour une fois, comme grossie à la loupe. Ce soir, les maîtres fêtent le bon vieux temps. Ils fêtent l'âge d'or et le paradis perdu. Ils crient haut et fort, sans gêne, leur droit au profit, leur droit à l'exploitation, leur droit à la sueur des autres. Ils boivent à leurs succès. Ils chantent que tout va bien, que rien ne doit changer, que c'est pour toujours... toujours aux mêmes, toujours les mêmes.
Ils sont pareils partout... à New York, à Paris, à Mexico. Je les ai vus à Moscou vomir leur champagne et leur caviar sur leurs habits Pierre Cardin. Je les ai vus à Bangkok fourrer des enfants, filles ou garçons, pour une poignée de petit change. Je les ai vus à Montréal dans leur bureau avec leurs sales yeux de boss, leur sale voix de boss, leur sale face de boss, hautains, méprisants, arrogants. Des crottés avec leur chemise blanche pis leur Aqua Velva. Minables avec leur Mercedes pis leur raquette de tennis ridicule. Comme des rats morts. Gras et épais avec leurs farces plates pis leurs partys de cabane à sucre. Pleins de marde jusqu'au bord à force de bêtise et de prétention. Crosseurs, menteurs, voleurs. Et ça se reproduit de père en fils. Une honte pour l'humanité!
Au Ghana, les pauvres mangent du chien. Ici, c'est les chiens qui mangent du pauvre. Et ils prennent leur air surpris quand on en met un dans une valise de char.
- Ensemble, merci au chef, nos applaudissements, nous lui disons merci. Ladies and gentlemen, together let's thank magnificently. Bravo! Et maintenant, as president of the Beaver Club, may I say to you the following : never any club has been so honoured and so magnificently rewarded on its two-hundredth anniversary to have such a magnificent membership as you are. A vous tous, nos membres, à nous tous, applaudissons-nous. We are magnificent people and I raise my hat to all of us. Bravo. You are as beautiful as I think I am. Thank you very much. Good evening. Bravo. Good night. Tout le monde, les serviettes, on fête, on témoigne notre appréciation. Everyone, yes, that's right! Bravo.
Applaudissons-nous. We are magnificent people. Quelle bouffonnerie!
- Bravo. God bless you.
"Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux."
La Boétie
Les Valeurs Fraternelles au Fondements socio-économiques établiront naturellement l'Ordre.
Le développement de la personne à travers les différents âges de la vie a été hiérarchisé en fonction des classes dirigeantes.
La hiérarchie établit une maladive certitude que certaines personnes sont plus importantes et meilleures que d’autres, et méritent aussi plus ! Les classes inférieures, dédaigneusement rejetées passent pour anarchiques, rebelles. «On ne doit pas s’élever au-dessus et sans les autres : mais avec les autres»!
Le vol est installé entre nous par les hiérarchies du Mérite et de l’Équité, le Privé (Multinationales et Banques de
Les attributs sociaux doivent être fondés sur nos différences magnifiques les uns les autres et sur nos Droits Économiques et Collectifs; et non sur l’utilité et la contribution de chacun en cette société.
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