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lundi 20 octobre 2008

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Aluminium et Vaccins: provoquer des symptômes de la fatigue, de la ...

Les vaccins contenant de l’aluminium peuvent provoquer des symptômes de la fatigue, ... dû à leur occidentalisation rapide après la seconde guerre mondiale , ...

Aluminium et Vaccins
Dr. Jean PILETTE M.D.
Docteur en médecine Membre du E.F.V.V.(European Forum for Vaccine Vigilance), Belgique 15-11-2004

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Les vaccins contenant de l’aluminium peuvent non seulement provoquer des réactions locales au site d’injection, mais aussi des symptômes généraux durables, comme de la fatigue, de la fièvre, des douleurs musculaires et articulaires. Cet ensemble de symptômes constitue une nouvelle maladie, la myofasciite à macrophages, qui a été mise en évidence pour la première fois en 1993. Les symptômes qui l’accompagnent ressemblent étrangement à ceux du syndrome de fatigue chronique et à ceux du syndrome de la Guerre du Golfe .

ALUMINIUM :Etat naturel – Extraction - Utilisation

L’aluminium est, sur notre terre, le plus abondant des métaux. Dans la nature, il n’existe pas à l’état libre. Combiné à l’oxygène, au fluor et au silicium, il constitue environ 8 % de l’écorce terrestre.

L’aluminium est le 13ième élément du tableau de Mendeleïev, situé entre le magnésium, 12ième élément, et le silicium, 14ième élément. Avec un poids spécifique de 2,699 à 20°C, c’est un des métaux les plus légers.

L’aluminium pur fut pour la première fois publiquement présenté à l’Exposition Universelle de Paris en 1855. HEROULT en France et HALL aux USA brevetèrent indépendamment en 1886 un procédé d’obtention électrolytique de l’aluminium au départ d’oxyde d’aluminium dissout dans de la cryolithe fondue. Ce procédé fut supplanté par celui de Karl-Joseph BAYER qui déposa en Autriche en 1888un nouveau brevet pour l’extraction de ce métal. Le procédé de BAYER consiste à extraire l’aluminium de la bauxite, un minerai d’oxyde d’aluminium, grâce à une série de réactions nécessitant de très hautes températures.

L’aluminium est un métal léger, très malléable, bon conducteur de la chaleur et de l’électricité. Ces propriétés permettent de l’employer pour de nombreux usages. On le retrouve dans l’industrie des moyens de transport (vélos, motos, automobiles, avions), dans l’industrie du bâtiment, dans l’industrie électrique, dans l’industrie de l’armement. Il entre dans la fabrication de nombreux ustensiles de cuisine et d’appareils électro-ménagers.Il sert à divers emballages et intervient notamment dans le conditionnement de multiples denrées alimentaires aussi bien liquides que solides. On le retrouve ainsi dans les cannettes, les boîtes de conserves, les feuilles d’aluminium, les barquettes et les platines en aluminium.

Sous forme de chlorure, l’aluminium sert de catalyseur. Sous forme d’alun, un sulfate double d’aluminium et de potassium, l’aluminium est utilisé pour précipiter les impuretés des eaux souillées ; rendues ainsi « potables », ces eaux traitées sont alors injectées dans le réseau de distribution qui dessert les consommateurs. Sous forme d’alliages, l’aluminium sert en dentisterie pour la réalisation de prothèses et d’appareils dentaires. On peut aussi le retrouver dans des prothèses utilisées en chirurgie orthopédique. Il entre également dans la composition de pesticides, de médicaments, de déodorants, de pommades, de dentifrices, de vaccins…

Rob Robertson, M.D. – «La plupart des problèmes dont souffrent les humains et les animaux, à l’exception des traumatismes, peuvent être mis en relation avec des déficiences du système immunitaire». La pollution, l’excès de médicaments et une alimentation pauvre en éléments nutritifs, sont autant de facteurs qui compromettent le bon fonctionnement de notre système immunitaire. La clef d’une bonne santé est un système immunitaire très fort qui peut protéger le corps de la grippe, comme du cancer. Les médicaments ne constituent pas la réponse adéquate pour améliorer le fonctionnement du système immunitaire. Les antibiotiques combattent l’infection, mais n’ont aucun impact sur les causes de l’affaiblissement du système immunitaire. Il est connu par exemple que les vétérinaires holistiques se préoccupent moins des éléments qui ont causé la maladie que de ceux qui ont affecté les défenses mêmes du corps. encore

ALUMINIUM :ROLEDANSCERTAINESPATHOLOGIES

Le rôle biologique de l’aluminium n’est pas connu. On ignore la fonction qu’il pourrait exercer à l’état de traces dans l’organisme humain. Par contre l’on sait que son accumulation peut être à l’origine de diverses pathologies. C’est pour cette raison que, depuis quelques décennies, ce métal a retenu l’attention de nombreux chercheurs dans le domaine de la santé.

Chez les dialysés rénaux une série de troubles, essentiellement de trois types, apparaissaient après un certain temps : une anémie, une ostéomalacie (ramollissement des os) et une encéphalopathie (atteinte du cerveau) que l’on a aussi appelée « démence des dialysés » 1,2.On s’est aperçu que ces malades accumulaient l’aluminium. Leur système rénal ne parvenait pas à éliminer ce métal et la quantité importante d’aluminium que leur apportait l’eau de dialyse augmentait leur problème3,4. Il s’agissait donc d’une véritable intoxication à l’aluminium que l’on a cherché à traiter par des mesures diététiques 5et avec des médicaments chélateurs de l’aluminium 6,7.

La maladie d’Alzheimer est une maladie du système nerveux central. Des pertes de mémoire, une tendance à la désorientation, une confusion mentale et souvent une dépression en constituent les premiers symptômes. Elle évolue en une détérioration progressive des facultés intellectuelles. C’est la plus courante des démences des personnes âgées. Les cellules du cerveau de ces patients contiennent jusqu’à 20 fois plus d’aluminium que celles des sujets normaux8,9.

Une fréquence élevée de maladie d’Alzheimer a été constatée dans des populations buvant une eau de boisson contenant plus de 100 microgrammes d’aluminium par litre 10,11.

Des régions de l’ouest du Pacifique, la péninsule Ki au Japon, l’ouest de la Nouvelle-Guinée et la plupart des îles de l’archipel des Mariannes, ont un sol et de l’eau riches en aluminium, manganèse, fer et silicium et pauvres en calcium, magnésium et zinc. On constatait dans ces régions une fréquence particulièrement élevée de deux maladies de dégénérescence du système nerveux central : la sclérose latérale amyotrophique, caractérisée par une paralysie ascendante et progressive, et la maladie de Parkinson, maladie caractérisée par du tremblement et de la rigidité musculaire, conséquences de la destruction de certains noyaux centraux du cerveau12,13,14,15 .

Un dépôt anormal d’aluminium a été retrouvé dans le cerveau de patients de ces régions atteints de l’une de ces deux maladies 16,17,18,19.

L’étude approfondie de nombreux de ces cas a permis de comprendre que la haute incidence de ces deux maladies dans ces régions était plus le fait de facteurs environnementaux que de la présence de facteurs génétiques 20,21,22,23.

Un changement des habitudes alimentaires et de l’approvisionnement en eau potable de ces populations, dû à leur occidentalisation rapide après la seconde guerre mondiale, a provoqué, dans ces régions, une baisse spectaculaire de la fréquence de la maladie de Parkinson et de la sclérose latérale amyotrophique 12,24,25.

On a cherché à mettre des animaux dans des conditions alimentaires analogues à celles qu’avaient connues ces populations de l’ouest du Pacifique. Les expérimentations, tant sur le rat que sur le singe, ont confirmé le rôle prépondérant de l’alimentationdans la genèse des maladies du système nerveux qui affectaient ces populations26,27,28,29.

On soupçonne donc l’aluminium de jouer un rôle dans l’éclosion de certaines formes de démence et de dégénérescence du système nerveux central30,31,32,33,35,36.

L’aluminium possède une action délétère sur les astrocytes, cellules nourricières du cerveau. Des expériences sur cultures de tissu ont montré que de fortes doses d’aluminium provoquaient la dégénérescence de ces astrocytes et, par voie de conséquence, la mort du tissu nerveux qu’ils nourrissent37.

Les astrocytes sont reliés entre eux par un réseau de prolongements cytoplasmiques par où peuvent transiter les éléments nécessaires au bon fonctionnement du système nerveux comme les ions, les métabolites, les hormones. Cette communication intercellulaire entre astrocytes est entravée lorsque ces cellules sont exposées à l’aluminium38 .

Des expériences sur le rat ont montré que l’aluminium accélère le processus de vieillissement des structures nerveuses du cerveau 39 .

L’aluminium peut s’accumuler dans de nombreux organes et y provoquer des dégâts. Les organes les plus souvent touchés sont le cerveau 35, les glandes parathyroïdes 1, les reins et les poumons. Il peut aussi s’accumuler dans les os 40 , plus particulièrement chez les dialysés diabétiques 41 .

L’aluminium interfère avec le métabolisme du fer 42,43,44,45,46,57, avec celui du fluor 47,48, du phosphore 49,50,51,52, du calcium 50,53,54,55 , du vanadium 56, du cuivre 57 , du silicium 58,59 , ce qui peut donner lieu à de multiples désordres.

L’aluminium interfère aussi avec le métabolisme de certains acides aminés présents dans le sang 60et provoque des changements de structure dans des lipoprotéines du sang, les HDL, celles qui transportent le « bon » cholestérol61 .

L’aluminium peut perturber le fonctionnement de toute une série d’enzymes.

C’est notamment le cas pour les enzymes nécessaires aux réactions chimiques dont la cellule tire son énergie. Chaque cellule de notre organisme possède les mêmes systèmes de réactions chimiques qui lui permettent d’oxyder les substances nutritives et d’en receuillir l’énergie. Sucres, graisses et acides aminés peuvent ainsi être métabolisés dans la cellule et donner de l’énergie.

Sous l’effet de l’aluminium, les enzymes qui interviennent dans ces réactions en chaîne sont perturbés, certains voient leur activité s’accroître, d’autres voient leur activité décroître 62, ce qui peut provoquer un véritable chaos. Une autre conséquence de l’effet de l’aluminium sur certains des enzymes de cette chaîne est la formation de composés chimiques très réactifs, les radicaux libres, qui lèsent toutes les membranes de la cellule 63.

On voit que l’aluminium, en perturbant le fonctionnement des enzymes, s’attaque à une fonction vitale de la cellule : la production d’énergie.

Richard Bennett, PhD - "l'immunité obtenue par les facteurs de transfert vit longtemps et peut aider les gens de tous ages qui souffrent d'une variété de maux, ou ceux qui veulent rester en bonne santé . Les événements entourant le SARS (Severe Acute Respiratory Syndrome) sont un rappel douloureux que nous vivons dans un monde surpeuplé ou les continents sont seulement éloignés d'un vol d'avion .L'épidémie de SARS est seulement l'une des séries en cours de nouvelles maladies émergeantes .Notre meilleure stratégie est de faire tout ce qui est en notre pouvoir pour garantir nos capacités uniques à la résistance aux maladies , et notre immunité ." Le Dr. Bennett est microbiologiste et immunologue des maladies infectieuses , qui jouit de sa retraite après une carrière de 21ans à l'université de Californie où il était spécialisé dans la qualité et la sécurité de la nourriture et de l'eau . Il a obtenu un doctorat en pathologie comparative à l'Université de Californie Davis .Il a une grande expérience dans la qualité du lait et le control des maladies , les ressources en eau , la sécurité alimentaire etc... Il a aussi été conseiller pour la FDA et USDA . encore


Aluminium :voiesd’absorption

L’aluminium peut être absorbé par plusieurs voies.

1.L’ INHALATION

L’aluminium peut être absorbé à partir de l’air par le nez et la bouche.

Si l’air contient peu d’aluminium, ce qui est habituellement le cas, la quantité absorbée est minime. Mais si l’air contient des quantités importantes de poussières d’aluminium, ce qui est le cas dans beaucoup d’installations de l’industrie de l’aluminium, comme, par exemple, les mines 64ou les usines électrolytiques 65 , la quantité absorbée peut être importante. L’aluminium s’accumule alors principalement dans les voies respiratoires 66 et dans les poumons, y créant de la fibrose 67 . Il peut aussi provoquer des symptômes nerveux comme des maux de tête, de l’irritabilité, des insomnies et des troubles de concentration 68.

L’aluminium contenu dans l’air est capable également, par la voie nasale, de passer directement dans le cerveau en suivant le trajet du nerf olfactif69,70.

Des pesticides contenant de l’aluminium peuvent aussi provoquer des intoxications par inhalation. L’un deux, le phosphure d’aluminium, utilisé contre les rongeurs, s’avère être particulièrement toxique. Une exposition aiguë à ce produit provoque des anomalies du taux de sucre sanguin 71, une chute du magnésium sanguin 72 , de la myocardite avectroubles du rythme cardiaque 73 et bien souvent la mort 74. La toxicité du produit provient de l’aluminium qui s’accumule dans le sang, le foie et le cerveau et de la phosphine, gaz toxique libéré lors de l’emploi de ce pesticide 75.

2.LECONTACTPARLAPEAUETLESMUQUEUSES

L’aluminium est facilement absorbé par la peau. Cela se produit notamment lors de l’usage de produits anti-sudorifiques contenant de l’aluminium. Utiliser quotidiennement ces produits multiplierait la probabilité de développer une maladie de type Alzheimer76 .

L’aluminium peut être absorbé par la muqueuse rectale lors de l’emploi de suppositoires ou de pommades anti-hémorroïdaires qui en contiennent.

La muqueuse vaginale peut également absorber l’aluminium. Si les douches vaginales avec des produits contenant de l’aluminium sont fréquentes, elles peuvent causer de sérieux problèmes 77,78 .

La muqueuse vésicale est capable aussi d’absorber l’aluminium. On a décrit le cas d’un homme dont la fonction rénale était déficiente et qui souffrait d’un cancer de la vessie. Comme il y avait du sang dans ses urines, on lui prescrivit des lavages de vessie avec une solution d’alun à 1%. Le traitement dura deux jours et le troisième jour il mourut d’une intoxication aiguë à l’aluminium 79.

Un cas similaire d’intoxication à l’aluminium à partir de la muqueuse vésicale fut décrit chez un patient souffrant, lui aussi, d’insuffisance rénale. Il présenta une hématurie qui fut, elle aussi, traitée par des lavages de vessie avec une solution d’alun à 1 %pendant deux jours. Il s’ensuivit un taux élevé d’aluminium dans son sérum. Malgré des médicaments chélateurs de l’aluminium et des séances d’hémodialyse on ne put améliorer son état et il décéda. L’autopsie révéla dans son cerveau un dépôt excessif d’aluminium 80 .

L’aluminium peut aussi entrer en contact avec un autre tissu, le tissu osseux, qui n’est ni la peau, ni une muqueuse. C’est le cas en chirurgie osseuse, lors de l’utilisation de prothèses métalliques contenant de l’aluminium. Elles peuvent être mal tolérées, créer une inflammation et, par libération de l’aluminium de la prothèse, provoquer des perturbations biologiques 81 .

3.L’INGESTIONPARLABOUCHE

C’est par la bouche que l’aluminium est le plus souvent absorbé.

Les concentrations d’aluminium dans les aliments varient largement selon leur nature (0,007 – 69,5 mg / 100 g). Par exemple on trouve des niveaux élevés d’aluminium dans les noix, les graines et les produits laitiers, surtout les fromages fondus 82. La feuille de thé est particulièrement riche en aluminium 83,84.Les thés noirs contiennent beaucoup plus d’aluminium que les thés verts 85,86 . Les grands consommateurs de thé peuvent absorber une quantité importante d’aluminium87 .

L’apport d’aluminium par la nourriture a fait l’objet de plusieurs études. Aux USA une étude de 1988 cite le chiffre de 9 mg / jour pour les adolescentes et femmes adultes, et les chiffres de 12-14 mg / jour pour les adolescents et hommes adultes 82.

Une étude plus récente de 1995 avance celui de 7 mg / jour pour les femmes adultes et ceux de 8-9 mg / jour pour les hommes adultes 88.

Une étude chinoise cite, pour des adultes, les chiffres de 4-10 mg/jour89 .

On peut donc considérer que la quantité d’aluminium apportée par la nourriture est d’environ 8 mg par jour.

La quantité d’aluminium ingérée provient pour 95 % des aliments et pour 5 % de l’eau de boisson. En Europe on a calculé que, pour les adultes, l’eau de boisson apportait moins de 5 % de la quantité totale d’aluminium absorbée par la bouche. Mais l’aluminium dissout dans l’eau se trouve sous une forme particulièrement biodisponible, très facilement absorbée par les muqueuses digestives90.C’est pourquoi il a été jugé nécessaire de définir des normes de concentration d’aluminium pour l’eau potable.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) estime que les études, qui mettent en relation une eau de boisson contenant plus de 100 microgrammes d’aluminium par litre avec un risque accru de maladie d’Alzheimer, ne permettent pas, « pour toute une série de raisons concernant la méthodologie », de calculer avec précision ce risque.L’OMS juge que les grandes stations d’épuration sont capables de distribuer une eau contenant au maximum 100 microgrammes d’aluminium par litre, mais reconnaît que, pour les petites stations d’épuration, il pourrait y avoir des difficultés techniques à obtenir ce résultat. Elle recommande alors, pour ces petites stations, de ne pas dépasser 200 microgrammes d’aluminium par litre d’eau potable 91 .

La première conférence internationale concernant le rôle néfaste des métaux sur le système nerveux central et qui avait pour titre « Métaux et le Cerveau » (Université de Padoue, 20-23 Sept 2000), préconise, elle, de ne pas dépasser dans l’eau de boisson la dose de 50 microg / litre.

Pour les dialyses rénales certains recommandent une eau contenant moins de 30 microg d’aluminium / litre, d’autres recommandent même moins de 10 microg / litre.

Tous les médicaments qui contiennent de l’aluminium, notamment les médicaments anti-acides, largement utilisés comme pansements gastriques, peuvent augmenter d’une façon non négligeable l’apport quotidien d’aluminium et constituer un facteur favorisant la maladie d’Alzheimer76,92,93, aussi bien chez les patients qui ont une fonction rénale altérée que chez les personnes ayant une fonction rénale normale94.

Il faut aussi se méfier des additifs alimentaires à base d’aluminium qui peuvent augmenter de façon notable la quantité d’aluminium contenue dans les aliments. Voici les additifs à base d’aluminium les plus couramment utilisés : E173-Aluminium, E520-Sulfate d’aluminium, E521-Sulfate d’aluminium sodique, E522-Sulfate d’aluminium potassique, E523-Sulfate d’aluminium ammonique, E541-Phosphate acide d’aluminium sodique et Phosphate basique d’aluminium sodique, E554-Silicate alumino-sodique, E555-Silicate alumino-potassique, E556-Silicate alumino-calcique, E559-Silicate d’aluminium.

Le matériel de cuisine fabriqué à base d’aluminium (casseroles en alu, feuilles en alu, poëles « qui n’attachent pas » et dont le revêtement s’érode à l’usage, percolateurs de café 95 …) peut également être une source d’aluminium dans l’alimentation, surtout si les aliments mis en contact avec ce matériel, sont salés ou acides et qu’ils sont chauffés.

L’aluminium ne passe pas dans le sang quand il est dans l’estomac 96. Dans l’intestin la plus grande partie de l’aluminium prend une forme insoluble et sera donc éliminée par les selles. Seule la petite partie d’aluminium liée aux molécules organiques des sucs de l’estomac est capable de rester soluble dans le milieu alcalin de l’intestin grêle. Cette partie reste donc disponible pour passer dans le sang à travers la paroi intestinale 97. La proportion d’aluminium ingéré qui passe effectivement dans le sang varie avec de nombreux facteurs.

L’aluminium peut se lier à de nombreux acides organiques : acide citrique, acide ascorbique, acide lactique, acide malique, acide oxalique, acide tartrique, acide gluconique. L’absorption de l’aluminium au niveau intestinal est facilitée en présence de ces acides 98,99, particulièrement en présence de l’acide citrique 99,100,101,102,103, de l’acide ascorbique 98,104et de l’acide malique 105. Boire de l’eau contenant de l’aluminium agrémentée d’un jus d’orange augmente de 8 fois l’absorption de l’aluminium de l’eau par la muqueuse digestive 106 . La rondelle de citron ajoutée au thé facilitera de même le passage à travers la muqueuse digestive de l’aluminium contenu dans la feuille de thé.

Par contre sous forme de phosphate 107,108 ou de silicate 109, l’aluminium passe plus difficilement la barrière intestinale.

Chez les personnes en bonne santé le pourcentage d’aluminium qui passe dans le sang diminue si la dose ingérée augmente 110.

Chez les personnes souffrant d’insuffisance rénale chronique111,112,113ou d’urémie114,115, l’aluminium passe plus facilement dans le sang que chezdes personnes ayant une fonction rénale normale.

Des modifications de la perméabilité de la muqueuse intestinale favorisent le passage d’aluminium dans le sang. Cela peut se voir lors de gastro-entérite, d’entéropathie et de toute autre perturbation intestinale 116.

Dans certaines maladies, comme la maladie d’Alzheimer 117 ou le syndrome de Down 118, l’absorption intestinale de l’aluminium est augmentée. Dans ces deux maladies existe un métabolisme anormal du calcium intracellulaire 119. On peut se demander si cette altération métabolique n’est pas due à une intoxication aluminique puisque l’aluminium altère le métabolisme du calcium de la cellule55.

L’être humain peut déjà être soumis à une exposition anormale d’aluminium au cours de sa vie intra-utérine. L’aluminium pris par une femme enceinte sous quelque forme que ce soit, aliments, médicaments, produits anti-sudorifiques, produits cosmétiques, peut passer la barrière foeto-placentaire et s’accumuler dans le fœtus. Chez des enfants dont la mère avait pris pendant la grossesse des médicaments anti-acides à base d’aluminium, on a décrit un syndrome de retard de croissance, avec malformations et ossification tardive, dû à l’accumulation de cet aluminium dans leur organisme120.

L’analyse de différentes préparations commerciales d’aliments pour nourrissons a montré que ces préparations pouvaient contenir jusqu’à 500 microg d’aluminium / litre alors que le lait maternel ne contient que 49 microg d’aluminium / litre 121. Parmi ces préparations, ce sont celles à base de soya qui contiennent le plus d’aluminium 122.Les nourrissons risquent ainsi de recevoir une dose d’aluminium 10 fois supérieure à celle qu’ils auraient avec le lait maternel. Les troubles de reflux gastrique sont fréquents chez les nourrissons et, pour résoudre ce problème, la prescription s’oriente souvent vers des médicaments anti-acides contenant de l’aluminium 123.

L’intoxication aluminique chez un nourrisson est une pathologie qui peut donc avoir différentes causes et qu’il ne faut pas négliger.

4.L’INJECTION

Une autre voie d’absorption de l’aluminium est l’injection : voie intra-veineuse lors de perfusions, voie intra-musculaire ou sous-cutanée pour certains médicaments. L’injection d’un vaccin contenant de l’aluminium constitue un apport d’aluminium qu’il ne faut pas sous-estimer.

Les prématurés sont particulièrement sensibles à l’intoxication par l’aluminium 124 . Une étude comparative portant sur l’alimentation de prématurés au moyen de perfusions, a révélé des altérations du développement mental chez les nourrissons âgés de 18 mois dont les perfusions contenaient de l’aluminium 125 .Bien que l’on ait réduit la quantité d’aluminium dans beaucoup de solutions nutritives parentérales, on a remarqué que les enfants nourris avec ces solutions améliorées présentaient malgré tout un taux élevé d’aluminium dans le sang et que l’on ne pouvait exclure une accumulation d’aluminium dans leurs tissus 126 . Une alimentation artificielle des prématurés ne prenant pas en compte ces faits risquerait de favoriser ultérieurement chez eux l’apparition d’une démence 127 .

Depuis 1998, le Dr Carol Ann Ryser a utilisé le Transfer Factor pour traiter des patients atteints de maladies chroniques. Elle a obtenu de nombreux succès diminution des symptômes et guérisons. Dans cette interview exclusive, le Dr Ryser parle de son expérience avec le Transfer Factor pour le traitement des maladies chroniques. Traiter les maladies chroniques avec Transfer Factor


Aluminiumdanslesang

Quand on parle d’aluminium dans le sang on parle généralement d’aluminium plasmatique, c’est-à-dire d’aluminium contenu dans le plasma sanguin, ou d’aluminium sérique, c’est-à-dire d’aluminium contenu dans le sérum sanguin.

Le plasma est la partie liquide du sang dans laquelle se trouvent en suspension les globules rouges, les globules blancs et les plaquettes.

Lors de la coagulation du sang, phénomène très complexe, le sang se divise en deux parties : un caillot solide et un liquide jaune citrin appelé sérum. Le caillot solide est formé par les globules et les plaquettes emprisonnés dans un réseau de fibrine. C’est le fibrinogène du plasma sanguin qui, à la suite d’interventions complexes d’autres composants de ce plasma, donne naissance à la fibrine.

Le sérum sanguin diffère du plasma sanguin par l’absence de fibrinogène. Le volume occupé par le fibrinogène étant minime, sérum et plasma ont à peu près le même volume.

La teneur du sang en aluminium varie suivant les individus.

On estime comme normal un taux d’aluminium sérique de 1 à 5 microgrammespar litre106,128. Une étude polonaise cite, pour des adultes en bonne santé, le chiffre moyen de 2,25 microgrammes d’aluminium par litre de sérum 129 .

Les laboratoires d’analyses médicales indiquent comme limite supérieure de la normale 10 microgrammes d’aluminium par litre de sérum.

Un taux de 15 microgrammes d’aluminium par litre de sérum serait le taux maximum admissible130 .

A partir de 60 microgrammes d’aluminium par litre de sérum, apparaissent des symptômes neurologiques130 .

Au-delà de 100 microgrammes d’aluminium par litre de sérum, apparaissent des signes d’encéphalopathie130 .

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Système de Maladie PRIVATISÉ…. 2 millions de québécois n’ont pas de médecins de famille : il manque 800 médecins

Pénurie de médecin……. Manque d’accessibilité c’est violer notre droit aux soins de santé

Donc, ainsi les soins de santé ne sont plus gratuits parce qu’inaccessibles

Le besoin ponctuel non répondu par le manque d’accès au médecin : met les gens en insécurité

30 % des gens n’ont pas accès à un médecin de famille dans un bureau de médecin, et sont donc obligés d’aller à l’urgence pour quelconques maux de santé.

Ils sont en train d’amener les populations à trouver des conseils via Internet (DR INTERNET).

Mme Guylaine Lanctôt, ancienne médecin et propriétaire de pharmacies un jour s’est mise à dénoncer les abus de la médecine et a écrit le livre ‘’LA MAFIA MÉDICALE’’.

Voici quelques extraits éclairants sur le monde dans lequel nous vivons :

"La pauvreté semble être la plus grande cause de la maladie. Malgré cela, nos gouvernements réduisent de façon drastique les subsides accordés aux services sociaux et passent des ententes économiques qui plongent nos entreprises dans le précipice de la compétition internationale, insoutenable pour la majorité."


"700 000 Américains meurent chaque année des effets secondaires des médicaments dont le tiers des hospitalisations sont dues aux médicaments

" En 1905, le taux de mortalité due à la variole s'élevait aux Philippines, à 10 %. Après une vaccination massive, se déclara une épidémie qui frappa mortellement 25 % de la population dûment vaccinée. Malgré cet échec, les autorités intensifièrent les vaccinations. En 1918, la pire épidémie tua 54 % des personnes, alors que la population était vaccinée à 95 %. L'Île de Mindanao, où les indigènes avaient refusé la vaccination, fut la moins touchée : 11,4 %. Malgré ces évidences, la vaccination antivariolique continua et l'OMS lança, en 1966, une campagne mondiale qui dura 10 ans."

"Au États-Unis, 20 % des enfants souffrent de «désordre du développement» consécutif aux encéphalites causées par les vaccins. D'où le bouleversement du système d'éducation, incapable de scolariser un tel nombre d'enfants qui ne peuvent ni lire, ni écrire. D'où, en partie, une vague de violence sociale et de crimes perpétrés par des personnalités sociopathes créées par les vaccins. D'où l'usage explosif du Ritalin sur les enfants. On les drogue, tout simplement."

"En 1973, des chercheurs démontrèrent que les taux de tumeurs cérébrales étaient treize fois plus élevés chez les enfants nés de mères vaccinées contre la poliomyélite durant leur grossesse."

"Sachons que 45 % des fonds de l'Unicef sont affectés à la vaccination des pays du tiers-monde, tandis que seulement 17 % sont consacrés à l'eau et à l'assainissement. Les enfants du tiers-monde ont besoin d'eau propre et de nourriture et non d'agents agressifs qui les font mourir comme des mouches."


Un aide?Les Babys Boomers (avec l‘esprit militaire de la vie) se sont attaqués au contrôle des naissances (contre l’invasion démographique) et à la jeunesse montante. Ils ont élaboré des politiques en faveur de l’avortement, de la contraception et de la régulation des naissances à l’échelle planétaire.

Planing familial des multinationales de Londres (GM, FORD…..) pour diminuer les naissances

Scandale… Paul Ehrlich, Robert McNamara et le Club de Rome par l'USAID, la Fondation Ford et ‘’Carnegie fondations’’ ont remis le projet ‘’Programme de Contrôle de la population mondiale’’ à l'ONU, à la Banque mondiale et au FMI.

"Robert McNamara, ancien président de la Banque Mondiale, ancien secrétaire d'État des États-Unis qui ordonna les bombardements massifs du Vietnam, dit : «Il faut prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations. Réduire les taux de natalité s'est avéré impossible ou insuffisant. Il faut donc augmenter le taux mortalité. Comment ? Par des moyens naturels : la famine et la maladie.». Et Mc Namara fut aussi instigateur du P.E.V. (Programme Élargi de Vaccination). Contrôle démographique par les vaccins (V.I.H. et autres. La vaccination est utilisée comme arme bactériologique depuis longtemps…que ce soit pour décimer des populations précises p. 125 G. Lanctôt.

"Au cours du procès intenté à la CIA, le Dr Gotlieb, cancérologue, a reconnu avoir déversé, en octobre 1960, une grande quantité de virus dans le fleuve Congo au Zaïre pour le polluer et contaminer les populations qui utilisaient son eau. Le Dr Gotlieb a été nommé à la tête du National Cancer Institute."

Vacciner les GAIS


"Comme par hasard, l'Afrique, surtout les pays du centre et du sud, contient des ressources fabuleuses qui ont toujours suscité la convoitise des Occidentaux."

"Le vaccin de l'hépatite B est fabriqué par manipulation génétique : il est donc beaucoup plus dangereux que le vaccin traditionnel parce qu'il inocule dans l'organisme des cellules étrangères à son code génétique. Ce vaccin, produit à partir de virus cultivé sur des ovaires de hamster chinois, est réputé pour occasionner de la fibromyalgie et la sclérose en plaque. Malgré cela, il jouit d'une grande popularité auprès des autorités qui l'imposent d'abord par la force à tous ceux qui travaillent dans le domaine de la santé, puis au reste de la population (ndlr : en Afrique)."

"En 1988, au cours d'une interview à la radio, un ambassadeur du Sénégal rapportait les ravages du Sida dans son pays où des villages entiers sont décimés. Quelques années auparavant, des équipes scientifiques et médicales étaient venues vacciner leurs habitants contre l'hépatite B. La maladie touchait les personnes vaccinées..."

"En 1978, on procéda aux essais d'un nouveau vaccin sur les homosexuels de New York et, en 1980 sur ceux de San Francisco, Los Angeles, Denver, Chicago et Saint-Louis. Ce «nouveau vaccin» officiellement contre l'hépatite B, causa la mort par le Sida de plusieurs d'entre eux, comme nous le savons maintenant. Le programme de vaccination des homosexuels contre l'hépatite B était commandé par l'OMS et le National Institut of Health."

"Non contentes de nous avoir inculqué la croyance selon laquelle les vaccinations sont efficaces et inoffensives, les autorités entretiennent une autre légende tout aussi dépourvu de fondement : les vaccinations auraient enrayé les grandes épidémies. Or, les épidémies avaient presque entièrement disparu quand les vaccins sont apparus sur le marché. Les livres sur les vaccins (non écrits par l'establishment) démontrent que la régression des grandes maladies est due à l'amélioration des conditions de vie, et notamment l'hygiène."

VACCINER : C’EST POLLUER : L’EMPOISONNEMENT LÉGALISÉ

Une erreur médicale terrible. : dangers des vaccinations

Les gens vaccinés sont contagieux et risquent de nous infecter

La seule et vraie immunité naturelle c’est la santé, une bonne hygiène de vie et une alimentation riche en fruits et légumes.

VACCINATIONS COMME ARMES

VIROLOGUES DE LONDRES ET LEURS PANDÉMIES QUI SORTENT DE LEURS LABORATOIRES

1918, GUERRE bactériologique de la GRIPPE ESPAGNOLE où sont morts 20 millions d’humain

Les vaccins venant de Londres provoquent des épidémies de leucémie.

Les vaccinations sont la cause de réveils latents d’infections

Les vaccinations font le lit des cancers

Les vaccinations sont mutagéniques et sont responsables de tares héréditaires, d’infirmités et de paralysies qui font souvent suite à la vaccination de façon très évidente

Les vaccinations sont tératogéniques : elles créent des monstres, des enfants difformes

Les vaccinations sont plus nuisibles qu’utiles

Des cellules cancéreuses se développent souvent aux endroits qui ont été vaccinés

C’est souvent le vaccin qui déclenche la maladie

L'immunité n'existe pas. C'est un mythe. Les mêmes causes produiront toujours les mêmes effets, à moins d'affaiblir la résistance et de tuer l'individu.

Autism-Vaccine Link Becomes Federal Case

Nearly 8 years after the government asked vaccine makers to reduce the use of a preservative that contains mercury, hearings began today to probe the connection between autism and childhood vaccines. If the U.S. Court of Federal Claims finds a link, the plaintiffs could qualify for compensation through a government trust fund—but many parents are equally interested in vindication. More

« Les dangers des vaccinations » par Fernande Delarue

VACCINATIONS DONNENT LE SIDA

L’Afrique est le Pays le plus vacciné au monde : et ce n’est pas un hasard si c’est aussi en Afrique où il y a le plus de cas de SIDA dans le Monde.

Maintenant ils peuvent médicaliser à la vie une personne tel les sidatiques et c’est payant pour les pharmaces

<>! C’est ce qu’a déjà dit M. Robert Mc Namara, ancien président de la Banque Mondiale et ancien secrétaire d’État des U.S.A. qui ordonna des bombardements massifs du Vietnam et qui était un instigateur du P.E.V. (Programme Élargi de Vaccination).

L’IMMUNITÉ NATURELLE est la seule. Les anti-corps nous protègent mais les anti-corps dérivant des vaccinations sont-ils si efficaces que cela.

Les médecins donnent la maladie… en vaccinant, affirme le dr. Robert Mendelson dans son livre « Confessions d’un médecin hérétique ». Nous vivons sous le régime de l’Inquisition médicale

Et c’est toujours les vaccins qui provoquent les quelques cas de POLIO qui existent encore…. Et il est donc grand temps de remettre en question les vaccinations, affirme le dr. Robert Mendelson dans son livre « Confessions d’un médecin hérétique »

Les vaccinations attentent à la spécificité humorale, donc, détruisent notre système immunitaire et l’empêchent de réagir selon la voie qui lui est propre (le SIDA par exemple où notre système immunitaire ne réagit plus normalement)

Il n’y a pas de vaccinations innoffensives

La seule et vraie immunité c’est la santé

Robert Mc Namara, lorsqu’il était secrétaire à la défense, sous Kennedy et Johnson, puis en sa qualité de président de la Banque mondiale, il planifia la guerre du Viêt-Nam tout en jouant un rôle central dans le déclenchement dans la course aux armements nucléaires et dans le commerce des armes. Il intervint également dans l’édification de la structure financière qui est à l’origine de l’endettement catastrophique du tiers monde. Mc Namara fut en grande partie responsable de 4 des plus terribles désastres qui ébranlèrent l’Occident de l’après-guerre. <> C’est ce qu’a déjà dit M. Robert Mc Namara, ancien président de la Banque Mondiale, ancien secrétaire d’État des U.S.A. qui ordonna des bombardements massifs du Vietnam et qui était un instigateur du P.E.V. (Programme Élargi de Vaccination.

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si les gens étaient plus heureux !>>

« La médecine moderne est maintenant mieux équipée pour tuer les gens que pour les guérir », Dr. Robert Mendelson

« Les médecins portent a responsabilité du crime qui consiste à avoir produit des milliers de toxicomanes », le dr. H. M. Shelton

Le taux de mortalité diminue de 50 % à 60 % durant les grèves d’hôpitaux et à chaque grève des médecins.

Les infections propagées par les hôpitaux

Le tiers des mortalités dans les hôpitaux est dû aux médicaments

À l’hôpital tout comme chez un avocat ou dans un poste de police : soyez toujours accompagné d’un parent ou d’un ami.

LES CONQUÉRANTS ET L’ÉGLISE SAVAIENT ÉLIMINER LES PAUVRES PAR LA MALADIE

LES ANIMAUX SAVENT SE LAVER, JOUER, ÊTRE FIDÈLES, AIMER… alors que l’Église du XV1ième au X1X ième siécles conseillait aux pauvres de ne pas se laver, et qu’une fois par semaine ou une fois par mois était suffisant. C’était pour les éliminer par maladies, car le Clergé vendu aux pouvoirs Britanniques et avec eux méprisaient les pauvres qu’ils produisaient. Et pour ceux qui doutent de ces affirmations, pensez-vous réellement que l’Église et ses grands penseurs socratiques et ‘’hippocratiques’’ ignoraient les règles élémentaires d’hygiène alors que les animaux les connaissaient naturellement?

Quand tu es accoutumé de faire la guerre depuis des siècles, que tu as connu et fait toutes les atrocités, que tu t’es endurci à massacrer et à aimer TORTURER des jours et des jours de temps d’autres humains, d’horreurs en horreurs, et quand le sadisme est devenu naturel : quoi d’étonnant qu’ils sachent aussi utiliser les armes de la faim et de la maladie pour éliminer des populations cibles!

L’apparition de grandes épidémies n’est pas étrangère à la nature insalubre des Villes d’autrefois et à l’alimentation carnée chez l’humain fruito-végétarien, et même à des choix de Pouvoirs et de Gouvernes tel d’éliminer des gens et des populations donnés par tous les moyens : que ce soit par des guerres ou en les empoisonnant ou les rendant malades

LES SÉQUELLÉS D’UNE SOURNOISE TRAGÉDIE BIEN CAMOUFLÉE

Auteur :Dr. Louis de Brouwer m.d.

Édition : Louise Courteau

Distributeur : Raffin

Prix suggéré en librairie : ~ 26 $

Nombre de pages : 304

ISBN 2-89239-183-0

Imprimé : premier trimestre 1997

Pasteur: son oeuvre, ses prétendus travaux et découvertes... 73

Études expérimentales du professeur Antoine Béchamp...83

Les adeptes de la théorie vaccinale : de Jenner et Pasteur à la "mafia" vaccinaliste

Les responsables d'une génération génétiquement fragilisée...131

Les fabriquant de vaccins, secondés par le corps médical qui a accepté le principe vaccinal sans discussion ou réserve, ont accompli un tour de force dans le domaine de la désinformation et du mensonge. Un fait sans précédent dans l'histoire de l'humanité : faire croire à l'efficacité et à l'innocuité de ce principe inventé par Jenner et repris à son compte par Pasteur, alors qu'il ne repose sur aucune base scientifique sérieuse.

On sait aujourd'hui, 100 ans après son décès, que Pasteur fut un génie de la tricherie, du plagiat. du trucage des statistiques, du traffic d'influence, de la publicité bien orchestrée et que, assoiffé d'honneurs et d'argent, ses différentes expérimentations vaccinales étaient truquées, selon l'aveu même de ses collaborateurs.

Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {pages 141 à 144}{Extrait 1}

Les fabricants de vaccins sont touchés de plein fouet. Se référant au livre d'Allen [David J.] et à sa mort plutôt suspecte, de moins en moins de gens se font vacciner. Le doute s'est installé dans les esprits. Qu'à cela ne tienne, les industriels incriminés ne perdent pas pied. Ils continuent à prôner le vaccin et fabriquent en même temps toutes sortes de médicaments destinés à soigner les affections occurrentes spécifiques de la maladie du sida. Un véritable pactole! La suite, nous la connaissons... Les experts désignés par l'instance judiciaire internationale avaient déclaré dans leur rapport:

« Les fabricants de vaccins jouent sur du velours. En effet, il est impossible de démontrer d'une manière scientifique l'efficacité des vaccins. La seule chose qu'on puisse comptabiliser est le nombre de sujets vaccinés, sans savoir s'ils ont été réellement immunisés puisqu'ils ne sont pas suivis par le corps médical. D'autre part, étant donné le nombre considérable de sujets vaccinés, de 90% à 99%, si les vaccins étaient efficaces, il ne devrait plus y avoir depuis longtemps aucune maladie infectieuse sur la planète. Or, depuis quelques années, des épidémies et pandémies qu'on croyait éradiquées sont réapparues en force. Le principe vaccinal, dès sa découverte par Jenner, fut sujet à caution. Nous avons inventorié des documents qui démontrent que les recherches réalisées par lui ont été faites selon des critères scientifiques inacceptables, c'est-à-dire sans un contrôle suffisant des expériences. Ceux qui ont accepté et suivi ce principe, par manque d'information ou esprit de lucre [profit], ont commis une très lourde erreur dont nous payons actuellement les conséquences.

« En particulier, le Français Pasteur, par la généralisation des vaccinations pour lutter contre d'autres affections que la variole, peut être considéré comme le père fondateur de la plus grande entreprise criminelle de tous les temps. Son expérience de vaccination contre la rage peut être considérée comme une supercherie ayant fait long feu. Les successeurs de Pasteur et l'Institut Pasteur doivent être considérés comme les responsables de la situation sanitaire mondiale actuelle. Toutes les statistiques internationales consultées font montre de diverses falsifications. Parce qu'ils ont prôné les vaccinations par intérêt ou par ignorance des phénomènes biologiques spécifiques du principe vaccinal, les gouvernements et le corps médical dans son ensemble sont aussi condamnables. Également, il s'avère que le corps médical et l'Organisation mondiale de la santé n'ont jamais eu la possibilité de suivre les personnes vaccinées, sauf dans les cas d'accidents. C'est pourquoi, on peut les accuser d'avoir propagé les vaccins sans posséder la certitude d'une réelle efficacité. Enfin, le principe des vaccinations obligatoires n'aurait jamais du être acceptépar les gouvernements et l'ensemble des populations, du fait qu'il est contraire aux principes élémentaires des droits de l'homme. Il s'agit là d'une atteinte à la liberté individuelle. »

Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {pages 141 à 144}{Extrait 2}

Un groupe de scientifiques de haut niveau prend le relais du docteur Allen et démontre que la mise sur le marché du vaccin X constitue une supercherie et qu'en réalité, ce sont bien les vaccinations qui sont à l'origine du sida. Ils exposent que par recombinaison génétique, l'introduction de virus vivants dans un organisme peut réveiller un virus endormi, et que c'est ce qui s'est passé. Le sida est donc une maladie provoquée par les vaccinations. Telle est la conclusion des experts, conclusion qui rejoint la déclaration de Robert Gallo au London Times, du 11 mai 1987:

« La relation entre le programme de vaccination de l'OMS dans son effort pour éradiquer la variole des pays du Tiers Monde et l'épidémie de sida est une intéressante hypothèse. Je ne dis pas que cela s'est réellement passé, mais durant des années, j'ai toujours dit que l'usage de vaccins de virus vivants (comme l'on pratique en Afrique) peut activer un virus endormi comme celui du sida. »

Évidemment, ce groupe d'experts omet de dire qu'en 1993, le docteur De Brouwer avait écrit un ouvrage, Sida, le vertige, dans lequel il tentait de démontrer de manière scientifique que le virus du sida était le résultat d'une recombinaison génétique entre le HTLV 2 et le virus de la vaccine. Pourquoi le professeur Robert Gallo, qui trouvait cette hypothèse intéressante, n'a-t-il pas orienté ses recherches dans ce sens? On peut se poser de nombreuses questions à ce propos.

Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {pages 141 à 144}{Extrait 3}

LA NON-INNOCUITÉ DES VACCINS : UN MYTHE

Différents essais réalisés aux usa et contrôlés par ordinateur ont fait apparaître que des virus et rétrovirus présents dans un organisme humain peuvent y demeurer à l'état latent ou défectif, c'est-à-dire en ne s'exprimant pas. Tout virus inoculé fait de même. Mais si certains événements biologiques se produisent entraînant un changement de terrain, ou si le terrain du vacciné se trouve déprimé au plan immunitaire, ce virus peut retrouver sa virulence initiale. En fait, toute modification biochimique d'un organisme peut entraîner un retour à la virulence du virus inoculé ou permettre une recombinaison génétique avec un autre virus présent dans l'organisme mais qui ne se manifestait pas dans la mesure où s'était établi un état d'équilibre, de symbiose biologique. Me référant à des expériences qui se sont déroulées au département de microbiologie de l'Université de Californie à Los Angeles en 1986, je puis affirmer que deux virus non virulent peuvent devenir virulents, c'est-à-dire léthaux [meurtriers; qui tuent], par recombinaison spontanées, in vivo [dans un organisme vivant -> l'Humain par exemple]. Toutefois, point n'est besoin de procéder à une recombinaison entre deux virus ou rétrovirus affectant des espèces différents pour obtenir un super-virus ou rétrovirus.

L'expérience que je relate ci-après donne à réfléchir. Deux virus pathogènes, mais non léthaux pris séparément, sont susceptibles de provoquer une affection mortelle (pour les animaux) en se recombinant par eux-mêmes, sans manipulation génétique exécutée par l'homme. On savait que l'infection d'un animal par un virus virulent est capable de provoquer une maladie caractérisée. Mais on n'avait jamais démontré in vivo que l'inoculation de virus non virulents pouvait provoquer une maladie par le biais du phénomène de complémentation ou de recombinaison. En 1986, une équipe de recherche américaine [étatsunienne] a utilisé deux souches de virus herpès simplex type 1 et les a inoculées à des souris {American science, 7 novembre 1986). 62% des animaux qui reçurent un mélange à concentration égale des deux espèces virales décédèrent. Par contre, les souris qui reçurent une injection similaire ou 100 fois plus concentrée de chacun des agents viraux pris séparément survécurent toutes. En considérant un lot de 20 souris mortes après l'injection du mélange viral des deux souches non virulentes, 14 virus furent isolés. Onze d'entre eux se révélèrent être des recombinaisons. Trois de ces recombinaisons réinjectés à des souris se montrèrent mortels. De semblables résultats prouvent que deux variants non virulents d'herpès simplex peuvent interagir in vivo et engendrer des recombinaisons virulents et léthaux [mortels].

[Imaginez donc ce que peuvent faire tout une série de vaccins différents qu'on inocule aux enfants et aux adultes???]

Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {pages 144 à 145}{Extrait 4}

La conclusion semble évidente. Il apparaît en premier lieu que le transfert d'un virus d'une espèce à une autre représente un danger pour le receveur et en second, que deux virus possèdent la capacité de se recombiner in vivo, c'est-à-dire de créer une souche nouvelle non seulement pathogène mais léthale. Dans le cadre de cette conclusion objective, on peut alors se poser la question de savoir si la vaccination tant prônée ne représente pas un sérieux danger pour la santé publique. En effet, il semble évident à tout biologiste que l'organisme humain, animal ou végétal constitue une entité, un monde clos qui doit demeurer vierge de toute pollution tout au long de son existence si l'on veut qu'il survive dans des conditions idéales de fonctionnement et d'homéostasie. Le système immunitaire des êtres vivants est là pour le prouver: il intervient vigoureusement pour le défendre contre toute agression étrangère. En cas de déficience de ce système, c'est la maladie et la mort. Or, on peut se demander si, de nos jours, l'organisme humain est vierge de toute pollution, de pollution virale en particulier... La réponse est évidente: depuis la pratique générale des vaccinations, il ne l'est certainement pas.

Même atténué, un virus peut reprendre sa virulence in vivo. C'est le cas du virus polio vaccinal qui redevient pathogène après passage dans l'intestin et qui contribue ainsi à contaminer l'entourage. Une étude menée par l'OMS dans huit pays, de 1970 à 1974, montre que sur 360 cas de polio paralytique, 144 se sont produit chez des contacts de vaccinés et qu'aux États-Unis, en 1982 et 1983, tous les cas de poliomyélite rapportés ont été associés aux vaccins. En outre, les vaccins antipolio ont été produits sur reins de singes contaminés par le virus cancérogène SV 40, inoffensif pour le singe mais tumoral pour l'homme. Ce qui expliquerait l'explosion de cancers dans le monde depuis 30 ans. Ainsi, sans le savoir, l'homme avait déjà créé une arme redoutable mettant en péril la planète, ceci au nom de principes prophylactiques absurdes.

Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {pages 134 à 138}{Extrait 5}

LES VACCINATIONS, FACTEURS DE DÉGÉNÉRESCENCE DE L'ESPÈCE HUMAINE

( ... )

Par contre, une chose est certaine, admise par l'ensemble des biologistes, c'est qu'un organisme qui, au cours de l'évolution, est parvenu à s'adapter à l'environnement dans lequel il s'est trouvé placé, donne naissance à d'autres organismes parfaitement sains si les géniteurs étaient eux-mêmes sains du fait que leur système immunitaire était performant. Au contraire, si les géniteurs ne possèdaient pas un système immunitaire ad hoc et que quelques virus, rétrovirus ou autres bactéries aient déjoué les défenses de leur organisme pour y pénétrer et s'y installer tout en demeurant muets, défectifs, il apparaît évident que les intrus seront transmis aux descendants. Cest ainsi que, pratiquement, tous les Occidentaux possèdent dans leur organisme 5 ou 6 variétés de virus Herpès, et que nombre d'habitants d'Afrique centrale abritent dans leurs cellules le HTLV 2, découvert par Robert Gallo et son équipe. On ne parle que rarement de cette découverte capitale, éclipsée par celle du rétrovirus du sida.

Il faut qu'interviennent certaines circonstances particulières pour que ces virus herpétiques se manifestent, sortent de leur sommeil. De même pour le HTLV 2. Ces virus et rétrovirus ont été mis en évidence, mais il est certain que l'organisme humain abrite d'autres formes de virus et rétrovirus qui, pour le moment, n'ont pas été découverts. Il en est de même pour différentes espèces animales devenues de véritables réservoirs à virus, notamment les singes verts d'Afrique. Mais ces virus et rétrovirus demeurent muets, la plupart du temps. Le système immunitaire a fonctionné et, s'il n'a pas réussi à les éliminer, il leur a fait perdre leur virulence par restriction de leur propre capital génétique. Cela ne s'est certainement pas passé sans problème majeurs pour les organismes atteints, mais quoi qu'il en soit, on peut affirmer que les intrus en question ne se manifestent qu'en de rares occasions.

Par conséquent, on peut affirmer que des géniteurs sains, même s'ils sont porteurs de virus et rétrovirus défectifs, donnent naissance à des descendants sains, qui seront également porteurs de ces mêmes intrus, lesquels demeureront, en principe, muets, comme chez les ascendants. Les decendants de ces géniteurs sains, au contact d'un environnement qui s'est peu modifié depuis des millénaires, se trouveront aux prises avec divers virus et bactéries pathogènes qui risqueront de provoquer les maladies bien connues de l'enfance, la rougeole, la rubérole, les oreillons, etc. et avec d'autres beaucoup plus dangereux susceptibles de provoquer des affections gravissimes telles que la variole, la peste, le choléra, etc., si certaines conditions élémentaires d'hygiène et de nutrition ne se trouvent pas réalisées. De la sorte apparaît l'importance de l'environnement dans la genèse de nombre de maladies infectieuses. Si l'humanité toute entière vivait dans des conditions exceptionnelles d'hygiène et de nutrition, il n'y aurait jamais d'épidémies et de pandémies provoquées par l'intrusion de facteurs infectieux.

Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {pages 134 à 138}{Extrait 6}

C'est l'affaiblissement du système immunitaire des organismes qui provoque l'intrusion de ces agens infectieux ou, dans certains cas, qui génère ou régénère ses propres agents infectieux demeurés jusque-là muets parce que vivant en symbiose avec la machinerie cellulaire résultant de l'évolution. En conséquence, il semble évident que dans les pays développés où les conditions de nutrition et d'hygiène sont normales, point n'est besoin de prévenir par la vaccination des maladies qui n'apparaîtront jamais, puisque les facteurs générateurs de ces maladies ont pratiquement disparu. C'est ainsi que le principe des vaccinations apparaît comme une véritable supercherie et escroquerie à la santé. Les enfants en bas âge possèdent déjà à la naissance les anticorps transmis par leur mère. Plus tard, si leur organisme est confronté à des maladies comme la rougeole, les oreillons, la rubéole, etc., il provoquera lui-même par cette confrontation sa propre immunité future. Ce ne sont pas des maladies graves. Il est facile de les soigner par des méthodes naturelles.

Si des affections gravissimes voient le jour, il y a lieu alors d'incriminer des facteurs d'environnement particulièrement néfastes, auxquels peut s'ajouter une modification du terrain chez l'individu atteint, elle-même due à une transmission héréditaire ou au non-respect de véritables conditions de vie d'hygiène et de nutrition. Suivant le cas, nous serons en présence de maladies telles que la tuberculose, la poliomyélite, le choléra, la peste, la sclérose en plaques, etc. et, pourquoi pas, le sida. Or, que voyons-nous? Plus les pays sont hautement industrialisés, plus le principe des vaccinations (pourtant inutiles) est appliqué, prôné par les gouvernements. Et plus les pays du Tiers Monde sont fragilisés parce que les populations y souffrent de malnutrition et que leur système immunitaire y est mis à rude épreuve par nombre de vecteurs pathogènes, plus l'Organisation mondiale de la santé réalise des campagnes de vaccination sans faire aucune distinction quant à l'état immunitaire des individus. C'est de l'aberration mentale.

Il est reconnu aujourd'hui par la plupart des scientifiques compétents et honnêtes qu'il s'avère extrêmement dangereux de vacciner (introduire des virus vivants ou atténués) dans l'organisme d'individus fragilisés immunitairement. {Cette fragilité immunitaire est due au fait que les organismes des populations considérées se trouvent fréquemment confrontés à de nombreux facteurs pathogènes spécifiques du lieu où elles vivent et que leur système immunitaire trop sollicité n'a plus la capacité de réagir vigoureusement à des facteurs pathogènes étrangers introduits, par exemple, par la vaccination. La vaccine, en particulier, il ne faut pas l'oublier, sert de vecteur dans certains vaccins et son ontroduction dans un organisme débilité peut évidemment conduire à des complications désastreuses du fait que le virus peut se propager de manière pratiquement illimitée.}

Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {pages 134 à 138}{Extrait 7}

Dans les pays développés, la vaccination est inutile et dangereuse, alors que dans les pays en voie de développement, elle devient criminelle. Je citerai un simple exemple. Depuis toujours, les pays africains et asiatiques ont été touchés par la peste et la variole. On sait que des épidémies extraordinaires de peste se produisirent en Chine, en Afrique et aussi en Europe aux 6e et7e siècle, puis au 14e et 17e , tuant alors le ¼ des habitants. Une 3e pandémie prit naissance en Chine en 1894. Le principal foyer endémique de la peste fut et demeure la Chine. On sait que cette maladie est provoquée par les puces et les rats qui, évidemment, prolifèrent dans ce pays où les conditions de vie et d'hygiène étaient et sont demeurées longtemps extrêmement précaires. L'épidémie s'est toujours développée dans des pays présentant les mêmes conditions précaires d'hygiène, comme ce fut le cas à une certaine époque en Afrique, en Amérique du Sud et en Europe, lorsque celles-ci s'étaient considérablement dégradées lors de périodes de misère et de guerre. Il en a été de même pour la variole et le choléra.

On a la preuve manifeste que ces épidémies et pandémies atteignent essentiellement les populations souffrant de misère physiologique et de dénutrition, ou vivant dans un environnement où les règles les plus élémentaires d'hygiène ne sont pas respectées. Autrement dit, nourrissez convenablement ces populations, faites-leur observer des règles strictes d'hygiène et vous éradiquerez ces maladies. Point n'est besoin de vacciner. Ainsi, au lieu de participer financièrement à des capagnes de vaccinations, les pays développés feraient mieux de consacrer l'argent à promouvoir une agriculture et un élevage permettant aux populations de vivre décemment et à assurer une prophylaxie ad hoc par des campagnes de dératisation et d'assainissement des lieux qui constituent des foyers permanents de peste. Dans un premier temps, cela coûterait certainement plus cher que les vaccinations, mais quelles économies quelques dizaines d'années plus tard. De plus, cette action représenterait une véritable oeuvre humanitaire.

Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {pages 134 à 138}{Extrait 8}

Les foyers permanents sont connus par l'Organisation mondiale de la santé. Les campagnes de vaccination qu'elle a réalisées en Afrique contre la variole dépassent l'entendement. Depuis,1958, année où l'on avait enregistré 278 000 cas dans le monde, et non pas seulement en Afrique, jusqu'au 26 octobre 1979, date à laquelle l'Organisation mondiale de la santé annonçait officiellement l'éradication complète de la variole, plus de 120 millions d'Africains avaient été vaccinés. En 1963, on ne dénombrait plus que 80 000 cas dans le monde, avec seulement de 30% à 40% de mortalité chez les enfants non vaccinés. Pour l'OMS, la vaccination n'est efficace que si plus de 80% de tous les groupes de population sont vaccinés, y compris les nomades. C'est ainsi qu'en 1973, on pouvait estimer que plus de 100 millions de vaccinations avaient été effectuées en Afrique centrale et occidentale! En 1980, l'évaluation peut être portée à 180 millions de vaccinés. Or, c'est alors qu'il n'y avait que 80 000 cas signalés dans le monde en 1963, que les capagnes antivariolique furent les plus intensives. En outre, ce ne fut pas la seule vaccination pratiquée dans ces pays africains; on y ajouta celles contre la tuberculose, la poliomyélite, le tétanos, la rougeole, etc., avec des pourcentages de vaccinés de l'ordre de 70% à 100%.

Pour ses partisans et ses profiteurs, la vaccination est devenue un acte de dictature médicale et économique posé à l'encontre des plus faibles et des plus fragilisés par des conditions de vie misérables, et des moins évolués dans la compréhension des actes thérapeutique. On porrait qualifier l'acte vaccinal accompli sur ces populations peu évoluées d'acte terroriste et criminel relevant à la limite d'une volonté de génocide. Si cette intention de génocide n'est pas réelle, il s'agit là en tout cas pour les vaccinalistes d'un cas de conscience posé par les conséquences catastrophiques de semblables vaccinations à moyen et long terme. Ceux qui n'ignorent pas ces conséquences pratiquent un acte criminel, [et] ceci [pour] des raisons de profits. L'autre face de la dictature exercée par les fabricants de vaccins et les vaccinalistes confirme ce qui apparaît sur la première lorsqu"ils infligent la vaccination à des populations appartenant à des pays en voie de développement ou non. En effet, sur la seconde face, on retrouvent les mêmes procédés dictatoriaux mais modifiés parce que confortés par des lois qu'ils ont fait voter par les gouvernements, rendant certaines vaccinations obligatoires. Le régime dictatorial n'est que plus hypocrite, se retranchant derrière ces lois au sein de régimes dits démocratiques.

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Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {page 139}{Extrait 9}

Force est donc de constater que nous nous trouvons face à la situation paradoxale et aberrante suivante: tout le monde, gouvernements, organisations sociales et humanitaires, Organisation mondiale de la santé, compagnies d'assurances, corps médicale et citoyens (par manque d'information en ce qui concerne la manipulation dont ils sont les victimes) participent activement à une dégénérescence de l'espèce qui a commencé à se produire et qui se poursuivra à un rythme accéléré dans les prochaines décennies! Le système des vaccinations n'est, ni plus ni moins, qu'une « bombe à retardement » amorcée et réglée par l'humanité elle-même sur les indications des principaux responsables de la santé et des fabricants de vaccins, disciples de Pasteur. Ceux qui prétendent être les bienfaiteurs de l'humanité, accomplissent en réalité, par ignorance ou par intérêt, un génocide programmé sdans précédent dans l'histoire de l'humanité. En ce sens, Pasteur et tous ceux qui se sont inspirés de sa méthode afin de faire du profit peuvent être considérés comme des criminels.

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Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997.

{page 146}{Extrait 10}: En 1903, la vaccination antivariolique est rendue obligatoire en France, au moment même où la maladie est en pleine phase de décroissance.

... Malgré de multiples accidents qui démontrent que la vaccination contre la variole est non seulement inutile mais dangereuse, provoquant plus de cas de variole chez les vaccinés que chez les non-vaccinés (voir dans la première partie de cet ouvrage, les paragraphes consacrés à Jenner), on continue à vacciner jusqu'en 1977, soit durant 74 ans!

Sir Russel Wallace, le naturaliste qui, parallèlement à Darwin, fonda la théorie de l'évolution par la sélection naturelle, s'opposa toujours à la pratique des vaccinations.

{page 147}{Extrait 11}: Le 26 octobre 1979, l'Organisation mondiale de la santé, après d'intensives campagnes de vaccination, en particulier en Afrique centrale et au Brésil, déclare que la variole est éradiquée. Pourtant, de 1963 à 1973, dans 12 pays européens, on avait enregistré seulement 391 cas de variole, résultant de 28 importations différentes de cette maladie. ... 20 fois la maladie venait d'Asie et 5 fois, d'Afrique, régions où existent des foyers épidémiques permanents dus aux conditions d'hygiène et de malnutrition. Comment est-il concevable que devant un chiffre si bas de varioleux en Europe, on ait continué à vacciner contre la variole durant toute cette période, alors même que ces cas de variole avaient une origine extérieure à l'Europe? Cette maladie n'a pas été éradiquée grâce à la vaccination ainsi que le prétendent l'Organisation mondiale de la santé et les vaccinalistes, mais à cause de modifications des conditions de vie et d'hygiène dans les pays industrialisés...

{page 148, 149}{Extrait 12}: ... C'est dans les 11 pays d'Afrique où les campagnes de vaccination furent les plus intenses qu'on compte présenrement le plus de sidéens. [!!!]

Dans un ouvrage intitulé « Sida, le vertige », paru en novembre 1993, après avoir passé en revue toutes les hypothèses émises sur l'origine du sida, j'expose ma propre opinion, à savoir que le rétrovirus du sida est le résultat de la recombinaison du virus de la vaccine avec le HIV 2 spécifique des populations d'Afrique centrale. Ma conclusion à propos de la vaccination antivariolique est donc formelle: non seulement a-t-elle provoqué de nombreux accidents et entretenu la variole alors même que les épidémies étaient en phase décroissante, mais elle est à l'origine du sida.

... Le professeur J. Tissot écrivait à ce sujet:

« Le virus de la vaccine jennérienne, très voisin mais différent du virus de la variole, ne vaccine pas contre celle-ci. Le fait est nettement établi par les épidémies de variole qui atteignent aussi les vaccinés. Malgré une vaccination à peu près totale des habitants de la ville de Leicester (Angleterre), l'épidémie de 1872 a causé tellement de varioles chez les vaccinés qu'on a abandonné la vaccination pour la remplacer avec succès par des mesures prophylactiques. L'épidémie de variole de 1918-1919 aux Philippines, dont la nation est depuis 1905 une des plus complètement vaccinée du monde, a frappé indistinctement vaccinés et non-vaccinés, causant 145 317 cas et 63 434 morts. La mortalité par variole a atteint 65, 3% à Manille, ville la plus fortement vaccinée du pays, alors qu'elle n'était que de 10% avant 1905. Les mêmes faits ont été constatés en Allemagne et au Japon. Ce sont là des preuves formelles qui établissent que la vaccination jennérienne ne protège pas contre la variole et qu'elle accroît même fortement la mortalité. »

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Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997.

{page 150, 151}{Extrait 13}: ... quelques opinions scientifiques à ce sujet :

- Les professeurs J. Aleksandrowicz et B. Halileokowski, de l'Académie des Sceiences de Cracovie (Pologne), in « The Lancet » du 6 mai 1967:

« Des rapports déjà publiés, ainsi que nos propres observations, indiquent que la vaccination antivariolique provoque parfois l'apparition d'un cadre leucémique. Chez 5 enfants et 2 adultes observés dans les cliniques de Cracovie, la vaccination antivariolique a été suivie par de violentes réactions locales et générales et par la leucémie. »

- Le docteur B Duperrat, de l'Hôpital Saint-Louis, dans " La Presse Médicale " du 12 mars 1955:

« La vaccination provoque, en outre, une explosion de leucémie. »

- Le professeur René Dubos, dans "Man, Medecine and Environment", Praeger, New York, 1968:

« Le vaccin antivariolique provoque de graves encéphalites chez certains individus même s'il a été administré avec un soin extrême. La possibilité de contracter la variole est maintenant tellement réduite que les risques d'accident provenant du vaccin sont plus élevés que la possibilité de contracter la maladie elle-même. »

- Dans la revue "Vie et Action" de mars-avril 1966:

« En Grande-Bretagne, la vaccination antivariolique n'est plus obligatoire depuis 1898 et pourtant 5 fois moins de gens sont morts de variole en Grande-Bretagne qu'en France où cette vaccination est obligatoire. Il en est de même en Hollande. »

- Le Directeur scientifique de Pasteur Vaccins, dans "Le Monde" du 23 mai 1987:

« Les problèmes soulevés pourraient effectivement conduire à une remise en question de certains vaccins comme le BCG, le vaccin antipolio oral ou le vaccin contre la rougeole. »

- Robert R. Redfield et Al Walter Reed, de l'"Army Institute of Research du Department of Virus Diseases" dans la revue "The New England Journal of Medecine", vol. 316, n° 11, 12 mars 1987:

« Ce cas montre que la primo-vaccination antivariolique des personnes porteuses du virus du sida pose le risque que le vaccin déclenche la maladie et que les vaccinations multiples puissent accélérer le développement du sida. De plus, ce cas soulève des questions préoccupantes quant à la sécurité ultime des vaccins clonés sur virus vaccinia dans les pays en voie de développement dans lesquels le sida se propage de plus en plus. »

- La même revue relate le cas d'un militaire américain vacciné au moment de son incorporation contre différentes maladies, dont la variole, lequel a développé une vaccine généralisée, puis le sida, dont il est décédé très rapidement. Avant d'être incorporé, ce militaire avait subi un examen de santé complet comprenant une formulation sanguine qui faisait apparaître 6 200 globules blancs avec 24% de lymphocytes; tous les autres résultats étaient également normaux.

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Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997.{page 157} {Extrait 14}:

Une preuve évidente de l'inutilité et de la dangerosité du BCG est que l'Organisation mondiale de la santé, sans doute préoccupée par cette question d'efficacité, organisa une expérience à grande échelle aux Indes entre 1968 et 1971. Un district fut choisi comprenant 209 villages et une ville, soit 360 000 personnes. Toutes les personnes furent testées à la tuberculine, et négatives, furent divisées en 2 groupes: l'un fut vacciné; l'autre non. Ellles furent suivies dans des conditions rigoureuses durant 7 ans et ½. Le résultat a été le suivant: il y a eu autant de cas de tuberculose chez les vaccinés que chez les non-vaccinés. Autrement dit et suivant le rapport même de l'OMS (Groupe scientifique ICMR/OMS, n° 651, Genève, 1980):

« Le BCG ne conférait aucune protection au cours de 7 ans et ½ de surveillance ultérieure et la maladie bacillaire frappait beaucoup plus souvent les sujets qui avaient initialement réagi à la tuberculine, après vaccination, que ceux qui n'avaient présenté aucune réaction. »

SANS COMMENTAIRE!

La République fédérale d'Allemagne n'avait pas attendu ce rapport et, dès 1973, avait suspendu la pratique de la vaccination par le BCG. En France, depuis de nombreuses années, certains professeurs de médecine réclament l'abandon de la vaccination, ainsi le professeur J. Chrétien, pneumo-phtisiologue à l'hôpital Laennec, à Paris et le professeur J. P. Derenne, service de pneumologie de l'hôpital Saint-Antoine, aussi à Paris, qui se sont exprimés en maintes occasions dans des revues médicales comme "Le Concours Médical". Après la guerre de 40-45, ravagés et ayant souffert de conditions de vie précaires, les Pays-Bas présentaient de nombreux cas de tuberculose. Jamais, la vaccination par le BCG n'y fut pratiquée et, cependant, la tuberculose fut éradiquée. Depuis de nombreuses années, ce pays présente le taux le plus bas des pays d'Europe pour la mortalité par tuberculose. Par contre, les cas de tuberculose sont élevés dans tous les pays où la vaccination est obligatoire. Dans son buletin statistique (n° 1, 1974), le ministère de la Santé publique et la Sécurité sociale constate que là où la vaccination est obligatoire, dans les pays comme la Bulgarie, la Tchécoslovaquie, la Pologne, le Portugal, les cas de tuberculose sont en nette progression. Depuis 5 ans, nous assistons au même phénomène en France.

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Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997.

{page 159} {Extrait 15}: En mai 1930, un événement particulièrement tragique venait confirmer les dires du professeur Lignières. À l'hôpital de Lübeck (Allemagne), 72 nouveau-nés meurent à la suite de la vaccination par le BCG. L'enquête révèle que ce vaccin avait été préparé à partir d'une souche fournie par l'Institut Pasteur français. Un procès a lieu et les résultats de l'enquête font apparaître que le personnel de l'hôpital avait reçu l'ordre de détruire tous les flacons de BCG qui n'avaient pas été utilisés. Dans ces conditions, toutes preuves n'existant plus, le tribunal attribua le décès des 72 enfants à une erreur commise par des inconnus.

{page 170} {Extrait 16}: LE VACCIN CONTRE LE CHOLÉRA

Quoi qu'il en soit, il apparaît aux dires de certains experts ("Science et vie", avril 1973) que le vaccin protège seulement une personne sur 2 pendant une brève période de 4 à 6 mois et qu'on ne peut compter sur ce vaccin pour enrayer une épidémie. En 1988, une grave épidémie de choléra affecta l'Inde. Des milliers d'individus furent atteints. Or, l'Organisation mondiale de la santé avait réalisé quelques vaccinations expérimentales de masse en Inde en 1987, utilisant un vaccin mis au point par des cherceheurs astraliens. Ce vaccins avait été expérimenté sur des animaux et était administré par voie orale. Une immunité à vie était garantie avec une seule dose dont le prix était à la portée de toutes les bourses (Communiqué ATS-ANSA-REUTER et "Corrierre del Ticino", 25 juillet 1988). Cet essai de vaccination a-t-il provoqué l'épidémie? Cent mille personnes avaient été vaccinées dans la région de New Delhi.

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Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997.{page 176} {Extrait 17}:

À propos de la vaccination contre la coqueluche, le docteur G.T. Stewart, professeur de médecine à l'Université de Glasgow (Écosse), constate que 30% des cas de coqueluche se déclarent chez les vaccinés. Il y a lieu de faire remarquer que cette vaccination fut introduite en 1936 au moment où la mortalité due à cette infection avait considérablement diminué. Il en fut d'ailleurs ainsi chaque fois pour toutes les vaccinations. quant au profersseur George Dick de l'hôpital du Middlesex, autorité mondiale en matière d'immunologie, il déclare que "chaque année, le vaccin contre la coqueluche peut causer l'infirmité de nombreux enfants, provoquant des lésions cérébrales, ajoutant que les médecins sont toujours réticents lorsqu'il s'agit d'attribuer des méfaits à des thérapies qu'ils ont eux-mêmes recommandées " ("Daily Telegraph", 7 avril 1973). Et dans son ouvrage intitulé "La poliomyélite", cité dans « Survie » (1975) le docteur J. Pilette écrit que "le vaccin contre la coqueluche et le vaccin multiple Coqueluche-Diphtérie peuvent provoquer l'apparition de la poliomyélite, apparaissant de préférence dans les membres qui ont été inoculés.

Deux événements événements semblent donner raison au docteur Pilette. En Australie, dans l'État de Victoria, on a enregistré entre janvier et août 1949, 375 cas de polio dont 31 étaient liés au vaccin multiple auquel avaient été soumis le même nombre d'enfants en l'espace de 3 mois [donc 100% des enfants vaccinés!!!], alors qu'à Londres, sur 182 cas de polio chez des enfants de moins de 5 ans, 35 avaient reçu 4 semaines auparavant une inoculation de vaccin contre la coqueluche ou le vaccin mixte coqueluche-diphtérie.

Le journal "JAMA ( Journal of the American Medical Association)", en 1982, reconnaissait que "depuis le début des vaccinations avec le vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche, on a pu observer des réactions aiguës d'encéphalopathies liées au vaccin.

Cela, on le savait depuis bien longtemps!

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Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {page 177 et 178} {Extrait 18}:

LE VACCIN POR (Rougeole, Oreillon, Rubéole)

Un groupe médical de réflexion suisse composé des docteurs H. Albonico, P. Klein, C. Grob et D. Pewner et travaillant en collaboration avec 180 médecins suisses et différents spécialistes suisses, allemands et américains ainsi qu'avec le Center of Diseases Control (CDC) aux USA et le professeur D. Jachertz à Berne, épidémiologiste réputé, a publié un rapport à propos de la vaccination ROR (2 novembre 1990). De ce document ressort une vive critique du principe de cette vaccination, cette critique étant fondée sur divers accidents produits, en particulier aux USA. On y lit que de sévères épidémies de rougeole récemment déclarées aux USA et en Hongrie, 2 pays affichant une haute couverture vaccinale depuis plusieurs années, permettent de mettre en doute l'efficacité du vaccin. Selon le professeur Diether Jachertz, cité par ce rapport, les risques encourus étant imprévisibles, il faut se garder, en l'absence d'urgence sanitaire, "de transformer une maladie à caractère endémique en épidémie par une vaccination systématique."

Ce rapport rend aussi compte de la situation aux USA en 1990, à savoir que malgré une haute couverture vaccinale, les cas de rougeole sont depuis deux ans en constante augmentation. Les nourrissons et les adolescents sont les nouvelles vistimes de ces épidémies. De source officielle, la mortalité est alors 10 fois supérieure à celle enregistée avant l'introduction du vaccin. La plupart des décès sont attribués àa pa pneumologie rougeoleuse. Un quart d'entre eux concerne les enfants de moins de 1 an et on observe la même proportion pour les jeunes adultes (19-33 ans).

Lors du lancement de la campagne suisse de vaccination ROR en 1987, l'exemple des États-Unis fut présenté comme un modèle de référence. Après 20 ans de vaccination systématique obligatoire, les USA avançaient un taux de vaccinés de plus de 95% et une réduction massive des cas de rougeole. Cependant, la situation récemment rencontrée en 1989-1990 donne matière à réflexion. Depuis 1982, des épidémies de rougeole toujours plus importantes ont fait leur apparition. L'augmentation des déclarations de cas de rougeole en 1989 par rapport à l'année précédente fut de 380% !

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Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {page 181 et 182} {Extrait 19}:

LE VACCIN CONTRE L'HÉPATITE B

(...)

Il y a une dizaine d'années, l'hépatite B était censée atteindre deulement les médecins et les infirmières, ceci au contact du sang d'un malade ou par suite de piqûres. On sait aujourd'hui que la maladie se transmet par voie sexuelle. Le virus de cette maladie a été découvert aux États-Unis en 1963. Les premiers vaccins furent réalisés et utilisés en 1976 par l'équipe du professeur Maupas, à Tours, en France. En 1991, dans ce pays, la loi rendit obligatoire la vaccination contre l'hépatite B pour le personnel de santé. Peu nombreuses, ces premières vaccinations n'ont pas été suivies et, par conséquent, on ne peut savoir quels effets secondaires se sont produits chez les vaccinés. Par contre, on sait que cette vaccination obligatoire pour le personnel de santé fut un échec avoué. De toutes façons, depuis 1976, il s'est écoulé trop peu de temps (20 ans) pour vérifier l'inocuité et l'efficacité du vaccin puisque les cirrhoses et cancers du foie mettent de 15 à 20 ans pour se manifester. Le recul n'est donc pas suffisant. Les enfants vaccinés à l'automne 1994 (plus de 500 000) avec l'Engerix B, et non suivis à cause de leur nombre, présenteront probablement des cancers et autre affections graves dans 15 ou 20 ans. Malgré cette évidence, les fabricants de vaccins qui considèrent que le temps est de l'argent et souhaitent réaliser un chiffre d'affaires et des bénéfices records, voudraient que la vaccination contre l'hépatite B devienne obligatoire. À cet effet, ils font pression de tout leur poids sur les instances politiques qui leur sont inféodées.

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Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997. {page 199} {Extrait 20}:

LE VACCIN CONTRE LA POLIOMYÉLITE

Le vaccin contre la poliomyélite a été l'un des premiers vaccins antiviraux. Mis au point par le biologiste Salk, il fut fabriqué à partir de cultures du virus sur reins de singes. Des dizaines de millions d'enfants furent vaccinés jusqu'en 1960, date à laquelle on découvrit qu'il était contaminé par le virus SV 40 du singe, virus qui avait échappé à l'attention des fabricants de vaccins et qui, on le saura trop tard, provoquait des tumeurs chez les hamsters et une cancérisation chez l'homme, ainsi que le révélèrent certains expérimentations sur tissus humains.

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Vaccination : erreur médicale du siècle; par Dr. Louis de Brouwer m.d.; Éd. Louise Courteau 1997.

{page 209} {Extrait 21}:

CONCLUSION

Dans les pays européens, mais particulièrement en France, l'affaire du sang contaminé par le virus du sida a défrayé la chronique, apparaissant au grand public comme un révélateur des pratiques scandaleuses du monde médical. C'est avec stupeur que les gens qui avaient une absolue et imbécile confiance à l'égard de la médecine allopathique institutionnelle ont appris que des produits contaminés avaient été sciemment vendus à des hémophiles, les vouant à une mort certaine à moyen terme. Pour des raisons de profit, au lieu d'être retirés du marché, les stocks de sang contaminé ont continué à être vendus. Dans le même temps, toujours pour des rasons d'ordre économique, les tests de dépistage proposés par deux laboratoires américains étaient refusés afin de permettre à l'Institut Pasteur, pris au dépourvu, de développer un test "français", source de profit pour cette institution et pour l'État.

Dans cette sombre histoire, placé sous le signe du cynisme le plus criminel qu'il soit, ont trempé des hommes politiques, leurs conseillers sortis tout droit de l'Institut Pasteur et, surtout, des médecins en charge de la santé publique, oubliant leur devoir le plus élémentaire, celui de la préserver.

[Note -> la même philosophie règne dans le milieu de la vaccination!!!]

{page 214} {Extrait 22}:

En l'absence d'une connaissance immunologique exacte, le principe absurde et antiscientifique des vaccinations pouvait à la rigeur, il y a 100 ans, être compris: il relevait de l'empirisme. De nos jours, alors que de sérieux progrès ont été accomplis dans le domaine de l'immunologie et de la virologie, poursuivre dans cette voie constitue à n'en pas douter un crime contre l'humanité. Allons-nous, longtemps encore, subir la loi des fabricants de vaccins, de leurs zélés serviteurs du corps médical et des politiques corrompus qui les soutiennent? La question est posée.

(...)

Au moment même où je termine cet ouvrage, l'un de mes correspondants américains m'adresse un fax par lequel il me rent compte d'un article paru dans le "New York Times" du 16 mai 1995, sous la plume d'un médecin nommé Lawrence K. Altman. Cet article remet complètement en question la réputation et les travaux de Pasteur, accusé par l'auteur d'avoir volé les idées et les découvertes de ses rivaux. Le docteur Altman démontre, après examen attentif et objectif des documents de laboratoire de Pasteur, que ce dernier a triché lors de ses expérimentations et qu'il a volé les travaux réalisés par d'autres.

........... F I N ......

Livre Jaune N° 6, Éd. Felix, par un Collectif d'auteurs, ©2000.(pages 384 à 386)

LE PROJET SIDA ! [1/4]

Aurelio Peccei a proposé plusieurs projets, tous secrets. Le projet principal consistait à développer un microbe, qui attaquerait le système immunitaire, et pour lequel un vaccin serait presque impossible à développer. L'ordre a donc été donné de développer ce microbe, sans oublier les moyens prophylactiques et une thérapeutique appropriée. Le microbe devait être dispersé dans le population, les moyens prophylactiques seraient réservés à l'élite. Quand la population aurait sffisamment baissé, on pourrait officiellement anoncer la découverte du médicament pour soigner les survivants. Il est clair que le médicament existait depuis le début de l'opération. Ce projet fait partie intégrante du projet Global 2000. Maintenant c'est à vous de deviner comment s'appelle ce microbe? Évidemment, il s'agit du virus du Sida!!

Le projet a été approuvé par le Congrès en 1969, sous le numéro de code H.B.15090. 10 millions $ ont été versés pour la première tranche. Des témoignages devant la commmission de Sénat ont révélé qu'un « agent synthétique et biologique devait être développé, un agent qui n'existe pas dans la nature et contre lequel l'organisme est incapable de produire des anticorps. Il doit être possible de développer ce micro-organisme dans les 5 à 10 ans à venir Il est primordial qu'il soit résistant à tout processus immunologique et thérapeutique connu ». Sir Julian Huxley dit à ce sujet: « La surpopulation est la plus grande menace que notre espèce aura à affronter dans le futur ».

Le projet SIDA, qui porte à ce moment-là le nom de MK-NAOMI, a été élaboré à Fort Dertrick, dans le Maryland. D'après les explications du Dr. Strecker, on a mélangé des rétrovirus mortels, des virus de leucémie, (bovin leikemia) avec des virus « visna » du mouton, et on les a injectés dans du tissu humain.

Comme il fallait agir sur une grande partie de la population, on a commencé par les populations « indésirables »: les Noirs, les hispaniques et les homosexuels ont été encouragés d'un côté à exprimer leur différence, d'un autre côté ils se sot retrouvés sur la liste des personnes à éliminer.

L'OMS (Organisation Mondiale de la santé) a collaboré à ce projet, aux côtés du National Cancer Institute. Des articles ont été publiés, pour inciter les chercheurs à développer un virus mortel pour l'homme. En 1972, l'OMS publiait ce genre de propos: « Nous faisons des recherches pour savoir si certains virus peuvent agir sur les fonctions immunitaires. Il faut inclure la possibilité que la réaction immunitaire face au virus diminue, si le virus endomageait les processus antiviraux de la cellule ».

Pour l'exprimer plus simplement il faudrait dire: « Développons un virus qui peut détruire les cellules-T quand on l'administre de façon volontaire ».

Le continent africain a été infecté en 1977, à travers la campagne de vaccination contre la variole. La vaccination a été réalisée par l'OMS. Le Dr Strecker assurait qu'en l'espace de 15 ans, toute l'Afrique serait dévastée, si on ne trouvait pas le remède! Certains pays ont dépassé depuis longtemps le stade de l'épidémie!

Le médecin courageux qui a révélé au grand public ce projet s'appelle Théodore A. Strecker. Il aurait dû être récompensé du prix Nobel, mais il peut s'estimer heureux de ne pas avoir été victime d'un suicide (le suicide typique, c'est le célèbre chercheur californien qui s'est ligoté les mains dans le dos, s'est pendu et a sauté ensuite du 20e étage. Aucune trace indiquant une intervention extérieure n'a été retrouvée [...] )

En 1978, une partie de la population américaine a été contaminée, à travers le vaccinn contre l'hépatite B. Le Dr Wolf Schmugner, l'ancien compagnon de chambre de Jean Paul II, a été l'instigateur de cette opération, réalisée par le "Center for Disease Control", de novembre 1978 à octobre 1979, et de mars 1980 à octobre 1981. Schmugner est né en Pologne, il a fait ses études en Russie et a ensuite immigré aux États-Unis, en 1969. Par des chemins détournés, il a été nommé directeur de la banque du sang new-yorkaise. C'est lui qui a dispersé le virus du Sida sur l'Amérique du Nord. Il était responsable de la campagne de vaccination contre l'hépatite B, c'est lui qui a décidé du mode d'application, à commencer par les homosexuels. Par voie de petites annonces, on cherchait des homosexuels mâles de 20 à 40 ans. Ce qui a provoqué le Sida était contenu dans le vaccin, était fabriqué à Phoenix, en Arizona et était conditionné en bouteille. Toutes les données sur cette campagne de vaccination sont entre les mains du ministère de la Justice, où elles sont à l'abri pour longtemps.

Le signal de départ a été donné par le comité des Bilderberger, En Suise, en même temps que d'autres directives importantes. Celle qui est la plus facile à démontrer est la Haig-Kissinger-Depopulation Policy appliquée par le State Department. La directive précisait que les pays du tiers-monde devaient entreprendre des actions efficaces pour réduire leur population et la contrôler, pour pouvoir continuer à bénéficier des aides des États-Unis. Si un pays devait contrevenir à cet ordre, il verrait bientôt éclater une guerre civile, montée de toute pièce par la CIA. C'est une des raisons qui font qu'au Nicaragua, au Slvador et dans d'autres pays, plus de jeunes femmes que de soldats ont été tuées. Dans les pays catholiques, ce sont les Jésuites qui ont fomenté les guerres civiles. Le Haig-Kissinger-Depopulation Policy a été soutenue par les gouvernements successifs, elle est devenue partie intégrante de la politique extérieure américaine. Tous lles moyens sont bons pour réduire la population du globe, la guerre, la famine, les épidémies, les stérilisations de masse, par l'USAID par exemple. L'organisme de planification ne se trouve pas à l'intérieur des murs de la Maison Blanche. Cette commission s'appelle Ad Hoc Group on Population Policy, elle dépend du National Security Council. L'état-majo est au State Departement's Office of Population Affairs, créé en 1975 par Henry Kissinger, alors ministre des Affaires Étrangères. C'est le même groupe qui a rédigé le rapport Global 2000, remis entre les mains du président d'alors Jimmy Carter.

Thomas Fergusen, chargé de mission au State Departement's Office of Population Affairs (OPA) pour l'Amérique latine a dit la chose suivante: « Il n'y a qu'une chose qui compte pour nous, nous devons réduire la densité de population. Soit ils le font comme nous voulons, c'est-à-dire avec des méthodes propres (Sida, stérilisation), soit nous assisterons à d'autres boucheries, comme au Salvador ou à Beyrouth. La surpopulation est un problème politique. Si elle échappe au contrôle des autorités, il faut un pouvoir autoritaire, s'il le faut fasciste, pour y remédier. Les professionnels ne veulent pas réduire les populations pour des raisons humanitaires. C'est louable, mais il ne s'agit en fait que de matières premières et de facteurs d'environnement. Nous avons des raisons stratégiques qui nous poussent dans cette direction. Le Salvador n,est qu'un exemple parmi d'autres, qui montre que notre échec dans la réduction des populations a conduit à une grave crise nationale. Le gouvernement salvadorien n'a pas réussi, avec nos méthodes, à réduire la population de façon significative. C'est pourquoi il a eu droit à une guerre civile. La guerre cilile est l'ultime tentative pour réduire la population. Le moyen le plus rapide d'y parvenir reste la famine, comme en afrique, ou une épidémie telle que la peste noire, qui pourrait un jour s'abattre sur le Salvador ».

AVANT PROPOS

Chanceux, celui qui arrive à mettre les mots aux maux, à oxygéner, à démystifier, à faire rêver…. et pourtant tout en parlant de choses sérieuses à la fois.

Tout ce que je fais est avec amour, et n’a pas le but de blesser ou de juger, même si parfois je m’avanture dans ces sentiers. Mais je ne m’y attarde jamais, et je m’empresse de continuer afin de retourner avant toute noirceur au bercail de mes objectifs qui sont de comprendre et de proposer.

Donc, qu’on se le tienne pour dit : si quelques uns de mes propos vous causent des préjudices : veuillez m’excuser car là n’est jamais mon intention : mais je dois souvent passer par ces questionnements pointilleux pour découvrir des sentiers différents et plus humains pour tous. Permettez-moi ces écarts et cet audace : en espérant que le contenu en vaudra le risque. Mon objectif est l’Amour, l’amour autour de moi et autour de vous.

Pour

…tous ceux et toutes celles dont les talents sont morts sur les bancs des écoles ou qui sont bloqués par ce barrage social; et qui nourrissent l’espoir que la société d’hier meure pour renaître autrement … à un contexte de vie plus humain et plus adéquat.

Qu’il puisse les libérer et les défendre comme ils le méritent tous contre une Société mercantile qui les conditionne dès leur enfance à reproduire ce système --- système qui osera par la suite les accuser de le reproduire!

Il se veut un outil pédagogique tant pour les enseignants que pour tous ceux qui cherchent à comprendre comment se perpétue ce système et comment peut-être l’améliorer chacun à sa façon.

Que ce livre soit le dernier manifeste à dénoncer nos États hiérarchistes et méritocratiques, dictés par une Économie obsédée par le Profit, et qui se perpétuent à travers nos Système d’Éducation et les Médias.

Ce document est le premier à établir les prémisses d’une nouvelle forme de principes humanistes qui respectent le développement naturel et non forcé de chacun.

L’écriture de ce livre m’a défoulé, et j’espère que sa lecture fera de même pour vous. Et si je me trompe quelquefois ou que vous croyez que j’exagère … veuillez me pardonner : je ne suis qu’un pauvre malheureux surdiplômé boudé par … et l’enfant d’un Système contrôlant, intimidant et impitoyable !

Cet ouvrage constitue un réquisitoire, une contribution au dialogue pour une Éducation orientée ‘’personne’’.

Je m ‘en suis pris au Monde Entier : ça m’a défoulé … faites-en autant !

J’espère que mes écrits susciteront en vous la confiance et l’amour de tous les humains. Qu ‘ils vous amèneront à trouver maintes solutions pour répondre aux besoins de tous les gens sans exception.

Oui, j’ai encore confiance en l’humain, mais il faut juste parfois les secouer un peu ou les mettre au pied du mur (comme se veut de le faire ce livre) pour les amener à agir ! … Je me considère comme quelqu’un de très positif, sinon je n’aurais jamais pris la peine de dénoncer pour essayer ensuite de suggérer des alternatives réalistes aux gens et surtout aux décideurs.

“ ELLE SURVIT À LA RAGE SANS VACCIN’’ titrait Le Journal De Québec 1-9-7 p.28

Jeanna Giese, mordue par une chauve-souris, a dû réapprendre à parler, à marcher et à fonctionner.

Les vaccinations attentent à la spécificité humorale, donc, détruisent notre système immunitaire et l’empêchent de réagir selon la voie qui lui est propre (le SIDA par exemple où notre système immunitaire ne réagit plus normalement)

Robert Mc Namara, lorsqu’il était secrétaire à la défense, sous Kennedy et Johnson, puis en sa qualité de président de la Banque mondiale, il planifia la guerre du Viêt-Nam tout en jouant un rôle central dans le déclenchement dans la course aux armements nucléaires et dans le commerce des armes. Il intervint également dans l’édification de la structure financière qui est à l’origine de l’endettement catastrophique du tiers monde. Mc Namara fut en grande partie responsable de 4 des plus terribles désastres qui ébranlèrent l’Occident de l’après-guerre. <> C’est ce qu’a déjà dit M. Robert Mc Namara, ancien président de la Banque Mondiale, ancien secrétaire d’État des U.S.A. qui ordonna des bombardements massifs du Vietnam et qui était un instigateur du P.E.V. (Programme Élargi de Vaccination.

Contrôle démographique par les vaccins (V.I.H. et autres). La vaccination est utilisée comme arme bactériologique depuis longtemps…que ce soit pour décimer des populations précises. L’Afrique est le pays le plus vacciné au Monde et c’est aussi là où il y a le plus de cas de sida étrangement! Le vaccin causerait-il le sida ? Les vaccinations font le lit des leucémies infantiles et celui du sida ! - - - > > > Commandé par l’O.M.S., en 1978, on procéda aux essais d’un nouveau vaccin sur les homosexuels de Chicago, de New York et Saint-Louis et sur ceux de San Francisco en 1980. Ce nouveau vaccin officiellement contre l’hépatite B, causa la mort par le SIDA de plusieurs d’entre eux comme nous le savons maintenant. C’est la première hécatombe officiellement reconnue du SIDA ! <>

MANIPULATION DU VIVANT

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Quant aux vaccins qui sont produits par génie génétique, au lieu d'utiliser le virus ou la bactérie, on isole certains segments de leurs chromosomes puis on les greffe sur d'autres pour obtenir des éléments hybrides, non existants dans la nature. Il s'agit donc d'une manipulation du vivant.

Ainsi, le vaccin contre l'hépatite B inocule de façon absolument certaine des substances éventuellement cancérigènes et des résidus d'outils de manipulations génétiques qui pourraient bien être à l'origine de cas de tératogenèse. Le rapport 747 de 1986 de l'OMS, signalait qu'on pouvait retrouver dans le produit final des protéines capables de cancériser d'autres cellules et surtout de l'ADN provenant de cellules de culture, avec le risque de malignité que pourrait représenter à long terme un ADN contaminant hétérogène, en particulier s'il s'avère qu'il contient des séquences codantes ou régulatrices, potentiellement oncogènes. Pour le vaccin GenHevac B, il s'agit de fragments du génome de deux virus, le SV 40, virus de singe et le MMTV, virus de la tumeur mammaire de la souris.

Détail encore plus inquiétant, ce vaccin pourrait aussi contenir une certaine enzyme, la TdT (Terminal Desoxynucleotidyl Transferase), que l'on trouve dans diverses cellules normales et pathologiques. On la trouve aussi dans les rétrovirus, virus dont le génome est un ARN, susceptible d'induire dans l'ADN des cellules réceptrices des séquences nucléotidiques non désirables, et capables de modifier les gènes en multipliant ainsi considérablement les maladies génétiques et autres aberrations chromosomiques chez les vaccinés et leur descendance.

+ les vaccins anti-grippe retirés du marché (degats des vaccinations) voir vaccinations-intoxications

DES EFFETS CANCERIGENES

Le potentiel mutagène de cette enzyme a été démontré dans des essais in vitro lors de la synthèse d’ADN. Mais les effets mutagènes de fragments d’ADN peuvent mettre plusieurs dizaines d’années à déclencher une pathologie cancéreuse. Comme dans le passé, on entendra alors les responsables déclarer: "En l'état des connaissances de cette époque, personne ne pouvait savoir ce qui risquait d'arriver ". Personne ne "pouvait " ou ne "voulait " ?

Nous sommes à présent habitués à découvrir, plusieurs décennies après leur mise sur le marché, que certains vaccins étaient dangereux, tels les vaccins TAB et DT-TAB, dont on a appris, 50 ans plus tard, que non seulement ils étaient inefficaces mais surtout qu'ils n'étaient pas inoffensifs, comme il a fallu 45 ans pour admette officiellement que le vaccin contre la fièvre jaune a introduit le virus de l'hépatite B chez les vaccinés ! Quant au vaccin Salk contre la polio, il a été administré pendant plus de 9 ans à 600 millions de personnes avant qu'on ne signale qu'il était contaminé par le SV 40 du singe, qu'on retrouve dans de nombreux cancers.

D'après Harris Coulter, éminent spécialiste américain de l'histoire des vaccinations, dans son livre "Vaccination, social violence and criminality", toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légére ou grave. Ce phénomène s'accompagne d'une démyélinisation qui empêche un développement normal des gaines de myélinedans le cerveau. Ces modifications pathologiques conduisent à des handicaps divers et des problèmes de comportement.

EPIDEMIES ET VACCINS: L’EXEMPLE DE LA PESTE

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On nous fait croire à tort que la plupart des épidémies ont disparu grâce aux vaccinations. Pourtant, la peste a sévi pendant des siècles à travers le monde et s'est éteinte totalement sans aucune vaccination. Pourtant, les grandes épidémies de lèpre ne sévissent plus, bien qu'il n'existe aucun vaccin contre cette maladie. D'une manière générale, le recul des maladies a toujours commencé bien avant l'introduction des vaccins.

De plus, si la disparition des épidémies était essentiellement due aux vaccinations, ces maladies devraient continuer à sévir dans les pays qui ne les ont pas pratiquées ou qui les ont abandonnées, alors que l'histoire de l'épidémiologie démontre tout à fait le contraire et la presse scientifique internationale atteste du reste que des épidémies se déclarent encore dans des pays où la couverture vaccinale est presque totale.

Depuis 1949, date à laquelle aucune obligation vaccinale ne fut plus imposée aux citoyens britanniques, le Royaume-Uni a brillamment démontré que la suppression des obligations vaccinales n'a pas entraîné un quelconque retour des épidémies, argument toujours invoqué par les vaccinalistes pour continuer à vouloir imposer les vaccinations.

Les pays de l'Est ont pratiqué pendant près de 50 ans la vaccination systématique, couvrant ainsi la quasi totalité de leur population. Or, c'est dans ces pays que resurgissent la diphtérie et la poliomyélite. Il est donc légitime de penser que d'une part ce vaccin n'a pas été aussi efficace qu'on le prétendait et d'autre part qu'il a engendré des modifications bactériennes directement liées aux souches vaccinales.

Le constat d'inefficacité de certains vaccins est tellement patent qu'il est parfois établi par les laboratoires eux-mêmes. Ainsi SmithKline Beecham, fabricant du vaccin hépatite B, a déclaré :

"La vaccination contre HBV, obligatoire pour certains groupes à risque, mériterait d'être étendue à une plus large population, la plus jeune notanunent, la vaccination des sujets à haut risque n'ayant eu, semble-t-il, aucun impact aux Etats-Unis sur l'incidence de la maladie." (cf. Le Concours médical, vol. 15, n°4, 1993).

Constat d’inefficacité dressé par le laboratoire fabricant qui pourtant recommande d'étendre une vaccination qui se révèle n'avoir aucun impact sur la maladie !

FABULEUX MARCHE

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Toutes ces dérives et l'omerta qui règne sur les accidents vaccinaux sont dus au poids indéniable du marché des vaccins dans l'économie mondiale. Evalué à 18 milliards de FF en 1995, dont 6 milliards pour l'Europe, il devrait atteindre la barre des 50 milliards en 2005. (cf. L'Expansion n°555 - 28/8/97).

Troisième source de revenus du groupe Smithkline Beecham; après les antibiotiques et les médicaments du système nerveux, les vaccins représentent 16% du chiffre d'affaires du groupe et devaient parvenir en 2001 aux 20%. Comme l'a annoncé "Panorama du médecin" du 20/10/94, une filiale Pasteur-Mérieux- MSD, dotée d'un capital de 400 millions de FF, a été créée afin de développer en Europe la totalité des vaccins des maisons mères et d'élargir leur champ d'action.

Pour les gouvernements, il est difficile, de s'opposer aux laboratoires qui sont plus riches que les Etats eux-mêmes, autant au sujet des vaccins qu'au sujet des médicaments. Ils se font ainsi les complices des lobbies pharmaceutiques omnipotents.

Actuellement, sévit une véritable chasse aux sorcières à l'encontre de ceux qui ont la témérité de critiquer le dogme vaccinal et l'opacité qui le recouvre. Ces scientifiques, pourtant de haut niveau, sont immédiatement et unanimemement accusés d'appartenir à une secte par le Ministère de la Santé, les experts, l'Administration, puis le conseil de l'Ordre. Il faut ainsi beaucoup de rigueur, de courage, de conviction et d'abnégation aux chercheurs qui osent dénoncer les graves dérives et les dangers du système...

LA TRILOGIE DU MENSONGE (extrait du livre LA MAFIA MÉDICALE, pp. 115 à 133)

Les mensonges des autorités

"Les vaccins nous protègent."

"Le sida est contagieux."

"Le cancer est un mystère."

Depuis des années, les autorités nous content des mensonges gros comme des montagnes. Comme nous croyons les autorités, nous croyons leurs mensonges dur comme fer. il ne nous viendrait jamais à l'idée de douter de leur sincérité. Et pourtant...

Regardons de plus près trois des plus gros mensonges.

La trilogie du mensonge

L'INEFFICACITÉ des vaccins à protéger contre les maladies:

- la vaccination peut provoquer la maladie qu'elle est censée prévenir.

- la personne vaccinée peut transmettre la maladie, même sans être malade elle-même.

- la vaccination peut sensibiliser la personne à la maladie.

En 1905, le taux de mortalité due à la variole s'élevait, aux Philippines, à 10%. Après une vaccination massive, se déclara une épidémie qui frappa mortellement 25% de la population - dûment vaccinée. Malgré cet échec, les autorités intensifièrent les vaccinations. En 1918, la pire épidénÉe tua 54 % des gens, alors que la population était vaccinée à 95 %. Manille, la capitale, où les habitants étaient tous vaccinés et revaccinés, fut la plus touchée: 65,3 %. Lîle de Mindanao, où les indigènes avaient refusé la vaccination, fut la moins touchée: 11,4 %. Malgré ces évidences, la vaccinadon antivariolique continua et l'O.M.S. lança, en 1966, une campagne mondiale qui dura 10 ans et fut abandonnée en raison de son inefficacité.

2. L'INUTILITÉ évidente de certains vaccins, notamment pour les maladies telles que:

- la tuberculose et le tétanos qui ne confèrent pas d'immunité, jamais. Le fait d'avoir eu la tuberculose ne nous empêche pas de récidiver. Au contraire, une première tuberculose (parfois causée par le vaccin) rend la personne beaucoup plus vulnérable à un second épisode, souvent mortel.

- la rubéole où 90% des femmes d'une population sont naturellement protégées et que les risques de contracter la maladie sont limités aux 3 premiers mois de la grossesse. Or on vaccine toute la population, y compris les garçons.

- la diphtérie qui, au moment des plus grandes épidémies, ne touchait que 7 % des enfants. or, on les vaccine tous. Plus encore, on vaccine de façon répétée enfants et adultes, bien qu'on prétende qu'un seul vaccin reçu dans l'enfance assure l'immunité ad vitam.

"L'enfant Vacciné est un enfant contaminé.', - Kalmar

"Vacciner, c'est remplacer une immunité naturelle par une immunité artificielle." - Simone Delarue

- la grippe et l'hépatite B dont les virus deviennent rapidement et fortement résistants aux anticorps des vaccins. Ces deux vaccins sont alors totalement inutiles, outre le fait qu'ils soient extrêmement dangereux.

La meilleure immunité, c'est l'immunité naturelle. Elle se retrouve normalement dans 80 à 90% de la population avant l'âge de 15 ans. Parce que la contamination d'une personne par une maladie mobilise tous les systèmes de défense de l'organisme, l'immunisation naturelle se fait dans l'ordre. Au contraire, la contamination vaccinale court-circuite toutes les premières défenses. L'immunisation artificielle se fait dans le désordre. Pas étonnant qu'elle exige des rappels fréquents... aussi inutiles que les vaccins eux-mêmes!

3. Les innombrables COMPLICATIONS dues aux vaccins

- allant des troubles mineurs (allergiques, neurologiques ... ) à la mort (mort subite du nourrisson);

- de courte durée ou permanentes;

- d'apparition immédiate, retardée ou tardive;

- passagères ou irréversibles;

- connues et inconnues.

Au cours de mes lectures, j'ai fait une liste des complications des vaccins, au fur et à mesure que je les voyais mentionnées. je vous la soumets telle quelle. je les ai disposées en trois colonnes, suivant qu'elles apparaissent:

- rapidement (1 jour à 1 mois après la vaccination) À COURT TERME;

- lentement (quelques mois à quelques années) À MOYEN TERME;

- tardivement (quelques années à quelques générations) À LONG TERME.

Les complications à court terme et à moyen terme sont connues et documentées. Les complications à long terme sont déjà évidentes dans certains cas. Mais nous n'avons pas encore les preuves vivantes pour toutes. Les désirons-nous vraiment? Voulons-nous attendre de constater l'apparition d'ailes de poulet sur nos petits enfants pour commencer à nous poser des questions sur les bienfaits de la vaccination?

POT-POURRI DE COMPLICATIONS DES VACCINATIONS

COURT TERME

La maladie elle-même ou ses formes atypiques:

- toux coqueluchoïque

- paralysie "polio-like

Allergies

- urticaires (géantes)

- eczéma

- exanthèmes (rougeurs)

- asthme

- malaises

- inflammation douloureuse

- réactions locales

- gonflement des ganglions

- choc anaphylactique pouvant conduire à la mort

Fièvre

Atteintes rénales

Purpura

Oedème (enflure)

Rhumatisme

Troubles gastrointestinaux

Mort subite du nourrisson 1 à 3 semaines après vaccin

Toutes les maladies aiguës du système nerveux:

- encéphalite grave à légère

- pan-encéphalite (vaccin-rougeole)

- méningite

- atteintes neurologiques irréversibles

- Guiflain-Barré

- paralysie cérébrale

- dommages cérébraux majeurs

"Infarctus vaccinal" chez les 30-40 ans

Hépatite B

Altération ou mort du ftus

MOYEN TERME

Désordres neurologiques

1) Autisme

2) Dommages cérébraux

- convulsions

- enfant hyperactif

- pleurs incessants

- troubles de l'appétit (anorexie/boulimie)

- atteinte des nerfs crâniens (aveugle / sourd / muet dyslexique)

- hypotonie

- retard de développement

- paralysie cérébrale

3) Problèmes mentaux

-arriération mentale

- troubles de comportement

- troubles de personnalité

- troubles intellectuels

- troubles d'apprentissage

- hypersexuafité

- instabilité émotionnelle

- délinquance juvénile

- personnalité sociopathe

- comportement criminel

Leucémies de l'enfant

Infections à répétition

Allergies nombreuses

LONG TERME

EFFETS SÛRS

1) Déséquilibre de notre organisme (écologie individuelle)

2) Affaiblissement de notre système immunitaire (défense naturelle)

3) Bouleversement à l'intérieur de nos cellules: altération permanente des chromosomes (ADN) (malformations)

4) Introduction de protéines étrangères transmissibles au code génétique d'une espèce (nouvelles formations)

CONSÉQUENCES- sclérose en plaques

- leucémies

- cancers

- sida

- malformations congénitales

Stérilité

"Chronic fatigue syndrome"

Épilepsie

Parkinson

Maladies cardiovasculaires

Allergies +++

Maladies dégénératives

- Alzheimer

- Lupus

- Arthrite

Réapparition de vieilles maladies résistantes aux médicaments

Apparition de nouvelles maladies inconnues

- Malformations congénitales

- Défauts génétiques héréditaires

- Mutations de l'espèce humaine

- Menace d'extinction de la race humaine

Les personnes qui travaillent un tant soit peu avec les enfants répugnent à vacciner J'ai une amie médecin qui, depuis toujours, refuse catégoriquement de vacciner contre la coqueluche. Elle préfère se faire réprimander par les autorités plutôt que d'avoir une mort ou une infirmité sur la conscience. Les personnes qui travaillent avec les enfants autistiques et/ou les enfants ayant des problèmes de comportement ou d'apprentissage savent aussi qu'il y a presque toujours une vaccination derrière le problème. Dernièrement, une gérontologue me racontait que ses patientes étaient malades pendant les 2 ou 3 mois qui suivaient le vaccin contre la grippe et que plusieurs mouraient au cours de cette période.

4. Les nombreuses PROTESTATIONS continuellement répétées de la part de spécialistes en la matière, de médecins consciencieux et de parents avertis ou ayant des enfants victimes de vaccins.

De très nombreux rapports de toutes sortes s'accumulent dans des dossiers et sont passés sous silence. Les autorités détiennent l'information, mais elles la verrouillent. il leur faudra 45 ans avant de divulguer la contamination de 175 000 à 600 000 soldats américains par l'hépatite B dont le virus était présent dans le vaccin contre la fièvre jaune!

5. Les LIGUES et les ASSOCIATIONS de parents dans les principaux pays occidentaux, telles que la DPT (Dissatisfied Parents Together), aux É.-U. et la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations (qui uvre depuis 40 ans et possède une bibliothèque et une documentation remarquables), en France mettent les autorités en garde contre les dangers des vaccinations et réclament le libre-choix des parents en madère de vaccination.

6. Les POURSUITES LÉGALES tellement nombreuses qu'elles mettaient en péril les fabricants de vaccins. Des fonds d'indemnisation aux victimes des vaccins furent établis par les gouvernements, tel le National Childhood Vaccination Compensation Law, voté par le Congrès en décembre 1986. Ce fonds autorise le paiement par le gouvernement - avec nos dollars et non ceux des fabricants de vaccins - d'un dédommagement aux enfants gravement handicapés par une vaccination.

7. Les conséquences catastrophiques et bouleversantes d'une DÉFICIENCE NEUROLOGIQUE étendue à un grand nombre d'enfants suite aux vaccins. Aux U.S.A., 20 % des enfants souffrent " de désordres du développement" ("developmental disabilities") consécutifs aux encéphalites causées par les vaccins. D'où bouleversement du système d'éducation incapable de scolariser un tel nombre d'enfants qui ne peuvent ni lire, ni écrire, ni compter. D'où également cette vague de violence sociale et de crimes perpétrés par des "personnalités sociopathes" créées par les vaccins.

8. Les CONSTATATIONS EFFROYABLES:

- création de nouvelles maladies incontrôlables (dont le sida) et de

- modification permanente et héréditaire de notre code génétique dont nous ne pouvons (et surtout n'osons pas) anticiper les conséquences.

Voici un exemplaire du RAPPORT D'INCIDENT ADVERSE RELIÉ À L'ADMINISTRATION D'UN VACCIN. Ce rapport est fourni aux institutions médicales par LE MINISTÈRE DE LA SANTÉ.

Des virus nouveaux se forment, se transforment, se multiplient, se transmettent d'une génération à l'autre par le sperme ou l'oeuf, le placenta et le lait maternel. Or, plusieurs vaccins sont faits avec des virus et proviennent de cellules d'animaux eux-mêmes contaminés par toutes sortes de virus. C'est ainsi qu'on eut la désagréable surprise de découvrir:

En 1960, que les cultures de cellules rénales de singes rhésus utilisées pour la fabrication du vaccin anti-polio étaient infestées du virus simien 40 (SV 40). Des millions d'enfants avaient donc été contaminés par ce virus simien 40 avant qu'on ne s'aperçoive de sa présence. Or, nous savons maintenant que le SV 40 cause: une déficience du système immunitaire + des anomalies congénitales + des leucémies (surtout chez les enfants de 2 à 4 ans) + des maladies malignes.

En 1973, des chercheurs démontrèrent que le taux des tumeurs cérébrales était des treize fois plus élevé chez les enfants nés de mères vaccinées contre la poliomyélite durant leur grossesse.

La rançon des vaccinations - F. et S. Delarue

En 1980, des chercheurs trouvèrent des fragments de SV 40 dans des tumeurs cérébrales humaines. Il semble y en avoir dans 25 % des cas.

En 1987, on confirma que le HTLV4 provient des singes verts d'Afrique. Or le virus de la leucémie humaine est le HTLVI et le virus du sida humain est le HTLV3. Il en est ainsi du virus de la leucose aviaire qui contamina la plupart des vaccins contre la fièvre jaune et contre la rougeole jusqu'en 1962. Des millions de personnes les avaient déjà reçus à ce moment-là. Puis on se demande D'OÙ VIENT L'ÉPIDÉMIE DU SIDA?

EN DÉPIT DE TOUT CELA, les autorités continuent non seulement à vacciner nos enfants du berceau à l'école, mais elles étendent cette pratique aux adultes. Non contentes d'exercer leurs ravages chez nous depuis les vingt dernières années, elles les proposent au monde entier. Sachons que 45 % des fonds de l'Unicef sont affectés à la vaccination des pays du Tiers-Monde, tandis que 17 % seulement sont consacrés à l'eau et à l'assainissement, bien qu'un rapport dû à cette même Unicef précise que "une personne sur cinq dans le monde ne dispose toujours pas d'eau et d'un système d'assainissement fiable"! Les enfants du Tiers-Monde ont besoin d'eau propre et de nourriture, non pas d'agents agressifs qui les font mourir comme des mouches. Les vaccinations massives des pays d'Afrique ont décimé ces populations par leurs effets immédiats et, maintenant, par le sida... Et on persiste toujours de vacciner! Mieux encore, les autorités mondiales ont lancé le PÉ.V. (Programme Élargi de Vaccination universelle des enfants) dont l'objectif est la vaccination de tous les enfants du monde contre les six maladies les plus communes de la petite enfance: poliomyélite, diphtérie, tétanos, rougeole, coqueluche, tuberculose.

Réalisons que: les autorités nous tiennent un discours bien différent de la réalité.

La vraie épidémie, c'est la vaccination.

La vaccination prévient les épidémies

Les autorités mondiales

Le gouvernement mondial, c'est l'O.N.U. (Organisation des Nations unies). Son ministère de la Santé, c'est la toute sainte O.M.S. (Organisation Mondiale de la Santé). Le gouvernement mondial est en train d'imposer partout au monde.

LE NOUVEL ORDRE MONDIAL

Pouvoir mondial tout-puissant, gouvernement des gouvernements, dont le but tout théorique serait d'assurer la paix dans le monde... Vraiment? Regardons ce que cela donne. Dans les faits. Par le truchement de son ministère de la Santé, l'O.M.S., l'O.N.U. a procédé aux réalisations suivantes:

- En 1974, sainte O.M.S. lança un vaste programme pour promouvoir la "Santé pour tous en l'an 2000". Ce programme était l'aboutissement d'une longue lutte menée par les populations du Tiers-Monde qui obtenaient enfin

reconnaissance de leurs besoins propres et de leur participation aux décisions. Mais c'était aussi la consécration de sainte O.M.S. comme autorité mondiale en matière de santé.

Elle s'assurait ainsi l'initiative de l'orientation de la santé dans le monde, au-delà des gouvernements nationaux des pays.

The Rockfeller File - Gary Allen

- En 1978, les États membres de sainte O.M.S. se sont réunis à Alma Ata pour définir une politique commune de soins de santé primaires dans laquelle les populations seraient démocratiquement impliquées afin de faire face d'elles-mêmes à leurs problèmes de santé. Or, comme nous l'avons vu plus haut, de la Déclaration d'Alma Ata découla la mondialisation des recommandations du rapport Flexner, rapport qui imposait la médecine "scientifique" (médecine de maladie) comme seule valable et éliminait toutes les autres pratiques de la

médecine (médecine de santé).

Ce rapport avait été financé par la Fondation Carnegie et son application, par la Fondation Rockefeller. Les co-commanditaires de la conférence d'Alma Ata étaient les suivants: la Fondation Rockefeller, la Banque Mondiale, l'Unicef. Les financiers sponsorisant pour la santé du monde, quelle magnanimité !

- En 1983, pour atteindre son objectif louable de la "Santé pour tous en l'an 2000", sainte O.M.S. préconise la vaccination de tous les enfants du monde contre six maladies. Elle lance donc son PÉ.V., c'est-à-dire Programme Élargi de Vaccination. Un comité pour vacciner les enfants du monde est alors constitué par

Robert Mc Namara, ancien président de la Banque Mondiale (la Banque Mondiale est la banque officielle du gouvernement mondial, l'O.N.U.).

Jonas Salk, directeur du Salk Institute. Fabricant de vaccins et de réactifs biologiques, notamment pour l'armée américaine, le Salk Institute a un département qui travaille sous contrat avec le Pentagone. Le Wall Street Journal du 5 avril 1988 rapportait que le Salk Institute avait conclu un contrat avec l'armée américaine de 32,3 millions de $ pour la production de vaccinations et de réactifs biologiques.

Léopold Sédar Senghor, ancien président du Sénégal.

Van den Hoven, président d'Unilever, l'énorme multinationale pour l'exploitation du Tiers-Monde, dont la spécialité, est d'y imposer la monoculture d'arachides. Unilever est le plus important fabricant de margarine, d'huile et de savon du monde entier.

Sainte O.M.S., financiers, industriels et militaires se donnent la main pour sauver les enfants du monde. Comme c'est émouvant!

En 1984, pour réaliser les voeux pieux de sainte O.M.S. (la vaccination de tous les enfants du monde), cinq institutions respectables: sainte O.M.S., U.N.I.C.E.E, Banque Mondiale, programme de développement des Nations Unies, Fondation Rockefeller unissent leurs efforts et fondent ensemble la Force d'intervention pour la Survie de l'Enfant.

Elles tiennent à poursuivre et à élargir le programme de vaccination à l'échelle mondiale. L'Unicef est encouragée, dans sa noble aventure, par la Fondation Mérieux (qui possède 30 % du marché mondial de la fabrication des vaccins) et l'institut Pasteur. Quelle générosité!

En 1989, pour imposer aux enfants les programmes d'immunisation prévus par le RÉ.V. (Programme Élargi de Vaccination) et vaincre les résistances et les oppositions des adultes récalcitrants, sainte O.M.S. va chercher des outils contraignants. Toujours pour le bien des enfants, évidemment. Elle fait adopter par POXU. la Convention des Droits de l'Enfant pour améliorer le sort de l'enfance dans le monde. Quelle bonté ! Cette convention impose unilatéralement et arbitrairement, sans discussion, ni représentation, ni concertation des citoyens, des changements fondamentaux dans la structure de notre société et de notre famille.

En pratique, cette convention:

1. établit la notion de citoyenneté de l'enfant;

2. remplace le droit d'autorité des parents par un devoir d'obéissance aux autorités administratives;

3. autorise les autorités à séparer un enfant de parents négligents;

4. reconnaît à l'enfant la liberté de choix, de pensée, d'expression, de manifestation de sa religion ou de ses convictions, d'association et de réunion pacifique, sauf les seules restrictions qui sont prescrites par la loi ou... ce qui touche la santé...

5. convient que les États s'efforcent d'assurer la réalisation intégrale du droit de l'enfant de jouir du meilleur état de santé possible et prennent les mesures appropriées pour.. développer les soins de santé préventifs... (dont la vaccination).

La Convention des Droits de l'Enfant permet aux autorités d'imposer par la force, contre le gré des parents:

1. les transfusions sanguines aux Témoins de Jéhovah;

2. les vaccins aux opposants aux vaccinations;

3. la médecine scientifique aux adeptes de médecines douces;

4. les traitements médicamenteux sévères à ceux qui les refusent (tel PAZT pour le sida, par exemple).

Réalisons que ce ne sont

- ni nous, les parents,

- ni nos enfants,

- ni nous, les patients,

- ai nos médecins,

- ai les autorités de notre pays

qui contrôlent notre santé, mais bien les financiers mondiaux cachés derrière la toute vénérée et respectée sainte O.M.S

Pourquoi cet acharnement meurtrier?

Dans quel but les autorités mondiales détruisent-elles la santé des populations des pays industrialisés comme du Tiers-Monde et les exterminent-elles? il est difficile de présumer des intentions des gens, surtout quand on ne les côtoie pas de près. Quelqu'un, quelque part, a certainement tout intérêt à maintenir les vaccinations et à les maintenir ainsi par des campagnes massives comme on le fait. Une chose est certaine, ce n'est pas notre intérêt à nous, les patients. Faute de connaître les bénéfices et les bénéficiaires, examinons les CONSÉQUENCES de ces programmes de vaccination massive et tirons-en les conclusions qui s'imposent.

1. La vaccination coûte cher:

un milliard de dollars US par année. Elle profite donc à l'industrie, comme nous l'avons vu plus haut: multinationales de vaccins et pharmaceutiques, notamment. L'une vend les vaccins, l'autre, tout l'arsenal médicamenteux pour répondre aux nombreuses complications qui s'ensuivent. Profits croissants pour les uns, dépenses croissantes pour les autres... jusqu'à ce que nous soyons égorgés et prêts à accepter l'inacceptable ... comme la médecine socialisée aux U.S.A., par exemple.

2. La vaccination stimule le système immunitaire (défense de l'organisme).

Répétée, la vaccination épuise le système immunitaire. Elle confère une sécurité trompeuse, puisqu'elle ouvre toute grande la porte à toutes les maladies (notamment aux maladies du sida qui ne peut se développer que sur un terrain immunitaire perturbé). Elle fait exploser le sida silencieux. Elle assure un marché de la maladie perpétuellement florissant.

3. La vaccination engendre la violence sociale et le crime.

Quelle meilleure façon de déstabiliser un pays, de désarmer ses habitants et de renforcer les contrôles policiers et militaires ? Les autorités créent subtilement des situations de panique et de peur dans la population qui, à son tour, réclame le renforcement des "mesures de protection" ainsi que l'interdiction de port d'arme par le citoyen. Les autorités accourent alors en sauveteurs et resserrent leur contrôle. Pour imposer une armée mondiale unique, il faut désarmer les citoyens de tous les pays. il faut donc créer de la violence pour les amener à le faire, surtout aux U.S.A. oÙ ce droit est garanti par la Constitution!

La vaccination encourage la dépendance médicale et renforce la croyance de l'inefficacité de notre système immunitaire. Elle crée des assistés permanents. Elle remplace la confiance en soi par la confiance aveugle en l'extérieur. Elle rend dépendant financièrement et engendre la perte de la dignité personnelle. Elle nous entraîne dans le cercle vicieux de la maladie (peur - pauvreté - soumission) et s'assure ainsi la soumission du troupeau, pour mieux le dominer, l'exploiter, et le conduire à l'abattoir.. La vaccination encourage aussi la dépendance morale et financière des pays du Tiers-Monde vis-à-vis des pays occidentaux (dons, vaccins, équipement pour les administrer .. ). La vaccination perpétue le contrôle social et économique des pays occidentaux sur les pays du Tiers-Monde.

Complexité = contrôle

5. La vaccination cache les vrais problèmes socio-politiques (pauvreté des uns due à l'exploitation des autres) en y apportant de pseudo-solutions techno-scientifiques si compliquées et sophistiquées que les patients ne peuvent comprendre. En détournant les fonds qui auraient dû servir à l'amélioration des conditions de vie et en les acheminant dans les banques des multinationales, la vaccination creuse encore le fossé entre les riches dominants et les pauvres exploités.

6. La vaccination décime les populations.

De façon aiguë, dans les pays du Tiers-Monde; de façon chronique, dans les pays industrialisés. À cet effet, écoutons Robert Mc Namara, ancien président de la Banque Mondiale, ancien secrétaire d'État des U.S.A. qui ordonna les bombardements massifs du Viêt-nam, et un des instigateurs du PÉ.V. ne mâche pas ses mots quand il déclare: Il faut prendr edes mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations. Réduire les taux de natalité s'est avéré impossible ou insuffisant. Il faut donc augmenter le taux de mortalité. Comment? Par des moyens naturels: la famine et la maladie." ('l'ai tout compris", no. 2, février 1987, Éd. Machiavel.)

7. La vaccination permet la sélection des populations à décimer.

Elle facilite les génocides ciblés. Elle permet de tuer les gens d'une certaine race, d'un certain groupe, d'un certain pays... et de laisser les autres indemnes... au nom de la santé et du bien-être de tous, évidemment.

Le Kala-azar comme par hasard!

Prenons l'AFRIQUE comme exemple. Nous constatons la disparition presque , complète (50 % de morts, prédisent les plus optimistes, 70 % de morts, les moins comme optimistes) de certains peuples africains. Comme par hasard, il y en a plusieurs dans la même région: Zaïre, Ouganda, extrême sud du Soudan. En 1967, à Marburg (R.EA.), sept chercheurs, travaillant sur des singes verts d'Afrique, sont morts frappés d'une fièvre hémorragique inconnue. En 1969, comme par hasard, la même maladie tue un millier (1000) de personnes en Ouganda. En 1976, une nouvelle fièvre hémorragique inconnue tue dans le sud du Soudan... puis au Zaïre...

Sachons que, comme par hasard,

- au cours du procès intenté à la C.I.A., Dr. Gotlieb, cancérologue, a reconnu avoir déversé, en octobre 1960, une grande quantité de virus dans le fleuve Congo (au Zaïre) pour le polluer et contaminer les populations qui utilisaient son eau. Dr. Gotfieb a été nommé à la tête du N. Cl (National Cancer Institute). (Ce sont les recherches fouillées du Dr. Eva Snead qui nous ont permis l'accès à cette information.)

- depuis 1968, des virologues (spécialistes en virus) avaient installé leur matériel sophistiqué en milieu hospitalier au Zaïre.

En 1992 ou 1993, je découvrais, dans un reportage de l'agence Reuter, que

"Une maladie semblable au sida a fait 60 000 morts dans le sud du Soudan... On l'appelle la maladie tueuse. Des familles, des villages entiers ont disparu... Cette maladie, le Kala-azar.. se traduit par de la fièvre et l'amaigrissement des malades. Les symptômes sont les mêmes que ceux du sida. Le système immunitaire est déficient et on meurt d'autres affections... "

Il est évident que l'Afrique, surtout les pays du centre et du sud, contiennent des ressources fabuleuses qui ont toujours suscité la convoitise des Occidentaux. Malheur à ceux qui résistent! Les colonies ont disparu... mais pas le colonialisme...

La paranoïa serait-elle une forme de conscience?, - Kerry Thornley

Expérimentation = extermination des minorités dérangeantes

8. La vaccination sert d'expérimentation pour tester de nouveaux produits sur un grand échantillonnage de population.

Sous le couvert de la santé, on vaccine les gens contre une pseudo-épidémie avec les produits que l'on veut étudier. Le vaccin de l'hépatite B semble être le choix des autorités pour accomplir ce but. Or, ce vaccin est fabriqué par manipulation génétique: il est donc beaucoup plus dangereux que le vaccin traditionnel parce qu'il inocule dans l'organisme des cellules étrangères à son code génétique. Plus encore, ce vaccin, produit à partir de virus cultivés sur des ovaires de hamster de Chine (de quoi auront l'air nos descendants?) est réputé pour occasionner des cancers du foie. Malgré cela, il jouit d'une grande popularité auprès des autorités qui l'imposent d'abord par la force à tous ceux qui travaillent dans le domaine de la santé, puis au reste de la population ou d'emblée à toute la population pour les autochtones.

En 1986, les autorités médicales ont administré aux enfants des natifs d'Alaska le vaccin contre l'hépatite B. Sans explication. Sans le consentement des parents. Beaucoup d'enfants sont tombés malades et plusieurs sont morts. Il y avait, semble-t-il, un virus appelé RSV (Rous Sarcoma Virus) dans le vaccin...

Les tribus autochtones d'Amérique sont soumises à de nombreuses vaccinations. Ces peuplades difficiles à soumettre et qui possèdent de grandes étendues de terres que les multinationales voudraient bien récupérer pour leur bénéfice...

Dernièrement, je rencontrai un groupe de femmes autochtones pour leur parler de santé. Le sujet des vaccinations vint sur le tapis. Je leurfis part de certaines informations à ce sujet quand, brusquement, l'infirmière du groupe me confia que le gouvernement fédéral leur accordait toute liberté dans la gestion de leur santé, mais à une condition expresse: qu'elles respectent scrupuleusement les programmes de vaccination pour tous. Un grand silence se fit... Nous venions toutes de comprendre.

- En 1988, au cours d'une interview à la radio, un ambassadeur du Sénégal rapportait les ravages du sida dans son pays où des villages entiers sont décimés. Quelques années auparavant, des équipes scientifiques et médicales étaient venues vacciner leurs habitants contre l'hépatite B. La maladie touchait les personnes vaccinées.

- En 1978, on procéda aux essais d'un nouveau vaccin sur les homosexuels de New York et, en 1980, sur ceux de San Francisco, Los Angeles, Denver, Chicago et Saint-Louis. Ce "nouveau vaccin", officiellement contre l'hépatite B, causa la mort par le sida de plusieurs d'entre eux, comme nous le savons maintenant. La première hécatombe officiellement reconnue du sida.

Le programme de vaccination des homosexuels contre l'hépatite B était commandé par l'O.M.S. et le N.LH. (National Institute of Réalth). Leur collaboration meurtrière n'était pas nouvelle.

- En 1970, ils menaient ensemble une étude sur les conséquences de certaines bactéries et virus inoculés aux enfants lors des vaccinations.

- En 1972, cette étude devint plus spécifique aux virus qui provoquaient un affaiblissement de la fonction immunitaire.

Woff Szmuness dirigea les expérimentations antihépatite B menées à New York. il a fait connaître les liens existant entre le Blood Center (où il avait son laboratoire) et le N.LH., le XCL (National Cancer Institute), le FDA., l'O.M.S., et les écoles de Santé Publique de Cornell, Yale et Harvard.

En 1994 se déroule, au Canada, une vaste campagne de vaccination antihépatite B, inutile, dangereuse, coûteuse... et cachant quoi?...

je constate que le Québec est particulièrement vacciné depuis trois ans:

1992: Vaccination contre la méningite

1993: Revaccination contre la méningite

1994: Vaccination contre l'hépatite B.

J'ai été témoin de la vaccination de 1993. Elle m'a particulièrement troublée parce qu'elle visait toute une génération (0 à 20 ans), tout le Québec et seulement le Québec. Depuis quand les bactéries et les virus connaissent-ils les frontières, provinciales par surcroît ? Voici les faits.

Il n'y avait pas d'épidémie ni de risque d'épidémie. Les épidémiologues étaient formels.

Non pas un, mais trois vaccins différents furent administrés, chacun dans un territoire ciblé.

Certaines infirmières furent sélectionnées pour suivre une formation spéciale qui les rendait aptes à administrer un vaccin spécial.

Tous les enfants étaient fichés sur ordinateur.

La pression était énorme pour vacciner tous les enfants. Les écoles furent transformées en cliniques. Les enfants qui refusaient d'être vaccinés étaient montrés du doigt et traités d'antisociaux.

Les infirmières allaient à domicile pour chasser les mères d'enfants préscolaires refusant de faire vacciner leurs petits.

J'ai vu, de mes yeux vu, un de ces petits. La mère ne voulait pas le faire vacciner L'infirmière est venue à la maison et lui a fait croire que la vaccination était obligatoire. La mère a cédé... L'enfant est maintenant infirme: complètement déficient physiquement (paralysé, spastique) et mentalement.

La vaccination coûta 30 millions de dollars aux contribuables québécois, en période de grande récession, par surcroît.

"Et si la paranoïa était une forme de conscience ?" - Kerry Thornley

Pourquoi un tel acharnement meurtrier? Comme les autochtones, le peuple québécois est dérangeant: il tient à sa différence et réclame sa souveraineté. De plus, le Québec (avec les territoires des autochtones) abrite un réservoir d'eau très alléchant pour les multinationales qui veulent s'en emparer et détourner les cours d'eau vers le sud. J'ai compris la valeur de l'eau le jour où une amie de Californie siégeant sur le Comité des Eaux de son État me confia: Tor, de nos jours, c'est l'eau !" Peut-on penser à une meilleure arme que la guerre biologique pour se débarrasser de peuples embêtants dont on veut conquérir le territoire ?

9. La vaccination permet des études épidémiologiques des populations et de collecter ainsi des informations sur les résistances à la maladie des différents groupes ethniques.

Elle permet d'étudier les réactions du système immunitaire de grandes quantités de population à un antigène (virus, microbe) injecté par vaccination tant dans le cadre de la lutte contre une maladie existante, que dans le cadre d'une maladie provoquée.

- En 1987, des laboratoires des U.S.A. et le D.B.T. (Département de Biotechnologie) Indien ont signé un accord autorisant les essais de vaccins de fabrication génétique sur la population de l'Inde. Cet accord suscita de vives protestations car il donnait accès aux profils d'épidémiologie et d'immunité de la population.

Ces données sont extrêmement importantes sur le plan militaire, et sont d'autant plus précieuses que les Indes n'ont jamais été affectées par la fièvre jaune et ne connaissent pas (pas encore ... ) un seul cas de SIDA. Les laboratoires américains (privés) proposaient d'effectuer en Inde des expériences sur des produits qu'ils n'avaient pas le droit de tester au sein de leur propre nation! Et les autorités indiennes ont signé l'accord!

10. La vaccination est une arme biologique au service de la guerre biologique.

Elle permet de tuer les gens d'une certaine race et laisser les autres à peu près indemnes. Elle donne la possibilité d'intervenir sur le patrimoine héréditaire de qui on veut. Une nouvelle spécialité est née, l'ingénierie génétique. Elle connaît un succès florissant, jouit de beaucoup de prestige et se voit attribuer d'énormes fonds de recherche. Le défi est de taille: trouver un vaccin qui provoque une maladie contre laquelle nous avons déjà le vaccin! Gagner cet enjeu permettrait d'envoyer des troupes déjà vaccinées contre le vaccin meurtrier qu'elles diffuseraient chez l'ennemi... C'EST DE LA PURE FOLIE!

En attendant, le vol industriel sévit. Le Capitaine et biologiste de PUS Navy à Fort Detrick, Neil Levitt, a signalé la disparition de 2.35 litres d'un vaccin expérimental; dose suffisante pour contaminer la population de la terre entière. Où est-il passé?... Fort Detrick est un laboratoire de recherche qui fabrique des vaccins. Il est situé tout près de Washington, dans le Maryland, et il est rattaché au N. CI. (National Cancer Institute), à Bethesda, banlieue de la capitale.

Autre fait étonnant: l'Université de Berkeley paye toutes les factures pour le Centre National Médical Naval. Pas étonnant, alors, que l'on retrouve, étroitement entremêlés dans toutes les campagnes de vaccination à la fois le gouvernement, l'armée, l'O.M.S., les financiers, les chercheurs, les laboratoires, les universitaires, la CJA., la Banque Mondiale...

Réalisons que:

Sous couvert de la défense de notre pays, sont fabriquées les armes les plus meurtrières qui soient. La guerre, qu'elle soit biologique ou non, c'est la guerre. Et les armes, ça tue.

La guerre biologique est un gigantesque business largement financé PAR NOS FONDS par le biais de l'armée, de la recherche et de nos dons. Financé aussi PAR NOS VIES, celles de nos enfants et celles de millions d'innocents sacrifiés.

Ce sont nous, les Occidentaux, qui en acceptant la contrainte vaccinale chez nous et à l'étranger, sommes responsables de nos maladies et des génocides dans le monde.

Manufacturing Consent - Naom Chomski

LE MARKETING est une technique plutôt récente qui comporte plusieurs volets: information, publicité, éducation, influence, lobbying, reportages, messages, leitmotive, gadgets, etc. Il peut être écrit, oral, silencieux, subliminal. il peut être ouvert, subtil, caché.

C'est la science de la manipulation. On l'enseigne à l'université. Cet art de l'efficacité a ses diplômés, ses spécialistes. Le BUT du marketing, quel que soit le produit en cause, est de créer une demande (ou un besoin) chez le "consommateur" pour l'amener à consommer des produits qu'il ne consommerait pas spontanément soit parce qu'il n'en veut pas, soit parce qu'il n'en a pas besoin.

LE MARKETING SOCIAL appelé aussi ingénierie sociale est identique au

marketing conventionnel sauf pour le produit de consommation:

il vend des idées. Il amène donc le "consommateur" à consommer - c'est-à-dire à faire siennes des idées qui lui sont étrangères et qui peuvent der à l'encontre de ses idées propres, de son bon sens naturel. Le BUT du marketing social est la soumission de la conscience. il réussit à endormir notre conscience pour nous mener où il veut. il prive l'homme de son pouvoir de choisir. C'est ce que Beauvais et joule appellent la "soumission librement consentie": "elle amène la personne finalement à penser, à décider, à se comporter en toute liberté mais différemment de ce qu'elle aurait fait spontanément".

LE MARKETING SOCIAL MÉDICAL, c'est la science du marketing social appliqué au domaine de la santé. il consiste à VENDP LA MALADIE À DES GENS QUI VEULENT LA SANTÉ.

Le réfrigérateur a fait plus pour la santé la chirurgie cur ouvert.

LE MARKETING SOCIAL DE LA VACCINATION:

son but est de vendre l'idée de la nécessité de la vaccination à des gens qui ne l'ont pas ou qui n'en veulent pas. Le que résultat visé est de soumettre 95 % de la population aux vaccinations que les autorités à auront décidé d'imposer. Il comporte trois étapes qui s'intensifient avec le degré de résistance à la soumission:

1. la manipulation 2. l'organisation 3. la répression.

1ère étape, la manipulation: la soumission consentie

Elle contamine tous les domaines:

Il est plus facile pour l'homme de briser un atome que de briser un préjugé." Albert Einstein

- L'ÉDUCATION.

Non contentes de nous avoir inculqué la croyance que les vaccinations sont efficaces et inoffensives, les autorités entretiennent une autre légende tout aussi dépourvue de fondement: les vaccinations auraient enrayé les grandes épidémies.

Or, les épidémies avaient presque entièrement disparu quand les vaccins sont apparus sur le marché. Les livres sur les vaccins (non écrits par l'establishment) sont très éloquents sur ce sujet et démontrent que la régression des grandes maladies est due à l'amélioration des conditions de vie, et notamment de l'hygiène. Ce lessivage de cerveau s'appelle de "l'éducation sanitaire" ou de "l'hygiène publique". Toutes les personnes qui oeuvrent dans le domaine de la santé reçoivent cette formation mensongère concernant la vaccination. Elles la transmettent sans vérifier et permettent ainsi à la vaccination de devenir une agression aussi "normale" que la violence et la guerre à la télévision.

- LE VOCABULAIRE.

Les autorités ont l'art de diffuser des expressions qui façonnent nos idées et notre comportement. Ainsi, l'hiver devient "la saison de la grippe". D'où la pensée d'épidémie de grippe, d'où besoin du vaccin contre la grippe. Et le tour est joué! Le marketing social va encore plus loin. il nous fait croire que les personnes âgées sont plus vulnérables aux maladies, donc à la grippe en hiver, d'où la nécessité de toutes les vacciner.

Et, pour les protéger davantage, vacciner aussi tout le personnel préposé à leurs soins! Cela s'appelle le gérontocide.

Un des initiateurs du vaccin contre la grippe répète régulièrement à ses amis: "Si tu veux hériter rapidement, vaccine ta grand-mère contre la grippe !'

- L'ÉMOTION.

Pas n'importe laquelle: la peur. Le concept de la vaccination repose sur le TANDEM PEUR-PROTECTION. On nous fait peur puis on accourt nous protéger. Sommes-nous si impuissants et démunis que nous ayons besoin de protection? La manipulation nous fait croire que oui. Nous nous faisons entretenir par nos protecteurs. Comme dans la Mafia. Mais ça coûte cher, la protection! Pour être encore plus efficace, le marketing social joue sur une autre émotion, plus perverse encore: la culpabilité.

"Si je ne fais pas vacciner mon enfant et qu'il attrape une maladie, je m'en voudrai pour le reste de mes jours..." Et s'il meurt de la mort subite du nourrisson ou fait une leucémie à trois ans ou une sclérose en plaques plus tard parce que nous l'avons fait vacciner, que dira notre belle conscience? De plus, qui sommes-nous pour prendre sur nous la responsabilité du sort des autres?

- L'INFLUENCE.

Il faut faire comme les autres. Si tout le monde le fait, c'est sûrement bien. Mais avons-nous oublié les moutons de Panurge ? On suit la mode vestimentaire, alimentaire, musicale... et vaccinale. Surtout ne pas se poser de question. Les autorités qui, elles, savent mieux que nous, disent toutes que c'est bien. Comment penser différemment? On appelle cela la pression sociale. Elle est orchestrée par l'Establishment & associés (financier, politique, médiatique, industriel, médical, d'assurances, religieux, artistique, universitaire) et est disséminée par le marketing social.

- LA MORALE.

Les autorités parlent de "droit à la santé pour tous"... qui dit mieux? Or, qui dit droit, dit devoir. D'où le "devoir social" de se faire vacciner. Y "échapper" serait refuser la santé pour tous. Quel manque d'éthique et de conscience sociale! En bon citoyen, on remplit ses devoirs et on se fait vacciner. Et le tour est joué, le marketing social a bien fonctionné.

- L'INFORMATION.

Médicale ou non médicale, l'information est l'objet des soins jaloux de l'establishment. C'est l'outil de diffusion du marketing social. La pression de la censure (déguisée bien entendu, puisque la presse est "fibre") est si forte que les journalistes finissent par s'autocensurer. Ils savent que certaines informations ne peuvent pas être diffusées. Sinon, l'organe de presse ("indépendant") sera privé de son soutien, la publicité (Le. les multinationales) sans lequel il ne peut vivre et le journaliste, muté aux "chiens écrasés".

Les journalistes transmettent l'information qui leur vient des autorités et la reproduisent sans trop en douter. Dans un domaine aussi bien protégé que la vaccination, ils ne doivent pas se poser des questions. S'ils s'en posent trop, on coupe leurs textes... puis on coupe leur poste...

Toutefois, certains le font. C'est ainsi que le programme "60 Minutes" a présenté, sur le réseau américain en 1979, une enquête sur la campagne de vaccination massive contre la fièvre porcine aux U.S.A. en 1976.

Ce vaccin engendra tellement de complications (surtout neurologiques), de paralysies et de morts que des poursuites énormes furent intentées. Cette émission fait étalage du marketing social dans toute sa splendeur. Tous les ingrédients y sont. je vous encourage vivement à la regarder si vous voulez connaître les rouages d'une campagne de vaccination massive.

2e étape, l'organisation: la soumission MOINS consentie

Elle assure l'efficacité de la manipulation. Elle consiste en un système de contrôle par fichage de la population et des médecins. Tous sont fichés sur ordinateur et on les suit à la trace. On s'assure que chaque citoyen reçoit ses vaccins régulièrement et que chaque médecin les donne. On dresse des listes, on fait des fiches, on impose des carnets de vaccination... personne n'y échappe. Les négligents sont immédiatement rappelés à l'ordre. C'est l'embrigadement systématique. Big Brother veille sur votre santé!

3e étape, la répression: la soumission NON consentie

Elle punit les insoumis. Pour s'assurer l'obéissance, les autorités font des lois. Obligatoires au tout début du siècle, les vaccins le sont encore dans plusieurs pays, notamment aux U.S.A. et en France. Quand les gens prennent conscience de la réalité des vaccinations, l'insoumission s'installe. Quand les résistances sont trop fortes, l'O.M.S. passe en douce de nouvelles lois, comme la Convention des Droits de l'Enfant.

Les insoumis se voient interdire l'accès des garderies (ou crèches), des écoles, des universités, de certains hôpitaux ou cliniques. Ils ne peuvent voyager à l'étranger. Ils se voient interdire l'exercice de certains métiers. Ils sont harcelés continuellement par les autorités médicales, administratives, scolaires... Ils sont les moutons noirs du beau programme de "la santé pour tous".

Les grands insoumis se font imposer des amendes, perdent le droit de pratiquer la médecine, se font mettre en prison, ou vacciner de force.

Réalisons que:

tout ce réseau hiérarchique relève du commandement du

ministère national de la Santé: Donna Gouvernementa, lui-même sous le commandement du ministère mondial de la Santé: sainte O.M.S.

En conclusion

Laissons la parole à Edward Kasse, médecin américain, qui adressait la parole au Congrès de Vienne sur les maladies infectieuses en 1983, à titre de Président du Congrès:

"Le but des épidémiologistes ne doit pas être l'éradication des maladies infectieuses grâce à l'emploi massif des vaccins et des antibiotiques, mais le contrôle et l'amélioration de la qualité de vie...

il faut admettre qu'il existera un certain nombre de cas de tuberculose, de polio ou de malaria et entrer dans une dynamique écologique naturelle en rendant efficaces les possibilités de défenses de notre organisme, grâce à une politique sanitaire non contaminée par les intérêts des multinationales pharmaceutiques."

En bout de ligne, nous nous retrouvons devant le dilemme suivant: obéir aux autorités ou écouter notre conscience. Donner notre pouvoir aux autres ou l'exercer nous-mêmes. Blâmer nos gouvernants ou prendre nos responsabilités. C'est une question de conscience.

À cet effet, il existe des "clauses de conscience" (reconnues dans certains États américains) pour refuser la vaccination. En France, les jeunes recrues de l'armée ont le même droit légal. Au Canada, la vaccination est fibre... mais on nous fait croire qu'elle est obligatoire...

Le droit à la santé est un droit légitime, inné, de toute personne humaine. Aucune loi ne peut nous accorder ce que nous avons déjà... et encore moins nous l'enlever! Obéir aux lois, c'est se soumettre à la légalité, le pouvoir extérieur. Écouter sa conscience, c'est respecter sa légitimité, son pouvoir intérieur d'essence divine.

Entre la légalité et la légitimité, NOUS AVONS LE POUVOIR DE CHOISIR!

http://www.personocratia.com/trilogie_mensonge_vaccins.htm

Ecrit par : jfm Apr 27 2005, 05:21 PM

J'adhère à la lecture de ces développements concernant les vaccinations et les "agressions vaccinales" (j'en détecte souvent lors de mes activités en bio-énergétique....)

Je me pose néanmoins très sérieusement la question sur l'opportunité de vacciner contre le TETANOS et la RAGE,en cas de doute de contamination....

Je n'ai pas jusqu'ici trouvé d'arguments suffisamment étayés justifiant une contre - indication de ces dernières...précisément....

Je suis preneur d'infos à ce sujet...

NB. le tétanos est simplement mentionné dans l'article...sans plus....(?)

Jean-François MARTIN

Ecrit par : Ignass Jul 11 2006, 01:05 PM

Sur la forme:

-Affirmation de l'inviolabilité de l'intégrité physique et corporelle de l'homme en droit (1).

-L'obligation vaccinale déroge à ce principe fondamental en vertu d'une loi d'ordre

Sur le fond:

-Rappel

Les sources matérielles du droit, législatives ou jurisprudentielles, font appelles à la fiction pour exercer une emprise sur la réalité.

La fiction est un mensonge technique consacré par la nécessitée (Jhering).

Cette manipulation de la réalité peut s'exercer sur un fait, une situation ou une norme.

Elle consiste soit à nier soit à prétendre, sciemment, à une contre vérité.

-En droit l'obligation vaccinale repose sur une omission intentionnelle et sur un postulat péremptoire:

Le premier consiste à nier l'existence d'un principe fondamental de droit public affirmant le respect de l'intégrité de l'homme (1).C'est une négation juridique.

Le second consiste à prétendre de façon péremptoire au bien fondé de l'obligation vaccinale pour la santé publique en adoptant l'une des catégories des dogmes philosophiques bien connue des juristes, la règle du syllogisme, pour en tirer le corollaire juridique propre à justifier logiquement des obligations en brandissant l’ordre public comme paravent (2).

Le hic, c'est que toute personne avertie n'ignore pas que outre le mensonge fictif juridique patent prescrivant une obligation, le syllogisme peut conduire à une contre vérité latente.

Cette règle n'est ni suffisamment crédible ni suffisamment fiable pour justifier l'injustifiable : l’aliénation de l’intégrité physique et corporelle de l’homme.

-Pourtant à tout à chacun est imposé la règle pseudo logique aboutissant au triomphe du dogme vaccinal.

Raisonnement latent repris sur fond d'attisement des peurs et d'ignorances de l'opinion publique par le CCNE :

« Du refus de vaccination. Ce refus, certes, peut exprimer de façon la plus légitime possible une position individuelle, mais toute société, confrontée à des refus de vaccination de la part d'une minorité, se trouve en danger. Les pays qui, par exemple, n'ont pas réussi à convaincre l'ensemble d'une population de la nécessité de vacciner contre la poliomyélite, permettent à ce virus, qui n'a qu'un portage humain, de continuer à être une menace. Pour répondre à ce risque la société exerce une pression forte par l'intermédiaire des conditions d'inscriptions scolaires. La manifestation de la liberté de la personne s'arrête donc à celle de la sécurité du groupe ».

Contradictions évidentes:

Un postulat par nature est nécessairement admis et permet la démonstration en trois temps du syllogisme, précision faite qu’une doctrine ne peut être démontrée vrai mais souffre toujours d’être éventuellement démontrée fausse.

Le second prémisse du syllogisme repris par le CCNE brandi la menace des non vaccinés pour les vaccinés en total contradiction avec le postulat de départ, le dogme vaccinal pour lequel la protection d’une population vaccinée est effective. Postulat par nature nécessairement admis, rejetant donc toute critique.

Pourtant si la protection est effective rien ne menace les éléments du groupe protégés.

Faute de protection réelle efficace avérée les vaccinés non pas plus à « craindre » les non vaccinés, que les non vaccinés les vaccinés, que les non vaccinés les autres non vaccinés, que les vaccinés les autres vaccinés et c'est reconnaître implicitement l'aberration de la croyance en une vérité absolue: le dogme vaccinal. Autrement dit les personnes responsables et averties refusant une technique médicale ne peuvent se la voir imposer en tant que citoyens libres et éclairés qui se prennent en charge consciemment.

D’ailleurs qu’est-ce qui menace l’organisation d’un groupe sociétal ? La perte de l'autodétermination ou la soumission a des dictats autoritaires dont on peut suggérer qu’ils proviennent en l'occurrence d’éléments intolérants, arrogants ou mercantiles d’une élite minoritaire ? Un dictat nous soumettant qui plus est à un mercantilisme préoccupant pour la santé publique.

L’EMPOISONNEMENT LÉGALISÉ

Vous avez dit Vaccination ?

Note d'Adapa : Il est recommandé de discuter de ce sujet avec votre médecin traitant comme il se doit. Cet article a pour seul objectif de vousp résenter une information alternative aux directives médicales imposées en France.

Vaccination poubelle - L'empoisonnement légalisé

Un journaliste de radio Ouganda demande «pourquoi vaccine t-on nos enfants avec le vaccin oral, interdit aux USA, qui meurent par milliers alors qu’il n’y avait pas de polio en Afrique Noire, avant l’introduction de ce vaccin ? Les enfants courent se cacher dans la montagne pour échapper aux militaires www.rense.com.general39/polio.htm (anglais)

RISQUES SPECIFIQUES. pour chaque vaccin

BCG:

Art. L. 3112-1.- En clair, le BCG n’est plus obligatoire sauf quelques cas spéciaux.

En effet il est inefficace et dangereux :

1. Inefficace,

· il est déconseillé par l'OMS depuis qq années.

· L’amélioration de l’hygiène et l’élévation du niveau de vie, ont fait régresser constamment la tuberculose, bien avant que ne se développent les antibiotiques et le BCG. Elle a régressé aussi vite (5 à 10%/ an) dans les pays qui n'ont jamais utilisé le BCG ou y ont renoncé depuis longtemps.

Journal AIM Actualité, Innovation, Médecine de juillet 2004 qui pourtant est inféodé aux laboratoires pharmaceutique écrit : Les dernières recommandations d’experts sur le BCG, conduisent à promouvoir une nouvelle stratégie vaccinale qui devrait mener, à plus ou moins long termes à l’abandon de cette vaccination. Il est admis que le rappel du BCG est inutile voire dangereux. Il faut rappeler que la protection par le BCG et relative puisqu’elle ne permet de prévenir que 50 % des tuberculoses communes

· La Hollande, où le BCG n'est pas obligatoire est le pays du monde où la tuberculose est la plus faible (mortalité 7 fois moindre qu'en France).

· Sur 5 méningites tuberculeuses recensées ; 4 avaient reçus le BCG

· Des épidémies de tuberculose apparaissent régulièrement dans des groupes de populations vaccinées

· Depuis une dizaine d’années, les pays industrialisés vaccinés, connaissent de nouvelles alertes, liées aux sida, toxicomanies, nouvelles zones de pauvreté ; La tuberculose est aujourd’hui un fléau des pays pauvres (95% des nouveaux cas).

2. Dangereux :

· le BCG peut être la cause directe ou indirecte de cas de tuberculose. (Vaccin avec un germe vivant)

· Les effets secondaires sont largement sous-estimés (problèmes respiratoires peut-être dus aux effets immunodépresseurs du vaccin chez des enfants dont les défenses immunitaires sont déjà faibles)

· le BCG est responsable d'accidents graves tels qu'insuffisance rénale et infirmité motrice cérébrale. Selon le médecin suisse Jean Elmiger, il serait responsable d'une baisse du quotient intellectuel (QI). Pionnier du BCG, le Pr Marcel Ferru, pédiatre à Poitiers, s’est très tôt rendu compte que ce vaccin posait des problèmes. Victime de représailles, il a vu sa carrière entravée.

COQUELUCHE: n’est pas obligatoire

· La coqueluche réapparaît depuis 1990 chez les adultes vaccinés et actuellement chez les enfants vaccinés en France.

· Les nourrissons ne sont pas protégés par l’immunité naturelle de la mère qui a été vaccinée on sait que le taux d’anticorps décroît très vite...

DIPHTERIE: obligatoire stop !

· Longtemps considéré comme anodin, on a enregistré des fortes réactions allergiques au point de recommander des doses réduites en anatoxine pour les rappels.

· La diphtérie ayant disparu en France, le maintien de l’obligation vaccinale antidiphtérique chez tous les enfants n’est absolument pas justifié. D’ailleurs, les autorités imposent qu’il soit injecté en même temps que le vaccin antitétanique car elles doivent redouter qu’on l’abandonne !

TETANOS: obligatoire

Le vaccin antitétanique est considéré comme le vaccin le plus efficace (90%) et le mieux toléré. Malheureusement, on ne le trouve pas seul dans le commerce ! Il est toujours associé au vaccin anti-diphtérique, voire au vaccin anti-polio.

Cependant :

¨ L'acte vaccinal met comme toujours l'organisme en état de moindre résistance. Des études qui ont été menées à Vienne ont démontré qu'entre le 3e et le 14e jour après ce vaccin se produisait un affaiblissement conséquent des défenses immunitaires.

¨ il augmente transitoirement les affections des personnes infectées par le Sida et les rend plus vulnérables.

POLIO: obligatoire Prudence !

On connaît mal son épidémiologie, des ombres subsistent sur cette maladie récente et beaucoup moins répandue que d’autres.

¨ Dans les pays industrialisés, ce n’est que dans les années 30 qu’ont débuté de véritables épidémies de polio paralytiques et elles avaient déjà commencé à refluer quand les vaccinations se sont répandues...

¨ Alors que plus de 80% des enfants de la planète sont vaccinés, le nombre de cas de poliomyélite paralytique dans le monde n’a été divisé que par 10.

ROUGEOLE: dangereux

Les risques induits par le vaccin sont + graves que ceux de la maladie !

¨ JAMA a signalé des épidémies de rougeole chez des populations d'enfants vaccinés à 94%

¨ Le Danemark a placé le R.O.R. comme drogue à haut risque de diminution du nombre de plaquettes. « Les parents excédés par les cris de leurs bébés les secoueraient tellement qu’ils entraîneraient la mort de ces derniers par hémorragie cérébrale ! » Sans vouloir nier la responsabilité des parents, la recrudescence de ce «syndrome du bébé secoué » nous laisse entrevoir une autre cause. Cependant il est tentant pour les autorités favorables à la vente des vaccins de ne pas rappeler que le vaccin de la rougeole entraîne une chute des plaquettes sanguines, facteurs important de la coagulation.

¨ Présenté comme bien toléré, le vaccin contre la rougeole entraîne une forme d’immunodépression. Dans le Lancet : «le vaccin contre la rougeole induit un risque de maladie de Crohn, maladie digestive grave d’origine auto-immune. L’augmentation de sa fréquence coïncide avec la généralisation de la vaccination contre la rougeole. »

Une autre étude confirmait un lien possible entre les vaccins contre la rougeole et les oreillons et la maladie de Crohn, ainsi qu’avec l’autisme.

¨ L’association américaine de parents d’enfants victimes des vaccins, accuse les pouvoirs publics de manipuler les statistiques et réclament des enquêtes indépendantes sur la question.

¨ Les pouvoirs publics recommandent une seconde vaccination à 6 ans, pour tous les enfants, y compris ceux déjà vaccinés. En admettant que ce rattrapage soit efficace, il permettra peut-être de diminuer les rougeoles à l’adolescence, mais pas à l’âge adulte On aura des femmes non immunisées avec 2 conséquences graves :

-rougeole pendant une grossesse = risques d’avortement ou de malformation congénitale ;

-Les mères ne protègeront pas leur nourrisson.

OREILLONS:

· Le principal objectif visait la prévention des orchites de l’adolescent ou de l’adulte et du risque de stérilité qui en résulte. Ce risque est d’autant plus surévalué que l’orchite n’affecte en général qu’un seul testicule. Et pourquoi vacciner les filles ? ... (Risque de maladie de CROHN auto-immune)

· Le vaccin contre les oreillons peut entraîner des manifestations articulaires.

RUBEOLE

Le vaccin contre la rubéole (maladie bénigne sauf chez la femme enceinte) peut entraîner des méningites. Que penser alors de l’association vaccin contre la rougeole, les oreillons, la rubéole ? Le R.O.R. ! non obligatoire.

GRIPPE:

¨ L’efficacité du vaccin apparaît limitée. De nombreux vaccinés attrapent quand même la grippe >11% des cas, le vaccin, réalisé à partir d’une souche précédente n’est plus d’actualité quand il arrive sur le marché.

Attention : la grippe aviaire n’est pas concernée par ce vaccin

Alternative : Homéopathie

-INFLUENZINUM à dose progressive 7, 9, 12, 15 CH 3 granules / semaine + Thymuline 9 CH 1dose/mois

HEPATITE A : inutile

· L’hépatite A n’évolue jamais vers une forme chronique. Mais il y a chez l’adulte quelques cas d’hépatites fulminantes très graves. Il n’y a pas de traitement spécifique, seuls le repos et la diète sont recommandés.

· Le vaccin, lancé en 1992 avec grand tapage médiatique, s’est avéré mal dosé et pour l’adulte et pour l’enfant (revue Prescrire 11/95).

HEPATITE B

GenHevac B : le vaccin est produit par génie génétique, manipulation du vivant.

¨ Au lieu d'utiliser le virus ou la bactérie, on isole certains segments de leurs chromosomes puis on les greffe sur d'autres pour obtenir des éléments hybrides, non existants dans la nature. Il s'agit donc d'une manipulation du vivant.

¨ Pour le vaccin GenHevac B, il s'agit de fragments de chromosomes de deux virus, l’un de singe le SV 40 présent dans certaines cellules cancéreuses et l’autre de la tumeur mammaire de la souris, le MMTV.

¨ l'OMS, signalait qu'on pouvait retrouver dans le produit final des protéines capables de cancériser d'autres cellules.

¨ Ainsi, le vaccin contre l'hépatite B inocule de façon absolument certaine des substances éventuellement cancérigènes et des résidus de manipulations génétiques qui pourraient bien être à l'origine de cas de malformation fœtale.

¨ Détail encore plus inquiétant, il pourrait aussi contenir une certaine enzyme, la TdT (Terminal Desoxynucleotidyl Transferase) susceptible de modifier les gènes des cellules réceptrices et de multiplier ainsi les maladies génétiques chez les vaccinés et leur descendance.

Risque : ne pas être reconnus par l’organisme comme des protéines étrangères et être à l’origine de maladies auto immunes.

Risques de tous les vaccins recombinés : transmission de gène susceptible d’induire chez les vaccinés et leur descendance

-une cancérisation

-une maladie auto immune

-des malformations fœtales

-des maladies génétiques

MENINGITE .

vaccin contre le méningocoque seulement.

L’inflammation des méninges (enveloppes du cerveau et de moelle épinière), se traduit par de la fièvre, des maux de tête, des troubles moteurs et nerveux dont la gravité varie avec la cause déclenchante. Plusieurs microbes et virus sont à l’origine des méningites : bacille de la tuberculose, virus des oreillons, de la rougeole... et autres causes : insolation, par exemple.

Les méningites font peur, et la presse ne se prive pas de l’utiliser, avec des informations imprécises, comme publicité pour les vaccins.

VACCIN, mais alors on nous aurait menti ?

Ils sont inefficaces, nous rendent malades, détruisent notre immunité naturelle, mais... ils sont obligatoires Jean-Pierre JOSEPH Edition Poche Vivez Soleil

Jean-Pierre JOSEPH :

Est avocat au Barreau de Grenoble.

À été chargé de cours de Droit comparé à l’Université de Glasgow, dans les années soixante-dix, puis président de Maison pour tous de quartiers dits « sensibles » pendant 10 ans, et animateur bénévole de quartier. Il est un des fondateurs de la 1re expérience d’autogestion d’un Centre socioculturel en 1973, avec baisse de plus de 70 % de la délinquance sur un quartier. A été musicien d’orchestres de variétés, auteur compositeur, et membre de la S.A.C.E.M. Est l’auteur des ouvrages suivants :

Le show business français, un État dans l’État (Éd. les cahiers de la pensée sauvage).

Améliorer notre santé par une méthode qui ne coûte rien (non encore édité).

Les radis de la colère (Éd. Louise Courteau).

Est instructeur fédéral de karaté, diplômé de la Fédération française de karaté (F.F.K.A.M.A.), membre du jury des grades de la ligue Dauphiné-Savoie de la F.F.K.A.M.A. Est parti en urgence en République d’Haïti en janvier 2001, et a été le 1er avocat français à être autorisé, depuis l’indépendance de 1804, à plaider devant une Cour d’Assises haïtienne, pour défendre le navigateur grenoblois, accusé de meurtre sur sa femme qui, en fait, s’était suicidée. Après une semaine d’un procès médiatisé (TF1, Le Figaro, Paris-Match, etc.), à la suite duquel le navigateur fut acquitté, Jean-Pierre JOSEPH, qui n’avait aucun vaccin et qui n’a pris aucun traitement préventif contre le paludisme, est revenu criblé de piqûres de moustiques, et n’a pas été malade.

Cet ouvrage se contente de rassembler des dizaines de citations scientifiques et professionnels de la santé. Aucun d’entre eux ne faisant partie de la moindre secte, ce livre ne contient donc, ni procédé hypnotique, ni virus décérébrant. Il peut être lu sans crainte...

DE GRAVES INTERROGATIONS :

Les vaccins contiennent des l’hydroxyde d’aluminium à des doses 30 fois supérieurs au seuil toxique, du sérum de veau, des cellules cancérisée, et des dérivés du mercure. Ils sont responsables de milliers de maladies neurologiques graves, sclérose en plaques, encéphalites, morts subites du nourrisson... Le personnel des hôpitaux, les rares fois où il fait la relation de cause à effet entre le vaccin et la maladie, aurait la consigne de ne rien dire aux familles. Depuis 1994 les substances d’origine bovines sont interdites dans les produits pharmaceutiques. Or, le B.C.G. est fabriqué à partir de la bile de boeuf. Ainsi la Loi nous oblige à administrer à nos enfants des produits qu’elle interdit par ailleurs !... Bien plus, la Loi oblige avant tout acte vaccinal, de prendre « toutes les précautions », c’est-à-dire de procéder à) des examens destinés à dépister d’éventuels risques graves pour chaque individu. Mais seuls les vétérinaires le font pour les animaux !...

Ces risques valent-ils la peine d’être courus ? Depuis un siècle, à chaque campagne de vaccination, tant en Europe qu’en Afrique ou en Asie, le nombre de cas de la maladie que l’on combattait s’est toujours multiplié par 4, voire par 6 dans les mois qui ont suivi (variole aux Philippines en 1918, polio en France en 1956, récemment méningite en Afrique, etc.). Pourquoi nous l’a-t-on caché en nous faisant croire le contraire ? Quand les épidémies s’arrêtent (comme elles l’ont toujours fait dans l’histoire de l’Humanité), l’on crie alors victoire, en attribuant cela au vaccin. Si au Moyen Âge, au plus fort des épidémies de peste et de choléra, un alchimiste avait distribué de la bave de crapaud à toute la population, lorsque celles ci se sont arrêtées (car toutes les épidémies se sont arrêtées naturellement) tous les survivants auraient cru avoir été sauvés grâce au produit !

Le chien qui avait mordu le petit alsacien « sauvé » de la rage par Pasteur, avait aussi mordu tout la famille, qui n’a été ni vaccinée, ni malade. Mais alors, on nous aurait menti ? Mais pourquoi donc ? Quel hasard ! La France est un des plus gros pays producteurs de vaccins du monde ! 11 pays en Europe ont abandonné l’obligation vaccinale. En France, on ne connaît même par cette information. Comme par hasard chez nous, le vaccin est une religion (ensemble de « vérités » que, par définition, l’on s’interdit de vérifier). François Mitterrand n’a-t-il pas dit : « La santé des Français est une marchandise qui se vend... ».

AVANT-PROPOS

Il y a encore quelques années, je ne connaissais rien du tout à la question des vaccinations : certes, le simple fait de n’avoir été vacciné que contre la variole, générait chez moi une inquiétude permanente, tempérée par le fait qu’au cours des 30 ans pendant lesquels j’ai étudié, puis enseigné les arts martiaux, les experts asiatiques que j’avais pu rencontrer, m’avaient toujours indiqué qu’il fallait se méfier des vaccins, mais je ne savais pas pourquoi. Ils ajoutaient que dans les arts martiaux traditionnels, l’être humain est capable de maintenir un taux vibratoire élevé, et ne craint donc pas les maladies.

J’avoue qu’à l’époque, j’étais un peu sceptique et j’eus de grandes hésitations, lorsque j’entendis parler d’un « danger de contamination par l’hépatite B ». Un jour, je fus amené à défendre un groupe d’anciens universitaires grenoblois, qui s’étaient retirés à la campagne afin d’appliquer une méthode vieille de plusieurs millénaires, leur permettant de produire de l’agriculture biologique géante à haut rendement, sans engrais chimiques, sans pesticides ni insecticides. Cette méthode qui ne coûtait rien permettait d’avoir la même rentabilité à l’hectare que si l’on utilisait massivement des engrais chimiques. Mais c’était du bio, et vraiment délicieux ! Cette expérience quasi-unique en Europe aboutit immédiatement au fait que ce groupe fut classé secte, fut l’objet de procédures judiciaires hallucinantes, de reportages de télévision honteusement truqués, de faux témoignages, à tel point que j’ai écrit Les radis de la colère (Éd. Louise Courteau). Cet ouvrage mentionne, notamment, une affaire que j’appelle « le vrai-faux tétanos », dans laquelle un hôpital, harcelé par la « psychose imbécile anti-sectes » qui sévissait à ce moment-là, a diagnostiqué un tétanos, alors qu’il est clair que l’enfant avait simplement fait une grosse réaction allergique à une piqûre de tique. Certains journalistes, qui avaient écrit sans savoir qu’un enfant « était mort du tétanos dans la secte », furent étonnés de le voir gambader par la suite, dans les prés...

Mais ces journalistes ne manifestèrent aucun étonnement, en marchant sur des fraises qui poussaient sous des flocons de neige, ou en voyant des plantes qui ne poussent habituellement que dans les régions tropicales. Mais ce qui m’étonna le plus fut tout d’abord l’absence totale des mouvements écologistes au soutien de ces gens là, qui, dans la région Rhône-Alpes, faisaient de la véritable écologie, à la différence de ceux qui en parlent, mais qui n’en font jamais. Je n’ose pas croire qu’eux aussi, aient pu adhérer à la psychose imbécile... Le 2e objet de mon étonnement fut ensuite qu’à l’occasion de cette affaire de « vrai-faux » tétanos, je découvris que non seulement le problème des vaccins était très controversé, mais qu’en plus l’existence même de la controverse était totalement absent de tous les débats concernant la Santé Publique. 40 ouvrages étaient déjà accessibles à tous, dans les librairies ou dans les FNAC, et un silence total recouvrait notre pays, comme si ce sujet était interdit. Alors je décidais de mettre les pieds dans le plat, en rassemblant des citations extraites de ces 40 ouvrages. Sachez que je n’ai rien inventé. Je me suis contenté de rassembler tout ce qui a été écrit sur ce sujet par des dizaines de professionnels de la santé. Vous verrez que finalement, ce sont eux qui mettent les pieds dans le plat, pas moi. Quoique...

J’ai toujours mis les pieds dans le plat, lors de ma scolarité : je ne le faisais pas exprès, mais je répondais naïvement aux reproches, et ce que je disais déclenchait souvent la consternation, voire la colère. Un jour le médecin scolaire, voyant que je n’étais pas vacciné contre la polio (dans ma vie, je n’ai eu qu’un seul vaccin : l’antivariolique), me dit : « Libre à toi d’attraper la maladie, mais ce qui est grave est que tu risques de contaminer tes camarades... ». Très naïvement je lui demandais : « Comment pourrais-je les contaminer, puisqu’ils sont vaccinés ? ». Ce n’est pas la paire de claques que j’ai reçue à ce moment-là qui m’a marqué le plus, mais son air consterné, presque effrayé. Je crois que c’est ce jour-là que j’ai décidé qu’à l’avenir je serai toujours insolent, d’autant plus que, les années suivantes personne ne me reparla des vaccins... Toutefois, ce n’est que 40 ans plus tard que j’ai compris pourquoi mes camarades qui ont eu la polio, étaient pourtant vaccinés, et pourquoi je ne l’ai pas eu, alors que je ne l’étais pas.

Quand j’étais en Première, au Lycée de Guebwiller, un prof d’Histoire-géo, un comme on n’en trouve plus de nos jours, un qui nous faisait réellement aimer ce qu’il enseignait, nous précisa un jour : « De nombreuses vérités sont fausses. Mais ceux qui le disent sont pourchassés, même en Démocratie. Au début du siècle, l’Académie de Médecine déclarait qu’au-delà de 100 km/h. un organisme humain ne résisterait pas. C’était une Vérité, et tout étudiant en médecine prétendant le contraire avait zéro. L’Académie des Sciences indiquait également que le plus lourd que l’air ne pourrait jamais voler. Il était donc inutile de donner des crédits à la recherche sur les « aéroplanes » (futurs avions). L’avenir était les ballons et les dirigeables. Enfin l’électricité ne serait qu’un lamentable gadget et ne servirait jamais à rien. Souvenez- vous de cela, et sachez que ces imbéciles ont aujourd’hui des successeurs aux mêmes postes, et qui ont le même talent... ».

Aujourd’hui, des lois spéciales interdisent de parler de tel ou tel sujet, ou de remettre en cause certaines vérités historiques. Pourquoi avoir eu besoin de textes, alors qu’une démocratie devrait savoir gérer l’expression de toutes les opinions ?

J’ai bien peur que dans peu de temps, l’on n’ait même plus le droit d’écrire un livre comme celui que vous avez actuellement sous les yeux. Déjà l’on n’a pas le droit, par exemple, d’inciter ses concitoyens à ne pas payer ses impôts, ou ses cotisations sociales. On n’a pas le droit de déclarer publiquement que l’on est pour la consommation de drogue. Comme si ceux qui écoutaient les rares qui ont encore quelque chose à dire, n’étaient plus majeurs. Après tout c’est peut -être vrai. L’on est en train de faire de nous des veaux. Mais le jour où je n’aurai même plus le droit d’écrire un tel livre, j’irai demander l’asile politique soit en R.F.A. (ce qui devrait m’être accordé facilement, vu que mon grand-père fut sujet allemand jusqu’en 1918, année où la France récupéra l’Alsace-Lorraine), soit en République d’Haïti, où, lors de mon séjour, les étudiants en Droit, dont une délégation était venue me rencontrer me déclarèrent : « La différence entre nos républiques, que vous appelez bananières, et les vôtres, est que chez nous le principe est « ferme ta gueule, tu n’as pas le droit de parler. .. » ». Cela a le mérite d’être clair. Chez vous le principe est « Cause toujours... ».

« Une population malade rapporte plus d’argent au système dit de santé publique qu’une population en bonne santé »

INTRODUCTION

Près de 2000 personnes souffrent actuellement de graves maladies neurologiques, ou sont décédés, et les victimes (ou leur héritiers) accusent le vaccin contre l’hépatite B (Eric GIACOMETTI, La santé Publique en otage, Ed. Albin Michel). Des plaintes pour empoisonnement et administration de substances nuisibles à la santé ont été déposées, notamment à l’encontre de ceux qui ont obligé les victimes à recevoir un vaccin tant inefficace que dangereux. Elles sont actuellement centralisée chez un Juge d’Instruction à Paris. Malheureusement, une étude approfondie de cette question, montre que tous les vaccins sont concernés, et pas seulement celui contre l’hépatite B.

Alors que la quasi-totalité des pays d’Europe a supprimé les vaccins obligatoires, la France (1er pays producteur mondial de vaccins), en a maintenu 4, malgré les protestations de millions de scientifiques de tous bords, criant à l’empoisonnement collectif, devant leur dangerosité, et surtout leur inefficacité.

Voilà plus de 20 ans, que des médecins, biologistes, etc., du monde entier, tentent d’alerter les pouvoirs publics pour leur donner des informations extrêmement graves concernant les vaccins : - Des épidémies de coqueluche aux U.S.A. ont atteint des centaines d’enfants vaccinés contre la coqueluche, - Des épidémies de polio dans le monde entier ont touché des milliers de personnes, pourtant correctement vaccinées, - En 1993, 100 infirmières des Hôpitaux de Paris, atteintes de tuberculoses, avaient toutes reçu le B.C.G. ... Des scientifiques du monde entier semblent dire aujourd’hui : - Que les produits appelées « vaccins » seraient totalement inefficaces, - Qu’ils seraient dangereux, responsables de scléroses en plaques, encéphalites, méningites, maladies neurologiques : Fabriquée avec du sérum de veau, des cellules cancérisées, et de l’hydroxyde d’aluminium, à des doses 30 fois supérieurs au seuil maximum de toxicité, ainsi que de dérivées du mercure, ils ont pour effet général de baisser nos défenses immunitaires, et pourraient être liées à l’apparition du Sida. - Que souvent, même, ils nous transmettraient les maladies qu’il sont censés prévenir ! - Que l’on nous aurait menti depuis 50 ans au moins, pour des raisons sordides et honteuse, en nous faisant croire, notamment que les vaccins auraient enrayés les épidémies.

Or, il semblerait que l’arrêt des épidémies n’ait rien à voir avec les campagnes de vaccination.

Ainsi, 1200 personnes ont été victimes de la Polio en France, en 1956, année où la campagne de vaccination a débuté. Et en 1957, la France a connu plus de 4000 cas.

Personne, d’ailleurs, n’est capable d’expliquer pourquoi les épidémies de peste et de choléra du Moyen Âge, de suette picarde (qui a sévi de 1718 à 1906), et plus récemment, de scarlatine, se sont arrêtées sans vaccin, et sans décimer toute l’humanité...

Ces informations sont extraites de nombreux articles de presse et des ouvrages suivantes :

La mafia médicale, (Dr G. LANCTOT), Ed. Voici la clé,

La dictature médico-scientifique, (Sylvie SIMON), Ed. Filipacchi,

Vaccination erreur médicale du siècle, (Dr L. De BROUWER), Ed. Louise Courteau,

Danse avec le diable (G. SCHWAB), Ed. Courrier du livre,

Dossiers sur le gouvernement mondial, (A. MEUROIS-GIVAUDAN), Ed. Amrita,

La guerre des virus, (L. HOROWITZ), Ed. Félix,

Au cœur du vivant, (J. BOUSQUET), Ed. Saint Michel,

Le malade déchaîné, (R. BICKEL), auto édité,

Les chemins de la souveraineté individuelle, (R. BICKEL), auto édité,

Vaccinations : l’Overdose, (Sylvie SIMON), Ed. Déjà,

Tétanos, le mirage de la vaccination, (F. JOET), Ed. Alis,

Pour en Finir avec Pasteur, (Dr Eric ANCELET), Ed. Marco Pietteur,

La santé confisquée, (Mirko et Monique BELJANSKI), Ed. Compagnie,

La lumière médicale, (Dr Norbert BENSAÏD), Ed. le Seuil,

Mon enfant et les vaccins, (Dr F. BERTHOUD), Ed. Soleil,

On peut tuer ton enfant, (Dr P. CHAVANON), Ed. Médicis,

Vaccination, Social Violence ans Criminality, North Atlantic Books, Berkley 1990,

A shot in the dark, (Dr HARRIS et B Loe FISHER), Avery Publishing group, 1991,

Les Vérités indésirables,

Le cas Pasteur (Archives Internationales Claude BERNARD), Ed. La Vieille Taupe, 1989,

L’intoxication vaccinales, (F. DELARUE), Ed. Le Seuil, 1977,

La rançon des vaccinations, (Simone DELARUE), Ed. LNPLV, Ed 1988,

Live viral vaccine, biological pollution, (Pr R DELONG), Cartlon Press Corp, New Yorl, 1996,

L’intox, quelques vérités sur vos médicaments, (Dr Bruno DONATINI), Ed. MIF,

Adverse effects of Pertussis and Rubella vaccines, Washington DC National Academy Press, 1991,

Des lobbies contre la santé, (Roger LENGLET), Ed. Syros,

La médecine retrouvée, (Dr ELMIGER), Ed. Léa,

Vaccinations : prévention ou agression ?, (M. Th. QUENTIN), Ed. Vivez Soleil,

Des enfants sains même sans médecin, (Dr R. MENDELSOHN), Ed. Soleil 1987,

Immunisation, Theory versus reality, New Atlantean Press, 1996,

La poliomyélite, quel vaccin ? quel risque ?, (Dr Jean PILETTE), Ed. de l’Aronde, 1997,

LA catastrophe des vaccins obligatoires, (Pr TOSSOT), Ed. de l’Ouest, 1950,

Les dessous des vaccinations, (Dr SCOHY), Ed. Cheminements,

Tuberculose et vaccin B.C.G., (Pr GRIGORAKI),

Le tabou des vaccinations. Danger des vaccins, thérapies naturelles de prévention des maladies infectieuses, (Miller Schär MANZOLI),

Déjà vacciné ? Comment s’en sortit ?, (Dr A. BANOIS - Sylvie SIMON),

Vaccinations : le droit de choisir, (Dr F. CHOFFAT), Ed. Jouvence,

12 balles pour un veto, (Dr QUIQUANDON), Ed. Agriculture et Vie, 1978,

Les radis de la colère, (J.-P. JOSEPH, Avocat à Grenoble), Ed. Louise Courteau,

Vaccinations, les vérités indésirables, (Pr GEORGET), Ed. DANGLES, préface du Pr CORNILLOT, Doyen de la Faculté de Médecine de Bobigny,

Nous te protègerons, (Dr Jean PILETTE), Ed. Daxhelt,

La faillite du B.C.G., (Dr Marcel FERRU, Pr honoraire de clinique médicale infantile), Ed. Princeps,

La Santé Publique en otage, (Eric GIACOMETTI), Ed. Albin Michel,

Vaccin Hépatite B : Les coulisses d’un scandale, (Sylvie SIMON et Dr Marc VERCOUTERE), Ed. Marco Pietteur.

Aucun de ces ouvrages, largement diffusés tant en France qu’à l’étranger, n’a fait l’objet du moindre procès, ni même du moindre démenti. La lecture de simples citations extraites de ces ouvrages, conduit tout lecteur, à la conclusion incontournable, suivant laquelle les enfants sont victimes d’un empoisonnement collectif, et qu’il est plus que temps de réagir.

En outre, tous les ans, des centaines de médecins, adressent des pétitions au Ministère de la Santé, afin que cesse ce qu’ils considèrent être un véritable empoisonnement collectif n’ayant pour but que le profit, et surtout pas la SANTE... PUBLIQUE.

Ces médecins dénoncent le fait que la quasi-totalité de leurs confrères est dans l’ignorance totale de ces informations, car l’information médicale en France passe entièrement par les laboratoires pharmaceutiques.

Ces médecins indiquent également qu’une vaccination n’est pas un acte banal, et qu’un certain nombre de précautions sont, de toutes manières, obligatoires (arrêté du 28 février 1952).

Il faut en effet, préalablement à tout acte vaccinale, que le sujet fasse l’objet d’un bilan clinique et biologique à savoir : a) Iconogramme complet, dosage de l’urée b) Lipidogramme c) Bilan endocrinien d) Titrage de tous les anticorps spécifiques aux vaccinations éventuelles déjà subies e) Test de dépistage du Sida et des différentes hépatites f) Electrophorèse et immunophorèse des protéines sériques, de manière à avoir une image globale des capacités ou incapacités éventuelle de l’organisme à fabriquer les anticorps g) Bilan radiologique :

Radiographie panoramique dentaire, ceci dès qu’il y a au moins une dent dévitalisée.

Radiographie pulmonaire, pour éliminer toute image de tuberculose pulmonaire.

Or, jamais un seul de ces teste n’est proposé aux enfants, ce qui procède d’une négligence criminelle.

Bien que ces éléments soient publics, et notoires depuis au moins 10 ans, aucun scientifique n’est encore venu les contredire, les vaccinalistes se content de répéter, comme une litanie religieuse, que les vaccins auraient enrayé les épidémies.

Déjà le 5 décembre 1957, 101 Députés Socialistes déposaient une proposition de Loi tendant à abroger l’obligation vaccinale. Parmi eux MM. DEFFERRE, CAPDEVILLE, PROVO, SAVARY.

La France est le seul pays d’Europe à avoir 4 vaccins obligatoires. Aussi, comme par hasard, le pays qui compte le plus de cas de tuberculose et de tétanos, mais c’est le 1er pays producteur de vaccins du monde...

En outre, certaines vaccins, obligatoires en France sont interdits dans d’autres pays de la C.E.E. (Grande-Bretagne, par exemple) vu le nombre de victimes paralysées à vie qu’ils ont faits.

L’on sait pourquoi aujourd’hui lorsque les Américains ont entrepris, en 1918, de vacciner les habitants des Philippines contre la variole, le taux des personnes atteintes est alors passé de 10% de la population, à 65% en quelques mois. L’on sait également (par les écrits des collaborateurs de PASTEUR) que le chien qui avait mordu le petit Jospeh Meister, vacciné par PASTEUR, avait également mordu toute la famille Meister qui n’a été ni vaccinée, ni malade. L’on sait que lorsque les Américains se sont rendus compte, dans les années 1960, que 75% des gens atteints de la polio, étaient correctement vaccinés (Vaccin Salk), les symptômes officiels de la polio ont été modifiées, ce qui fait que tous les nouveaux cas allaient être appelées : encéphalites, méningites, etc. Ce qui a donné l’illusion que le vaccin avait enrayé l’épidémie.

Nous ne pouvons donc plus nous contenter aujourd’hui de nous retrancher derrières des obligations de réserve, faute de quoi nous serions obligés de constater que le procès PAPON n’a servi à rien. (Rappelons-nous Maurice PAPON, à qui la Cour d’Assises de Bordeaux a reproché d’avoir, en sa qualité de Préfet de Police pendant l’occupation allemande, fait déporter des centaines de juifs, et qui, pour sa défense, a dit qu’il n’avait fait qu’appliquer la Loi...).

Tout citoyen a, aujourd’hui, à partir du moment où il sait, le devoir de prendre une position.

Les conséquences que l’on peut tirer de l’ensemble de ces informations sont les suivantes :

Un vaccin est une substance « préparée à partir de microbes, virus ou parasites qui, inoculés à un individu, lui confèrent une immunité contre le germe correspondant ».

Les substances inoculées aux enfants contre leur gré et celui des parents, sont, de toute évidence, des substances qui ne confèrent pas l’immunité, puisque les scientifiques nous démontrent aujourd’hui que de nombreux enfants vaccinés, ont néanmoins contracté la maladie.

Les substances, en outre, sont toxiques, puisqu’elles entraînent des effets secondaires graves, parfois mortels.

Ces substances ne sont donc pas des « vaccins », au sens scientifiques du terme.

Le fait de refuser d’administrer des produits inefficaces et toxiques à des enfants ne peut donc s’assimiler à une privation de soins, ou une mise en danger de la vie d’autrui.

Bien au contraire, le fait d’imposer l’administration de produits toxiques inutiles à des enfants constitue le délit de mise en danger de la vie d’autrui, et peu, à long terme, constituer le crime d’empoisonnement ou administration de substances nuisibles.

DES FAITS (ET NON PAS DES THEORIES) CONCERNANT LES VACCINS

Cet ouvrage se contente de rassembler simplement des dizaines de citations (en donnant les références) de scientifiques et professionnels de la santé.

Tous les ouvrages, dont sont extraites les nombreuses citations formant l’essentiel de ce document, se trouvent très facilement en librairie, à la FNAC, etc.

Aucun d’entre eux n’a engendré le moindre procès, ni même le moindre démenti.

« Celui qui ne gueule pas la Vérité, quand il connaît la vérité, se fait complice des menteurs et des faussaires » (Charles Péguy)

« L’une des nouvelles religions en France est le vaccin : en effet, bien que les Français soient réputés cartésiens, et bien que tous les pays voisins aient progressivement abandonnée l’obligation vaccinale, quiconque en France, se contente simplement de s’interroger sur l’efficacité des vaccins, déclenche des hurlements hystériques. Il s’agit donc bien d’une religion, dans laquelle des milliers de personnes qui se prétendent intellectuelles, ou même scientifiques, défendent des « vérités » qu’elles n’ont jamais vérifiées elle-mêmes. Quant à ceux qui font appliquer l’obligation légale vaccinale, il semble qu’aucun d’entre eux n’ait entendu parler du procès de Maurice Papon. »

20 QUESTIONS SIMPLES, 20 REPONSES (moins simples) SUR LES VACCINS

PREMIERE PARTIE

DES QUESTIONS SIMPLES, A PORTEE DE TOUS, SUR LES VACCINS EN GENERAL

Question n°1 :

De manière générale, est-il exact que les vaccins protègent des maladies et ont stoppé les épidémies ?

Réponses :

Quelques déclarations de scientifiques ou quelques articles de presse sur l’utilité des vaccins.

Sylvie SIMON, La Dictature Médico-scientifique : « Le taux de mortalité par la variole s’élevait à 10 % aux Philippines lorsque les U.S.A. prirent possession des îles en 1905. Entre 1905 et 1906, à la suite d’une campagne de vaccination massive, une épidémie fit mourir 25 % de la population. Entre 1918 et 1920, alors que l’armée américaine venait d’obliger 95 % de la population à se faire vacciner une terrible épidémie emporta, cette fois, 54 % de la population. Manille où le pourcentage de gens vaccinés était le plus fort (la presque totalité de la population), fut la plus touchée (65,3 %) alors que l’île de Mindanao ne fut touchée qu’à 11,4 %. Curieusement dans cette île, les indigènes avaient refusé de se faire vacciner... »

Dr Robert RENDU, Faculté de Médecine de Lyon, La Presse Médicale, 1949 : « Entre 1943 et 1947, 5 millions au moins d’enfants ont été vaccinés (contre le tétanos), soit plus de la moitié de la population, âgée de 1 à 14 ans. Cette vaccination massive aurait dû entraîner une diminution considérable du nombre de décès, or les statistiques officielles montrent que le nombre de décès infantiles par tétanos n’a guère varié de 1943 à 1947. (Un décès en moyenne par département et par an) »

Pr Michel REY, Impact Médecin Hebdo, 13 octobre 1995 : « La protection conférée par la vaccination (antidiphtérique) dure moins longtemps que l’immunité naturelle et n’est plus que de 50 %, 10 ans après la vaccination, alors que 90 % des adultes sont naturellement immunisés avant d’être vaccinés... »

Le Point, 23 janvier 1993, « Tuberculeuses et pourtant vaccinées » : « Les quelque cent infirmières des Hôpitaux de l’Assistance Publique de Paris qui ont été contaminées ces cinq dernières années étaient vaccinées... »

Jean-Yves NAU, Le Monde, 2 février 1987 : Importante épidémie de poliomyélite en Afrique de l’Ouest en 1986 : « Près de 200 des enfants que l’on croyait correctement vaccinés ont contracté la maladie. Certains sont morts. Les études épidémiologiques franco-américaines menées sur le terrain n’ont pas encore permis de comprendre les raisons exactes d’un tel phénomène... »

Dépêche AFP, 1er février 1997 : « La quasi totalité des cas de poliomyélite recensés aux U.S.A., de 1980 à 1994, a été causée par l’administration du vaccin oral atténué... »

Sylvie SIMON, La Dictature Médico-scientifique : « Grâce à l’amélioration des conditions d’hygiène, la poliomyélite avait disparu en Albanie, comme dans bien d’autres pays. Malheureusement le gouvernement et les autorités sanitaires de ce pays ont décidé de pratiquer une vaccination de masse dans le cadre d’une campagne de prévention. En avril 1996, on a alors administré le vaccin Sabin à virus vivant atténué à la population de tout âge... Selon les statistiques officielles...on a enregistré 90 cas de polio, dont 12 mortels... »

The Lancet, 1er janvier 1994 : « 54 % des personnes atteintes par une toute récente poussée de poliomyélite en Namibie (Nov. 1983) étaient toutes vaccinées dans les règles contre la poliomyélite... »

L’Événement du Jeudi, 5 au 11 mars 1992 : « Les Américains, malgré une politique musclée de prévention contre la rougeole, voient l’une des plus agressives maladies infantiles augmenter régulièrement chez les nourrissons. Nés de mères vaccinées, les bébés hériteraient d’anticorps moins résistants que ceux provoqués par une rougeole naturelle... »

Dr Louis DE BROUWER, (Vaccination erreur médicale du siècle) : « ... Les Français, manipulés et désinformés en sont venus à considérer l’acte vaccinal comme le baptême : hors vaccin pas de salut. Or, il n’a jamais été prouvé scientifiquement que les vaccins étaient efficaces et sans danger...Le principe de la vaccination constitue la plus monstrueuse erreur médicale et scientifique du siècle et mène l’humanité à une disparition prématurée. On ne compte plus aujourd’hui les cas de mort subite du nourrisson, sclérose en plaques, maladie d’Alzheimer, cancers, dermatoses, et d’affections nouvelles incurables dues aux vaccins... L’individu vacciné est devenu un véritable réservoir à virus... »

Question n° 2 :

Les vaccins sont-ils dangereux ?

Réponse :

Quelques déclarations de scientifiques ou quelques articles de presse sur les effets des vaccins.

Le Concours Médical, 19 septembre 1987 : « La carte d’incidence maximale du SIDA en Afrique correspondrait à celle où l’ultime effort d’éradication de la variole aurait été accompli. C’est cette introduction massive du virus vaccinal au sein d’une population séropositive mais dormante qui pourrait avoir donné le coup d’envoi au phénomène SIDA... »

Pr, Robert GALLO, Le Times : « J’ai toujours dit que l’usage de vaccins de virus vivants, comme l’on pratique en Afrique, peut activer un virus endormi comme celui du SIDA... »

Déclaration d’un conseiller auprès de l’O.M.S., Times, Il mai 1987 : « Maintenant je suis convaincu que la théorie mettant en cause la vaccination antivarioique est bien l’explication de l’explosion du SIDA... »

BIOCONTACT, janvier 1996 : « Il semble donc hautement probable que ce vaccin polio buvable, le fameux Sabin, préparé par culture sur ces singes verts d’Afrique, était contaminé par le virus STLV3, et que ce virus était peut-être le 1er chaînon évolutif expliquant l’apparition du virus VIH. Comment s’étonner par conséquent de l’extension incroyablement foudroyante de l’épidémie d’infection par le VIH, quand on connaît la qualité de la couverture médicale vaccinale mondiale vis-à-vis de la poliomyélite »

The Lancet, 1995-1071-4 : « Une étude Britannique met en cause le vaccin antirougeoleux dans la fréquence des maladies de Crohn et recto-colites ulcéro-hémorragiques (qui sont des maladies auto-immunes) de façon irréfutable (2,5 à 3 fois plus de cas chez les vaccinés sur un groupe de 3.545 personnes contre 22.000 sujets témoins - avec présence du virus de la rougeole dans les prélèvements intestinaux biopsiques). »

Panorama du médecin, 29 novembre 1994 : « Augmentation des cas de rougeole chez les personnes vaccinées...3 % en 1985 contre 27 % en 1994. Les maladies infantiles, bénignes chez l’enfant, sont de plus en plus fréquentes chez les adultes et les formes graves semblent s’accroître... »

Dr ODENT, Guide des vaccinations, Direction Générale de la santé : « Fréquence de toutes maladies, particulièrement otites et crises d’asthme chez les enfants vaccinés...Les enfants non vaccinés sont en meilleure santé... »

La Recherche, avril 1995 : « Une trentaine de cas de scléroses en plaques post-vaccinales sont soignés au service de neurologie de l’hôpital de la Salpétrière à Paris »

Pr Olivier GOUT, Chef de Clinique, La Salpétrière, VSD, 14 novembre 1996 : « Effectivement nous soignons ces maladies et des recherches sont en cours sur l’imputabilité du vaccin Il est trop tôt pour livrer des conclusions, mais il semble bien y avoir quelque chose »

Sylvie SIMON, La Dictature Médico-scientijique, p. 184 : « La propagande abusive pour la vaccination contre l’hépatite B a commencé dès le mois de juillet 1994. Après avoir conclu un marché avec Smith Kline pour le vaccin Engerix, Philippe DOUSTE-BLAZY, alors Ministre de la santé, a envoyé une circulaire aux recteurs d’Académie pour demander d’inscrire la vaccination des élèves de 6e et de 4e parmi les priorités pour l’année 1994-1995... »

Françoise JOET, Le Courrier d’Alis : « Est-ce que les enseignants français feraient désormais partie de la filière santé ? Quel est réellement le rôle de chacun ? D’aider à remplir les caisses de l’entreprise Smith Kline Beecham et de vider celles de la Sécurité Sociale ?... »

Dr Alain SCOHY : « L’accumulation des vaccins de toute nature tous azimuts sans le moindre intérêt thérapeutique, curatif ou préventif, épuise et affole le système immunitaire, ce qui est la base indispensable à l’installation de la maladie Sida. Le nouveau vaccin contre l’hépatite B risque fort d’être la goutte d’eau qui fera déborder le vase... » « ... Le vaccin contre l’hépatite B présente de réels dangers pour ceux qui le recevront... » « En plus de ce risque de contamination, soit par des prions (les cellules sont nourries avec du sérum de veau), soit par des virus inconnus à ce jour, ce vaccin inocule de façon absolument certaine des substances éventuellement cancérigènes, et des résidus d’outils de manipulations génétiques qui pourraient bien être à l’origine de cas de tératogenèse. Par ailleurs ces vaccins sont à l’étude : on ne pourra en mesurer l’éventuelle efficacité comme la nocivité que dans 15 ou 20 ans, d’après leurs promoteurs, ce qui fait que toutes les personnes inoculées sont en fait, à leur insu, des cobayes ! » « Tout ceci pour éviter une maladie complètement hypothétique qui a tendance à régresser spontanément dans nos pays, et qui guérit, sans traitement, dans 9 cas sur 10... »

Michel GEORGET, agrégé de biologie, Professeur honoraire des classes préparatoires aux grandes Écoles biologiques : « Quand on sait que l’immunité accordée au vaccin est de courte durée et que l’hépatite B se transmet essentiellement par les relations sexuelles et la toxicomanie intraveineuse, on imagine le bénéfice que les bambins vont retirer d’une telle opération...Les vaccinations de masse se font dans un contexte d’incertitude : des procédés de fabrication qui ne peuvent garantir des produits totalement purs, des individus tous différents, dont les capacités de défense ne sont jamais testées avant, ni vérifiées après la vaccination. Dans ces conditions, n’est-il pas urgent de réfléchir aux conséquences à long terme des vaccinations ? »

Mirko BELJANSKI, ancien Directeur de recherche au C.N.R.S. : « Le vaccin contre l’hépatite B issu du génie génétique, contient 10/15 fois plus d’activité dangereuse (TdT) que le vaccin traditionnel. Pourquoi tout ceci n’ a-t-il pas été contrôlé avant la diffusion par les puissants laboratoires qui sont derrière ces vaccins ? »

Françoise JOET, Courrier d’Alis, n° 13 : « Le plus extraordinaire est que l’on continue à prôner ce vaccin, que les campagnes de vaccination redoublent de zèle, pour inciter les individus à se faire vacciner, alors que pratiquement dès le début de son utilisation, on savait qu’il pouvait déclencher des scléroses en plaques, tout spécialement chez les personnes porteuses du gène HLA DRE. La mention de la sclérose en plaques figure parmi les effets indésirables de ce vaccin dans toutes les notices qui l’accompagnent. Comment laisser pratiquer ce jeu de roulette russe par des gens assez cyniques pour prétendre, en toute connaissance des dangers liés à ce vaccin, qu’ils agissent pour le bien de l’humanité ? »

Pr PARIENTE, Le Concours Médical, 20 janvier 1974 : « Le système immunitaire s’avère particulièrement endommagé à la suite de vaccinations de routine... » « ...Le capital immunologique se trouve substantiellement amoindri chez les nombreux enfants soumis aux programmes vaccinaux courants... »

Le Quotidien du Médecin, 9 mai 1996 : « ...Une simulation antigénétique, en l’occurrence un rappel de vaccin antitétanique, augmente transitoirement l’expression du VIH1 chez les personnes infectées, et rend plus susceptibles au virus les personnes non infectées... »

Celui qui vient, p. 143, citation du Dr SCOHY : « ...La guerre du Golfe pendant l’hiver 1991, aurait dû nous servir de leçon. 50.000 G.I. américains environ sont envoyés là-bas, et subissent au moins 4 vaccins... » « ...20.000 anciens soldats sont malades aujourd’hui. 2.000 sont décédés. Surtout il y a eu en 3 ans 2.000 naissances d’enfants gravement anormaux... »

Dr Louis DE BROUWER (précité) : « Du fait des vaccinations, les individus sont devenus de véritables réservoirs à virus, et leurs défenses immunitaires sont tellement amoindries que de nouvelles affections incurables et gravissimes apparaissent chaque jour... »

L’impatient, juin 1996 : « Hépatite B : LE SCANDALE »

Le Monde, 5 décembre 1996 : « ...Controverse sur l’innocuité du vaccin contre l’hépatite B... »

Science et avenir, janvier 1997 : « 6 millions de français vaccinés abusivement. Coût pour la collectivité : 1 à 2 milliards de francs par an »

Le progrès (Lyon), 11 février 1997 : « Hépatite B : les victimes veulent la vérité sur le vaccin. » Dr Robert Janiak : « Je n’aurai jamais dû être vacciné. 4 % des gens possèdent le même typage HLA que moi, et au total 17 % ont un phénotype à risque. Pour eux la vaccination est une loterie sordide »

Question n° 3 :

Mais alors, si les vaccins sont inefficaces et dangereux, pourquoi nous le cache-t-on et, pourquoi continue-t-on ?

Réponse :

Quelques déclarations de scientifiques ou quelques articles de presse sur les véritables raisons des campagnes de vaccination.

Le Courrier d’Alis, n° 12 : « Les médecins doivent obéir aux diktats des experts du ministère, conseillés par les marchands de vaccins, l’obtention de la couverture vaccinale étant le prétexte qui masque à merveille le mercantilisme de l’industrie pharmaceutique... » « ...Il est heureux qu’un nombre grandissant de praticiens découvre les manoeuvres de manipulation dont il est l’objet. Leur prise de conscience sera salutaire et permettra de redonner tout son sens à leur profession... »

Dr SCOHY : « Les campagnes publicitaires en faveur des vaccins représentent un endoctrinement type lavage de cerveau...On utilise tout d’abord la désinformation, avec trucage des chiffres statistiques et amalgame savant de l’effet protecteur du vaccin avec d’autres affections et une annonce de possibilité de contagion totalement fantaisiste. Ensuite on sème la terreur, pour faire croire à l’ensemble de la population que telle maladie est effroyable, mettant au même rang de gravité une banale rougeole et une poliomyélite paralysante. Ensuite on procède à la banalisation de l’acte vaccinal... » Dr Jacqueline BOUSQUET : « Si les dogmes n’étaient pas aussi forts, on pourrait suggérer timidement que les divers virus sont peut-être des effets et non des causes, ou du moins qu’ils agissent en réponse à une ou plusieurs causes situées en amont : dénutrition, et absence d’eau potable principalement, mais aussi endémies anciennes, et...campagnes de vaccinations massives dans le tiers-monde. Mais on n’a pas le droit, sous peine d’être qualifié d’hérétique. Beaucoup ont essayé depuis Pasteur, d’orienter la médecine sur d’autres voies. En vain »

Sylvie SIMON, La Dictature médico-scientifique, p. 200 : « ...Le marché mondial des vaccins représente quinze milliards de francs, dont 6 milliards pour l’Europe... » « ...En 1984, Charles Mérieux proposa à Charles Hernu, alors Ministre de la Défense, la création d’une double structure : une Bioforce civile pour faire de l’humanitaire d’urgence, et une Bioforce militaire pour assurer l’intendance. La première mission de cette Bioforce allait consister à vacciner 15.000 enfants à Madagascar, (cf L’Express 13 mai 1995). Cette action servit surtout à écouler les stocks de vaccins des Laboratoires Mérieux qui profitèrent ainsi de l’argent alloué à l’aide humanitaire pour faire d’énormes bénéfices. L’institut Pasteur et le Centre de Transfusion sanguine, celui du sang contaminé, étaient également partenaires... »

Géo Magazine, septembre 1994 : « La première action de Bioforce fut d’ entamer une campagne de vaccination sur une population exsangue, très exposée aux maladies infectieuses... »

Le Point, 20 janvier 1996 : « En Inde, 80 millions d’enfants ont été vaccinés contre la polio en deux jours par le vaccin oral. Une campagne massive qui a nécessité 500.000 postes de vaccination. 2 millions d’agents et 10 millions de volontaires. 2 autres journées seront organisées en 1996 et 1997 pour le rappel... »

Dr Louis DE BROUWER : « La vraie médecine a été remplacée par un système pharmacologique dont le seul objectif est le profit et non pas l’intérêt du malade... »

Le progrès (Lyon), publicité : « ...BIENVENUE DANS LE CAPITAL DE RHONE-POULENC. Quand Rhône-Poulenc vaccine 20 personnes par seconde dans le monde, c’est bien pour les actionnaires... »

Celui qui vient, p. 117 : « ...En 1977, la déclaration d’Alma Ata, donnait à l’O.M.S. (Organisation mondiale de la santé), le moyen d’étendre le Flexner Report non seulement à l’Amérique du Nord, mais au monde entier, au nom de la santé et du bien-être des populations de la Terre... » « ...Qui contrôlait l’O.M.S. ? Là est la question et aussi la réponse : l’O.N.U., l’organisme des financiers mondiaux. De plus en plus subtilement les autorités médicales et politiques nous dépossèdent de nos biens et de nos droits et nous mutilent...C’est le régime de la terreur médicale. C’est un monopole mondial »

Dr G. LANCTOT : La Mafia Médicale, p. 125 : « La vaccination engendre la violence sociale et le crime. Quelle meilleure façon de déstabiliser un pays...et de renforcer les contrôles policiers et militaires ?... » « ...La vaccination encourage la dépendance médicale et renforce la croyance de l’inefficacité de notre système immunitaire. Elle crée des assistés permanents...Elle encourage la dépendance morale et financière des pays du Tiers-monde vis à vis des pays occidentaux... »

Serge MONAST (journaliste au Québec), Les services secrets des vaccins : « ... Un grand nombre d’infirmières et de médecins se sont demandés à juste titre par rapport à cette vaccination (méningite), comment il se faisait qu’un protocole particulier soit rendu nécessaire pour l’administrer, alors qu’ils avaient l’ habitude d’administrer des vaccins. Ce protocole était d’ailleurs prévu par le gouvernement pour cette injection spécifique. Fait inusité, la manière dont il fallait incliner la seringue avec un angle particulier pour injecter ce vaccin, de même la pression très forte qu’il fallait appliquer pendant plusieurs secondes à l’endroit même où l’injection avait lieu, puis l’aiguille de la seringue qu’il fallait retirer très rapidement. Ce fait, rattaché au protocole spécial est d’autant plus étrange dans l’administration d’un vaccin contre la méningite, qu’il ressemble en tout point à la manière dont doit être injecté un implant électronique servant à l’identification personnelle, et fabriqué, entre autres, par Texas Instruments »

Panorama du Médecin, février 1996 : « ...La dernière génération d’implants mammaires est à base d’huile de soja...le liquide de remplissage de cette prothèse qui porte le nom de Trilucent TM, se compose de triglycéride, substance naturelle dérivant du soja biocompatible avec l’organisme humain et résorbable par celui-ci...Trilucent TM est par ailleurs muni d’un système d’identification unique en son genre qui permet un suivi à long terme de l’implant. Ce dernier est en effet muni d’une micro-puce, renfermant un code individuel auquel on accède par un lecteur manuel »

Lt Colonel John B. ALEXANDER, Military Review (U.S.), décembre 1980 : « La possibilité de guérir ou de causer des maladies peut être transmise à distance, causant des maladies ou la mort sans cause apparente...D’autres techniques d’influence d’esprit à esprit sont considérées. Si elle est perfectionnée, cette capacité pourrait permettre le transfert direct de la pensée, via la télépathie, d’un esprit ou un groupe d’esprits, à un public ciblé choisi. Le facteur intéressant est que le récepteur ne sera pas conscient du fait que des pensées lui sont implantées de source externe. Il ou elle pensera que ses pensées lui sont propres... »

James W. MC CONNELL, Psychology Today, 1970 : « Nous devrions réformer de sorte que nous, serions tous entraînés, dès la naissance, à faire exactement ce que la société exige de nous. Nous avons les techniques pour le faire...Personne n’est le détenteur de sa propre personnalité... Vous n’avez pas choisi la personnalité que vous. avez, et il n ’y a pas de raison de croire que vous devriez avoir le droit de refuser de recevoir une nouvelle personnalité si l’ancienne est antisociale... »

Anne MEUROIS-GEVAUDAN, Celui qui vient. Extrait de la traduction d’un document confidentiel, donné par un journaliste américain à Serge MONAST : « Bibliothèque du Sénat des États-Unis - Audiences devant un Haut Comité du Comité sur les affectations. Maison des représentants - Haut comité du Département de la Défense » :

...Financement pour le développement du Virus du SIDA : « ...La mise en pratique du programme et des laboratoires devait être complétée pour 1974-1975, et le Virus prêt entre 1974 et 1979. L’O.M.S. commença à injecter le SIDA lié au vaccin contre la variole à plus de 100 millions d’Africains en 1977. Plus de 2.000 jeunes blancs mâles homosexuels (opération « cheval de Troie ») reçurent une injection avec le vaccin (trafiqué) de l’hépatite B en 1978...Le développement du virus avait apparemment deux buts : le premier en tant qu’arme politique et ethnique devant être utilisée contre les noirs, et le second pour réduire le taux de population... »

Robert MAC NAMARA, Ancien secrétaire d’État américain, J’ai tout compris, (N° 2, février 1987) : « Il faut prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations. Réduire le taux de natalité s’est avéré impossible ou insuffisant. Il faut donc augmenter le taux de mortalité. Comment ? Par des moyens naturels, la famine et la maladie... »

Dr Guylaine LANCTOT, La Mafia Médicale, p. 126 : « Au cours du procès intenté à la C.LA., le Dr GOTLIEB, cancérologue, a reconnu avoir déversé, en octobre 1960, une grande quantité de virus dans le fleuve Congo (au Zaïre), pour le polluer et contaminer les populations qui utilisaient son eau...Le Dr Gotlieb a été nommé à la tête du National Cancer Institute... » « ...Il est évident que l’Afrique, surtout le centre et le sud, contient des ressources fabuleuses qui ont toujours suscité la convoitise des occidentaux. Malheur à ceux qui résistent ! Les colonies ont disparu mais pas le colonialisme... » « ...La vaccination décime les populations... Elle permet la sélection des populations à décimer. Elle facilite les génocides ciblés. Elle permet de tuer les gens d’une certaine race, d’un certain groupe, d’un certain pays... » « ...Prenons l’Afrique comme exemple, nous constatons la disparition presque complète de certains peuples africains. Comme par hasard il y en a plusieurs dans la même région : Zaïre, Ouganda, extrême sud du Soudan... » « En 1967, à Marburg (RFA) 7 chercheurs travaillant sur des singes verts d’Afrique, sont morts, frappés d’une fièvre hémorragique inconnue. En 1969, comme par hasard la même maladie tue 1.000 personnes en Ouganda. En 1976 une nouvelle fièvre hémorragique inconnue tue dans le sud du Soudan... puis au Zaïre... »

DEUXIÈME PARTIE

LES VACCINS OBLIGATOIRES

Question n° 4 :

Oui, mais, en France nous avons 4 vaccins obligatoires. Ceux-là ne sont tout de même pas inefficaces et dangereux ?

Réponse :

Nous avons l’obligation d’être vaccinés contre le tétanos, la diphtérie, la poliomyélite, et la tuberculose (B.C.G.).

Prenons donc chaque vaccin l’un après l’autre.

Examinons d’abord quelques précisions de scientifiques sur les vaccins obligatoires.

A - 1er vaccin obligatoire : LE TETANOS

Question n° 5 : Le vaccin contre le tétanos est-il efficace ?

Sylvie SIMON, Vaccination, l’Overdose : « ...Dans l’armée française, la plus vaccinée des armées alliées (plus de 4 millions de vaccinations d’octobre 1936 à juin 1940) le taux de morbidité tétanique par mille blessés est resté le même pendant la campagne de 1940 qu’avant ces vaccinations massives. Dans l’armée Grecque, non vaccinée, la fréquence du tétanos au cours de la dernière guerre a été 7 fois moindre que dans l’armée française... »

Fernand DELARUE, L’intoxication vaccinale, le Seuil, 1977 : « Dans l’armée américaine, pendant la 2e guerre mondiale, il y eut 10 millions de mobilisés, 500.000 blessés, et 12 cas de tétanos : 6 chez les non-vaccinés, 6 chez les vacciné... »

Dr F. JOET, tétanos : le mirage de la vaccination : « ... En 1959 EDSALL parlait déjà de l’échec du vaccin. GOULON en 1972 a vu 10 sur 64 patients immunisés contracter le tétanos. Même chose chez BERGER en 1978 qui a noté diverses observations sur des patients bien vaccinés qui avaient malgré tout contracté le tétanos. PASSEN et ANDERSEN en 1986 citent le cas d’un homme de 35 ans qui avait contracté le tétanos malgré un taux d’anticorps 16 fois supérieur au seuil considéré comme protecteur. Il avait reçu tous les rappels dans son enfance et tous les rappels réguliers jusqu’à 4 ans avant l’ accident. CRONE et REDER en 1992 décrivent 3 patients qui ont contracté un tétanos grave malgré un titrage d’anticorps élevé. Un de ces patients est mort. 2 d’entre eux avaient été vaccinés un an avant de contracter la maladie. L’un avait été délibérément hypervacciné afin de produire commercialement des globulines antitétaniques... » « ... Très intéressante également cette constatation recueillie en Finlande : de 1969 à 1985, 106 cas de tétanos, ont été déclarés...66 % étaient vaccinés... On constate que toutes les vaccinations, y compris la vaccination antitétanique sont susceptibles de provoquer des formes bâtardes de la maladie, avec des symptômes déroutants et un état pathologique de difficile description. Le vaccin a-t-il été la cause déclenchant ? Il est permis de le penser... »

Sylvie SIMON, Vaccination, l’Overdose : « ...En résumé, ce sont les pays où la vaccination est la moins pratiquée qui présentent le moins de cas de tétanos. Il se trouve que la France détient le record des cas de tétanos après le Portugal »

Dr Marc VERCOUTERE : « ...Fâcheuse coïncidence, dans ces 2 pays cette vaccination est obligatoire... »

Question n° 6 :

Le vaccin antitétanique est-il dangereux ?

Sylvie SIMON, Vaccination l’Overdose, p. 99 : « ...Choc anaphylactique pouvant entraîner la mort dans les heures qui suivent la vaccination, urticaire généralisé, syndrome de Lyell, asthme, encéphalite, paralysie des nerfs respiratoires, épilepsie, complications cardiaques (infarctus, etc.) »

Dr Kris GAUBLOMME : « ...Ce n’est pas une pratique médicale sensée que de risquer sa vie en se soumettant à une intervention probablement inefficace, afin d’éviter une maladie qui ne surviendra vraisemblablement jamais... »

Question n° 7

Nous aurait-on caché quelque chose sur le tétanos ?

Réponse :

1 - Science et Vie n° 678, Mars 1974 : « ... environ 50 % des malades guérissent spontanément... »

2 - Dr F. JOET, Tétanos, le mirage de la vaccination : « Le chlorure de magnésium est certainement le produit qui guérit avec le plus de succès le tétanos, ainsi que d’autres maladies infectieuses comme la diphtérie, la poliomyélite... « En 1932, le Dr NEVEU, élève du Pr DELBET, guérit une petite fille atteinte de diphtérie avec du chlorure de magnésium. Enthousiasmé par les succès obtenus sur d’autres malades atteints de diphtérie et de tétanos, le Dr NEVEU désira faire présenter un rapport à l’Académie de médecine. Le Pr DELBET lui même, membre de l’Académie de médecine tenta de présenter ce rapport devant cet auditoire. Il écrivit au Dr NEVEU « La publication de ma communication est définitivement refusée. Le Conseil de l’Académie a trouvé, après 6 mois de réflexion, l’argument suivant : En faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie et du tétanos, on empêcherait les vaccinations... » « ...L’Académie de Médecine a donc délibérément décidé d’étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vies, mais qui aurait risqué de concurrencer une vaccination. (cela prouve quels puissants intérêts dictent à l’Académie sa conduite... »

B - Deuxième vaccin obligatoire : le vaccin anti-diphtérique

Question n° 8 :

Le vaccin contre la diphtérie est-il efficace ?

Réponse :

Bulletin de l’Office intérieur d’hygiène Publique, Australie 1926 : « ...La diphtérie a autant régressé dans les localités non vaccinées, que dans celles où les vaccinations avaient été recommandées... »

Lyon Médical, 23 août 1953 : « De l’effondrement de la diphtérie sans vaccination en Allemagne occidentale et au Japon... »

Fernand DELARUE, L’intoxication vaccinale : « En France de 1945 à 1950 les décès sont tombés de 1.839 à 121 chez les enfants de 1 à 14 ans (vaccinés) et de 517 à 34 chez les moins de 1 an (non vaccinés), soit une baisse de 93 % dans les 2 cas... »

Question n° 9 :

Le vaccin antidiphtérique est-il dangereux ?

Réponse :

Dr TORCH, université du Nevada : (Neurology, 1982) : « 2/3 des 103 enfants décédés de la mort subite du nourrisson avaient reçu le vaccin D. T.P. dans les 3 semaines précédant la mort. Certains même étaient morts le lendemain... »

René PLARD, Député Maire de Troyes, 15 février 1939, salle Wagram : « ...Nous avons eu à Troyes une épidémie de diphtérie qui a pris naissance dans une colonie scolaire...J’ai demandé le secours d’un délégué du ministère qui a préconisé la vaccination. Or il se produisit une chose terrible : à la suite des piqûres, des enfants jusqu’ici sains furent contaminés. Il y eut des morts... »

N.B. Le 24 novembre 1940, le maréchal PETAIN, sur avis conforme de l’Académie de Médecine, fit de cette obligation vaccinale une Loi d’État.

Sylvie SIMON, Vaccination l’Overdose, p. 108 : « ...Vers la fin des années quarante, on dénombra en Angleterre de nombreux cas de polio, après l’injection du vaccin antidiphtérique : 50 enfants furent admis au Guy Hospital de Londres, 65 dans les Midlands, et 40 à Saint-Paneras, ce qui amena à interdire le vaccin dans ce pays en 1950. Sur 1.308 cas de paralysie survenus en Angleterre et au Pays de Galles à cette époque chez des enfants âgés de 6 mois à 2 ans, 170 cas étaient liés à une injection antidiphtérique... » « ...Parlant des vaccins contre la diphtérie et la variole, le Dr B. DUPERRAT de l’Hôpital Saint-Louis à Paris, a déclaré qu’ils provoquaient une explosion de leucémie... »

Dr Jean PILETTE, La poliomyélite Quel ’vaccin ? Quels risques ? (Éd. de l’Aronde 1997) : « ...Le vaccin anticoquelucheux et le vaccin antidiphtérique sont capables de provoquer une poliomyélite située préférentiellement dans le membre inoculé... »

C - 3e vaccin obligatoire : le vaccin anti-polio

Question n° 10 :

Le vaccin anti-polio est-il efficace ?

Réponse :

Sylvie SIMON, Vaccination l’Overdose, p. 114 : « ...En Californie, avril 1955, 400.000 enfants ont reçu ce vaccin, inoculé dans les écoles primaires. Au cours des 2 mois qui suivirent il y eut 94 cas de polio paralytique chez les vaccinés, 126 cas dans les familles de vaccinés, et 40 cas dans le reste de la communauté en contact avec les vaccinés... »

Dr Morton KLEIN (Philadelphie) : « ...95% des gens sont naturellement immunisés contre la polio... »

Michel GEORGET, Vaccinations, les vérités indésirables, p. 230 : « ...En 1956, le vaccin anti-polio est mis sur le marché. La France a environ 1.200 cas de polio, cette année-là. En 1957, le nombre de cas passe à 4.109. « Toutefois, après une chute spectaculaire en 1958, le nombre de cas s’accroissait de 60 % l’année suivante (1.600 à 2.600), malgré l’extension des vaccinations ». Un peu comme à Niamey 30 ans plus tard, on voyait la polio s’étendre dans une population vaccinée. Cette remontée de 1959 a dû gêner nos autorités sanitaires qui l’ont camouflée... »

Question n° 11 :

Le vaccin anti-polio est-il dangereux ?

Réponse :

Sylvie SIMON, Vaccination l’Overdose, p. 115 : « ...Dès 1973 aux État-Unis, le Dr HEINONEN a effectué des recherches sur le taux de cancers des enfants dont les mères avaient été vaccinées contre la polio au cours de leur grossesse entre 1959 et 1965. Il a découvert que le taux de tumeurs cérébrales était 13 fois plus élevé chez les enfants nés de mères vaccinées que chez les autres... »

Science et Vie, décembre 1996 : « Une équipe médicale du Baylor College à Houston a retrouvé le virus SV 40 dans les tissus de patients souffrant de tumeurs du cerveau et de mésothéliomes. Ce virus, reconnu cancérigène, a ainsi été injecté à 30 millions de personnes à travers le monde par le vaccin contre la polio... »

Vous et votre Santé, n°4 spécial vaccinations : « ... une enquête réalisée par l’O.M.S. et concernant 8 pays entre 1970 et 1974, révèle que sur 360 cas de polio à forme paralytique, 205 étaient indubitablement associés à la vaccination. « ...Ceci constitue une réponse à ceux qui accusent les non vaccinés d’être des dangers pour la société puisque c’est l’inverse qui se produit, la contamination venant des vaccinés. Cette observation n’est d’ailleurs pas unique, elle est valable pour tous les vaccins à virus vivants... »

Dr Yves COUZIGOU : « ...Les vaccinés, loin de constituer un barrage protecteur vis-à-vis des non-vaccinés, sont au contraire dangereux et peuvent contaminer le reste de la population, puisqu’il est prouvé qu’ils peuvent être porteurs et transmetteurs de virus poliomyélitiques par voie intestinale, et peut-être par d’autres voies... »

BIOCONTACT : « ...En inoculant le vaccin antipolio contenant le STLV, a-t-on introduit dans l’organisme humain un rétrovirus capable, éventuellement, de se transformer en HTLV3, responsable du Sida ?... »

Question n° 12 :

Nous aurait-on caché quelque chose sur la poliomyélite ?

Réponse :

Dr Jean PILETTE, La poliomyélite Quel vaccin ? Quels risques ? (Éd. de l’Aronde, 1997) « ...Le virus se reproduit aux environs de 37 à 37,5°, mais il est détruit autour de 39 à 40°. Or, en cas d’infection, la température monte brutalement et, si on laisse faire, aucune séquelle ne subsistera. En revanche, si l’on s’évertue à faire tomber la température grâce aux nombreux produits chimiques dont nous disposons, le virus se développera et envahira le système nerveux central... »

Sylvie SIMON, Vaccination l’Overdose, p. 123 : « ...Le virus de la polio a été exacerbé par la vaccination antidiphtérique, provoquant des vagues épidémiques en Afrique et en Asie, dans les zones à hygiène précaire où circulent encore des virus sauvages (surtout dans l’eau). Ailleurs, seuls les virus vaccinaux sont à l’origine de la maladie. Voilà qui devrait suffire à mettre fin à la vaccination. On avait abandonné en, 1979, la vaccination antivariolique car ses effets secondaires étaient plus graves et plus nombreux que la maladie elle-même. Qu’attend-on pour en faire autant de la polio ? Quant à ceux qui ont peur de la maladie, signalons que le traitement à base de chlorure de magnésium est très efficace, comme le prouvent les témoignages du Dr NEVEU... »

D - 4e vaccin obligatoire : le B.C.G.

Question n° 13 :

Le B.C.G. est-il efficace ?

Réponse :

Bulletin statistique du Ministère de la Santé, n° 1, 1974 : « ...En 1945 la Hollande était le pays d’Europe le plus touché par le fléau tuberculeux. En 1974, sans jamais avoir eu recours au B.C.G., la maladie y était totalement éradiquée. À l’inverse le fléau tuberculeux reprenait de la vigueur par-tout où le B.C.G. est encore pratiqué... »

Sylvie SIMON, Vaccination l’Overdose p. 129 : « ...Déjà à New York en 1812, le taux de mortalité par la tuberculose était de 700 pour 100.000. En 1882, il était tombé à 370. En 1904 il avait encore chuté à 180, et après la seconde guerre mondiale, il n’était plus que de 48 pour 100.000. Cette régression du mal ne s’accompagnant d’aucun vaccin... » « ...En 1973 la R.F.A. supprimait ce vaccin... »

Dr F. FREERKSEN, Directeur de l’Institut Allemand de Biologie expérimentale, Le Concours Médical, 20 avril 1974 : « ... On assiste en Europe à une régression de la tuberculose depuis environ 100 ans, donc bien avant l’introduction du B.C.G. Le dogme de l’absence de méningite tuberculeuse chez les vaccinés doit être abandonné (entre 1964 et 1968 à Menne, sur 4 méningites tuberculeuses, 2 se sont produites chez des sujets vaccinés). Devant le doute existant en ce qui concerne son efficacité, il est difficile de continuer à préconiser la vaccination systématique en Allemagne... »

Bulletin n° 57 de 1979 de l’O.M.S., Étude dans la région de Madras (Inde) sur les vaccinations B.C.G. de 1958 à 1971 administrées à 260.000 sujets (vaccins préparés à partir de souches françaises et danoises) : « ...Les résultats de cette étude démontrent que le B.C.G. n’a pas donné une protection efficace au cours des 7 premières années après la vaccination... »

Pr CHRÉTIEN, Hôpital Laénnec, Le Panorama du Médecin, n° 4290 : « ...La vaccination antituberculeuse n’est qu’approximative et ne peut en aucun cas éliminer l’endémie qui sévit actuellement en France... »

Pr REY, Thérapeutiques, janvier 1996 : « ...Le B.C.G. ne fera pas disparaître la maladie. A la limite le B.C.G. gêne la lutte contre la tuberculose... »

LE MONDE, 8 août 1996 : « ... Le retour de la tuberculose pousse le B.C.G. à la retraite... »

LE POINT, 23 janvier 1993, Tuberculeuses et pourtant vaccinées : « ...Les quelque cent infirmières des Hôpitaux de l’Assistance Publique de Paris qui ont été contaminées ces cinq dernières années étaient vaccinées... »

Question n° 14 :

Le B.C.G. est-il dangereux ?

Réponse :

Sylvie SIMON, Vaccination l’Overdose, p. 137 : « ...Le B.C.G. bovin a été interdit en 1955 après 20 ans d’utilisation, en raison d’une tuberculinisation rendant la viande impropre à la consommation. Il reste cependant obligatoire en France pour les humains. Aurait-on moins d’égard envers nos enfants qu’envers nos vaches... »

Dr TUBERY, Vous et votre santé, 4e Trimestre 1996 : « ...La tuberculose reste en France un phénomène marginal. En outre cette maladie se soigne bien. Par contre on est certain que de nombreux enfants deviendront des bronchitiques, des asthmatiques, des allergiques de toutes sortes, à la suite de cette agression sauvage du système immunitaire... Combien deviendront allergiques à cause de ce vaccin ? Des dizaines de milliers tous les ans. Et n’oublions pas que l’asthme aussi peut tuer. Le rapport qualité-prix dans ce cas ?...Le français moyen aura droit par contre aux publicités télévisées sur le vaccin contre la grippe ou contre les oreillons, avec une argumentation d’un niveau intellectuel et moral aussi pitoyable que celui de la pub pour les voitures de luxe ou les boites de conserve... »

LE PARISIEN, 25 février 1998 : « ...Des vaccins ont pu transmettre la maladie de la vache folle, suite à la découverte par des chercheurs britanniques que la contamination pourrait bien se faire par le biais des produits sanguins entrant dans la composition des vaccins... »

SCIENCE ET VIE, octobre 1996 : « ...La préparation de vaccins contre les maladies virales passe obligatoirement par des cellules de cultures animales ou humaines. Il n’est pas exclu qu’un sérum puisse être contaminé par un virus qu’on n’a pas spécifiquement recherché... »

PROFIL, 13 juillet 1989 : « ...Le Pr COSTIL de l’hôpital Trousseau à Paris, avait pu observer 8 cas de méningite tuberculeuse survenus entre 1978 et 1988 chez des enfants vaccinés avec le B.C.G. Parmi ces 8 cas il y avait eu 2 décès, 3 cas avec de graves séquelles neurologiques, et seulement 3 guérisons... »

Dr F. FREERKSEN, Directeur de l’Institut de Biologie expérimentale Allemand, Le Concours Médical, 29 avril 1974 : « ...La vaccination par le B.C.G. sans indication particulière n’a que des inconvénients et présente des dangers... »

Pr GRANDGEORGE, Le quotidien du médecin, 9 septembre 1992, B.C.G. et Sida : « ...À chaque vaccin on essaime dans la population 240.000 bacilles de tuberculose bovine. Est-ce encore licite dans une Société où les maladies déprimant l’immunité, telle Sida, se développent à grands pas ? Reprenons le Vidal de 1992 : le B.C.G. est déconseillé en cas de séropositivité V.I.H. Or aucun médecin vaccinateur en milieu scolaire ne semble s’inquiéter de la séropositivité des enfants qu’il soumet au B.C.G. Lorsque j’ai soulevé cette question, le médecin responsable de la D.A.S.S. de mon département m’a répondu « nous prenons des risques, mais ils sont faibles et on ne peut pas faire d’omelette sans casser des oeufs... »

Dr Jean ELMIGER, La médecine retrouvée, (Éd. Léa, 1984), p. 128 : « ...Le lancement du B.C.G. est un modèle de gangstérisme économique, une gigantesque et malhonnête opération commerciale. Rien ne manque au scénario : un inventeur farfelu, des expériences de laboratoire truquées, un vernis pseudo-scientifique, des statistiques tronquées, une publicité éhontée, l’appui acheté des mandarins, et, suprême astuce, la gratuité du produit... financé par le contribuable ! Tout cela ne sort pas de l’ordinaire ; le public français est habitué aux scandales. Mais ce qui est propre au B.C.G., et qui atteint les sommets du machiavélisme, c’est l’ultime manoeuvre, réussie, de coercition diabolique imaginée par les promoteurs. Car CHAVANON révèle que les 20 familles qui tiennent la santé en otage (entendez : son enseignement, ses laboratoires, ses temples... et son commerce) ont réussi le tour de force de faire voter en 1949, à la sauvette, par l’Assemblée Nationale, et par le Conseil de la République, l’obligation vaccinale le pour le B.C.G. ... » « ...Quand un car dégringole un ravin avec 40 écoliers à son bord, le drame fait la une des journaux dans le monde entier. Les centaines d’enfants tués chaque année par le B.C.G. restent anonymes...La poule aux oeufs d’or de l’Institut P... finirait en court-bouillon ! Le corps médical ne doit en aucun cas en être informé... » « ...Apprenez ici une vérité terrible : chaque fois que vous entendez parler d’une affreuse mort d’enfant, terrassé dans les premières semaines de sa vie, par une « méningite virale », vous êtes en droit de suspecter le B.C.G., même si l’autopsie a confirmé le diagnostic classique d’« encéphalite virale » foudroyante... » « ...Si le médecin responsable d’une telle horreur est conscient du rapport de cause à effet, il est un criminel éclairé, et un lâche pour n’avoir pas parlé. S’il ne saisit pas le rapport, il est un dangereux imbécile prêt à la récidive... »

Question n° 15 :

N’existerait-il pas une réalité encore plus effrayante, concernant le B.C.G., et (peut-être) tous les vaccins ?

Réponse :

Dr Jean ELMIGER, La Médecine retrouvée, p. 147 : « ...En 1964 je fonctionnai quelques semaines comme officier sanitaire en conseil de révision. Les épreuves du recrutement comportent en Suisse un petit test des facultés intellectuelles : les jeunes gens doivent rédiger une sorte de composition. Les deux derniers districts examinés étaient rigoureusement identiques sur le plan démographique. Même race, même langue, même religion, même vocation rurale, mêmes taux de consanguinité et d’atavisme alcoolique. Bref, des sosies. Dans l’un, pourtant, la qualité des copies remises nous consterna, révélant une nette infériorité intellectuelle. Pourquoi pareille différence ? Je ne m’expliquai le phénomène que bien des années plus tard, en découvrant à mon tour la Médecine retrouvée. Dans ce district malheureux, tous les garçons étaient nés dans la même maternité. Par les quelques malades qui me vinrent ultérieurement de cette région, j’appris que le médecin-chef de cet hôpital était connu depuis des lustres comme ardent partisan de la prophylaxie antituberculeuse. Ce fanatique avait donné des ordres stricts. Aucun bébé ne sortait de sa clinique, que les parents en soient avertis ou non sans avoir subi le B.C.G. ! Je ne sais s’il vit encore, mais toute une délicieuse partie de ce pays d’éleveurs lui doit, ô ironie, un handicap incalculable : la dégradation la plus cruelle, celle de la race ! ... » P. 145 : « ...Les végétariens prétendent depuis toujours que l’ingestion de la chair des animaux introduit petit à petit chez l’homme la bestialité de l’animal abattu... Qui parle ici d’ingestion ? ...Il est injecté à travers la peau, échappant à son contrôle... Les compères C. et G. (Calmette et Guérin) n’ont pas pris l’animal au hasard. Ils ont choisi la vache. Ce paisible bovidé devient lentement mais sûrement le lien analogique et quasi parental de la grande famille des Français... »

TROISIÈME PARTIE

MAIS ALORS,ON NOUS AURAIT MENTI ?

Question n°16 :

Depuis quand nous ment-on ?

Réponse :

Philippe DECOURT, Les Vérités indésirables, Le cas Pasteur : « Le jeune Rouyer (12 ans) fut mordu le 8 octobre 1886 par un chien inconnu. Pasteur lui inocula son vaccin par la méthode intensive. Le 26 octobre l’enfant mourut. Une enquête judiciaire, dont fut chargé le Pr BROUARDEL, fut alors ouverte pour déterminer les causes de la mort, mais celui-ci haut personnage bardé de diplômes, était un ami de PASTEUR. Dans le laboratoire d’Émile ROUX, on inocula une partie du bulbe cervical de l’enfant à des cerveaux de lapins. Quelques jours plus tard les lapins moururent de la rage, mais BROUARDEL, en accord avec ROUX, décida de porter un faux témoignage...Le rapport indiquait : « Les 2 lapins sont en bonne santé aujourd’hui... » PASTEUR déclara que l’enfant était mort d’urémie.

Sylvie SIMON, Vaccination l’Overdose, p. 31 : « ...En 1886, les morts connus à mettre au passif de la méthode PASTEUR s’élevaient à 74...Certains sont morts en présentant les symptômes de la rage ordinaire, d’autres ont succombé à une affection dénommée rage des laboratoires... »

Dr Henri QUIQUANDON, 12 balles pour un véto, (Éd. Agriculture et Vie 1978), p. 174 : « ...À l’école primaire on nous a enseigné que le malheureux enfant avait été mordu par un chien enragé et que sans la piqûre salvatrice, il aurait inéluctablement contracté cette redoutable maladie. La vérité est toute autre bien peu de gens savent que le propriétaire du chien mordeur, Max VONE, ainsi que plusieurs autres personnes mordues le même jour par cet animal, restèrent en bonne santé en l’absence de tout traitement, ce qui signifie en clair que le chien n’était nullement enragé... P. 176 : « ...PASTEUR fait passer sous les yeux des membres de l’académie des sciences et de l’ académie de médecine, le tableau de six enfants morts de la rage du 17 juin au 24 septembre après avoir été vaccinés, tableau sur lequel on lit à côté du nom de chaque victime, ces deux mots poignants : traitement insuffisant... » P. 178 : « ...Le total des morts (de la rage), malgré la vaccination antirabique était donc, à la date du 2 novembre 1886 de 53...En France la moyenne annuelle des personnes qui meurent de la rage (avant la diffusion du vaccin) est de 30... »

Ainsi, la théorie vaccinale du monde entier est partie sur un cas unique mensonger !

Les responsables de la santé Publique le savent depuis le début du siècle, mais ont laissé véhiculer ce mensonge, constatant qu’il existait un marché potentiel fabuleux !

Le Dr De BROUWER écrit : « ...Le B.C.G. prit rapidement un essor considérable et combla d’aise et d’argent l’Institut Pasteur et un corps médical d’une incompétence et d’une naïveté redoutables. Les promoteurs de cette affaire machiavélique, une vingtaine de familles tenant la santé en otage : mandarins, enseignants, propriétaires de laboratoires, etc firent voter en 1949, à la sauvette, par l’Assemblée Nationale et le Conseil de la République, la vaccination obligatoire par le B.C.G., lequel B.C.G., gratuit, est en réalité financé par le contribuable français... Curieusement, en 1949, le président du Sénat était le P.D.G. de l’Institut Pasteur !... »

Question n° 17 : Pourquoi le principe même de la vaccination est-il un non-sens pour de nombreux scientifiques ? Réponse :

Pr TISSOT : « Toute maladie causée par un microbe étranger présente 2 phases : une première phase aiguë avec fièvre durant laquelle le microbe se multiplie durant 8 à 15 ou 20 jours, comprenant l’incubation et la période d’état, et une 2e phase chronique pouvant durer jusqu’à la mort et comportant les accidents les plus graves de la maladie, dont les uns surviennent tout au début de cette période, d’autres beaucoup plus tard. Pour se multiplier dans le sang, le microbe y fabrique lui-même une substance nommée antitoxine qui agglutine ces éléments et les fait passer à l’état de moisissure, ce qui caractérise le début de la période chronique. Cette moisissure va se loger dans les organes où elle cause des troubles (paralysies, néphrites, etc.) en continuant à former l’antitoxine. Celle-ci est le corps immunisant, mais elle ne protège pas contre les troubles que cause la moisissure, puisque c’est celle-ci qui lui donne naissance. Le principe de l’immunité est donc faux : 1 - Parce que l’antitoxine prétendue immunisante est fabriquée par le virus et assure son évolution et non sa destruction, 2 - Parce qu’un virus, devenu vaccin par atténuation, peut récupérer sa virulence originelle et provoquer la maladie avec toute sa gravité, 3 - Parce que le vaccin inocule à tous les vaccinés (100 %) la maladie chronique, 4 - Parce que pratiquement, les vaccinations contre la fièvre typhoïde, la variole et la diphtérie, n’empêchent pas de contracter la maladie 6 mois ou un an après... »

Question n° 18 :

Comment nous ment-on : par quel stratagème nous a-t-on fait croire que les vaccins avaient enrayé les épidémies ?

Réponse :

Quelques exemples de mensonges :

Dr SCHEIBNER (Expert Australien), Les astuces statistiques : « ...Depuis 1957, l’O.M.S. ne recense dans les statistiques que les formes paralytiques de poliomyélite, alors qu’avant la vaccination, toutes les formes de polio étaient incluses, ce qui permet de faire apparaître une régression des cas qui est loin d’être la vérité... »

Pr GREENBERG (université de Caroline du Nord), Audiences du congrès américain (PR 10 541 1 962) : « ...Après l’échec retentissant du vaccin Salk ,(au Massassuchets, 75 % des cas paralytiques avaient pourtant reçu 3 doses ou d’avantage du vaccin), une parade géniale fut trouvée pour sortir l’industrie du médicament du pétrin « Life science » : on décida de nouvelles normes pour l’établissement du diagnostic de la polio. Une première exigence : les symptômes devaient avoir persisté pendant 60 jours. Cette seule décision excluait la plupart des cas du diagnostic de polio, car les symptômes se maintiennent rarement aussi longtemps. Les symptômes qui auparavant avaient été diagnostiqués « polio » au cours des épidémies, devaient maintenant trouver une nouvelle étiquette, comme méningite virale, méningite spinale, sclérose en plaques ou autres. C’est ainsi, explique l’article de Life Science, que la polio a disparu, alors que d’autres maladies ont soudainement pris plus d’importance. On a créé l’illusion que la vaccination avait éradiqué la polio... »

Pr TISSOT : « ...En 1925 une épidémie (de diphtérie) ayant éclaté dans l’armée du Rhin, on décida de pratiquer des vaccinations. Le médecin militaire ZOELLER fit, à Mayence un 1er essai de contrôle. Il vaccina 305 recrues par 2 injections d’anatoxine diphtérique faites à 3 semaines d’intervalle. D’autres recrues non vaccinées servaient de témoins. 11 cas de diphtérie se déclarèrent chez les 305 vaccinés pendant les 3 semaines séparant les 2 injections. 1 seul cas survint sur environ 700 recrues non vaccinées... » « ...On prétendit que les diphtéries des vaccinés étaient survenues chez des hommes incomplètement immunisés, c’est-à-dire trop récemment vaccinés, et qu’elles devaient être retirées de la série des vaccinés pour être portées dans la série des non vaccinés... »

Pr Carlo RUALA (université de Pérouse, Italie) : « ...Comment peut-on dire qu’en 1talie, il y a 3.000 guérisons de rage par année, quand dans l’Europe, il ne se produit en une année pas même 1.000 cas de rage ? Autrefois, avant l’invention des instituts antirabiques, quand un individu était mordu par un chien enragé, il courait chez le médecin se faire cautériser ; maintenant au contraire, il va à l’institut antirabique. Mais combien y en a t il qui ont contracté la rage par la morsure ? La rage se transmet avec une extrême difficulté... En Italie, avant l’implantation des instituts antirabiques, on comptait environ 65 décès par an de la rage... N’est-il pas curieux de voir que 358 personnes guérissent de la rage, rien qu’à Turin, chaque année... De nos jours, toutes les personnes mordues, ou simplement léchées par un animal suspect, sont considérées comme guéries de la rage quand, après avoir subi la cure antirabique, elles ne meurent pas de la rage... Mais le plus curieux, c’est que, avec toutes ces guérisons très nombreuses, le nombre de personnes mortes de la rage en Italie a notablement augmenté tout d’un coup après l’implantation des instituts antirabiques (85 en moyenne de 1887 à 1900 au lieu de 65 avant 1887) ...alors qu’en Angleterre, au contraire, sans tourmenter personne, sans rien dépenser, mais simplement en prenant de sévères dispositions sur l’usage de la muselière, on a diminué la mortalité de fait de la rage à tel point qu’on l’a réduite à zéro... »

Question n° 19 :

Nous ment-on par naïveté, ou avons-nous vraiment affaire à des salauds ?

Réponse :

Dr F. JOET, Tétanos, le mirage de la vaccination : « En 1932, le Dr NEVEU, élève du Pr DELBET, guérit une petite fille atteinte de diphtérie avec du chlorure de magnésium (produit en vente¨libre, et très bon marché). Enthousiasmé par les succès obtenus sur d’autres malades atteints de diphtérie et de tétanos, le Dr NEVEU désira faire présenter un rapport à l’Académie de médecine. Le Pr DELBET lui même, membre de l’Académie de médecine tenta de présenter ce rapport devant cet auditoire. Il écrivit au Dr NEVEU : « La publication de ma communication est définitivement refusée. Le Conseil de l’Académie a trouvé, après 6 mois de réflexion, l’argument suivant : En faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie et du tétanos, on empêcherait les vaccinations... » « ...L’Académie de Médecine a donc délibérément décidé d’étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vies, mais qui aurait risqué de concurrencer une vaccination. Cela prouve quels puissants intérêts dictent à l’Académie sa conduite !... »

Dr Henri QUIQUANDON, 12 balles pour un véto, (Éd. Agriculture et Vie 1978), p. 199 : « ...L’obligation de la vaccination antiaphteuse (pour les animaux) avait été décidée en 1962, ce qui avait immédiatement abouti, avec des subventions de l’État, à la construction d’usines pour la fabrication du dit vaccin. Or, quelques années auparavant, un bactériologiste R. BORDET avait mis au point un filtrat neutre stabilisé de culture d’Agrobacterium tumefaciens et d’une sélection de bactériacées du genre phytomonas. Il y avait en tout une vingtaine de souches. Le produit se conservait deux ans, sans précautions spéciales. Deux injections intramusculaires à 48 heures d’intervalle suffisaient pour assurer une guérison rapide, en quelques jours, juguler une épidémie, et ce sans séquelles ni pertes économiques. Les résultats ont été constatés par de nombreux vétérinaires, sur environ 20.000 têtes de bétail. Des essais ont également été effectués sur la maladie de carré du chien, dans la peste porcine et chez l’homme contre le zona avec des résultats rapides, des guérisons totales. Ce produit a été commercialisé une 1re fois sous le nom d’Anavirus, 15 jours plus tard, il était interdit par le Ministère de l’Agriculture. BORDET le ressortit sous le nom de Paravirus, la même interdiction fut à nouveau formulée. Pierre BELLEMARE s’empara de l’affaire à Europe 1 et, dans une ferme de Normandie, devant deux huissiers et 2 vétérinaires, si mes souvenirs sont exacts, fit injecter l’Anavirus aux 50 vaches normandes qui venaient d’être atteintes par l’épizootie aphteuse. Une semaine plus tard, toujours en présence des huissiers et de mes deux confrères, Pierre BELLEMARE dut se rendre à l’évidence : tous les animaux étaient parfaitement guéris, la production laitière atteignant son chiffre initial d’avant l’épizootie. Mais les mérites du Paravirus ne s’arrêtent pas aux animaux. Catherine LANGEAIS que tous les téléspectateurs français connaissent, était devenue aveugle, et avait dû abandonner son poste de speakrine à la Télévision. Elle a été totalement guérie par le Paravirus (Paris-Match n° 657, 1959, p. 16)... Les grands laboratoires sont parvenus à étouffer l’affaire et même, sauf erreur, à encaisser une subvention importante destinée à BORDET, et votée par le Parlement. Un véritable scandale... Le brevet de fabrication... dort actuellement tranquillement dans les tiroirs d’un grand institut... Pendant ce temps, vaccinons, ça rapporte quand même davantage... »

QUATRIÈME PARTIE

COMMENT RÉAGIR FACE À CES MENSONGES ?

Réponse : Par la logique. Qu’est ce qu’un vaccin ? (Définition du Petit Larousse).

Un vaccin est une substance « préparée à partir de microbes, virus ou parasites qui inoculé à un individu lui confère une immunité contre le germe correspondant ».

Or, il est évident que les produits inoculés aux Français ne sont pas réellement des vaccins puisqu’ils n’immunisent pas et puisqu’ils induisent de graves, voire mortels effets secondaires.

Par conséquent, les produits mis sur le marché n’ont de « vaccins » que l’appellation.

L’intervention de l’agence française du médicament ainsi que l’existence d’une A.M.M. (Autorisation de Mise sur le Marché), n’implique pas la preuve, ni de l’efficacité du produit, ni de son absence de toxicité.

En effet, il est fréquent que les médicaments autorisés dans un premier temps soient par la suite retirés du marché, soit pour absence d’efficacité, soit pour des effets secondaires trop graves et trop importants.

Il en est de même pour les vaccins : ainsi, il est aujourd’hui démontré que la campagne des vaccinations contre l’hépatite B en 1994-1995 a déclenché plusieurs milliers de cas de sclérose en plaques, ce qui démontre que l’ A.M.M. n’empêche pas la toxicité du produit et ceci d’autant plus que (tout comme les autres vaccins) de nombreuses compositions différentes ont été utilisées : HEVAC, GENHEVAC, ENGERIX, etc.

Ainsi dès qu’un nouveau produit concernant le même « vaccin » est mis sur le marché, cela démontre l’inefficacité de l’ancien.

Malheureusement, les laboratoires pharmaceutiques attendent, pour retirer les anciens produits, d’avoir vendu le stock.

Conséquence incontournable : toute personne voulant respecter la Loi, doit exiger de vrais vaccins, et refuser les produits mis actuellement sur le marché, qualifiés faussement de « vaccins ».

Question n° 20 :

Un fonctionnaire zélé (bien que je lui démontre que les produits appelés « vaccins » sont inefficaces et nous empoisonnent), exige « parce que c’est la loi » que mes enfants soient vaccinés. Que puis-je faire ?

Réponse :

1°) Cessez d’abord d’avoir des scrupules. Le personnage qui maintient ces exigences ne peut être : a) qu’un ignorant. b) ou le complice d’une grave infraction pénale.

a) Un ignorant : Celui qui, malgré ces informations, ne change pas d’avis est particulièrement ignorant, car comment continuer de ne pas voir que les « vaccins » sont inefficaces et dangereux, devant la masse énorme de livres, d’articles de presse, de magazines, de pétitions de médecins concernant cette question ?

b) le complice d’une infraction pénale : on nous a bassinés pendant des mois avec le procès PAPON, qui n’a cessé de dire qu’il appliquait la Loi et rien d’autre, et tous les politiques, à cette occasion, n’ont cessé de dire que quand un ordre était insensé, criminel, ou même anti-démocratique, il était légitime de ne pas s’y conformer. Or, certains fonctionnaires, obligés de constater l’inefficacité et la dangerosité des vaccins, vous disent qu’ils sont chargés d’exécuter la Loi, et que, même s’il est reconnu que votre enfant risque sa vie en se faisant vacciner, il vous dira que ce n’est pas son problème, car « C’est la Loi ». Si le fonctionnaire zélé, au vu des informations que vous lui remettez ne se précipite pas sur son téléphone, afin d’informer sa hiérarchie qu’il existe un problème sérieux, et qu’on ne peut plus continuer comme cela, qui est il, sinon un lâche qui n’en a rien à faire de la vie de votre enfant, mais qui pense uniquement à son avancement ?

Sachez donc que vous avez en face de vous un lâche. Sachez aussi que dans les affaires du sang contaminé, de l’amiante (où il a fallu que des scientifiques hurlent pendant 29 ans avant que l’on ne prenne des mesures) etc., ...de nombreuses personnes sont mortes parce que des imbéciles de cette envergure « ne voulaient pas savoir » .

2°) Nous pensons donc avoir trouvé le moyen d’échapper à l’empoisonnement, tout en respectant la Loi. Voici donc la méthode que nous suggérons. Elle consiste à contraindre ceux qui ne veulent pas savoir, à savoir quand même, afin qu’ils ne puissent plus jamais dire à l’avenir qu’ils ne savaient pas :

A - Photocopier les pages de ce livre : à partir du titre « Des faits (et non pas des théories) concernant les vaccins » jusqu’à la fin de la réponse à la question n° 19.

B - Photocopier les couvertures des livres parus sur cette question, que vous trouverez à la fin de cet ouvrage (plus d’autres si vous en possédez). Vous avez ainsi constitué un dossier.

C - Écrire à l’autorité qui exige que votre enfant soit vacciné (Inspecteur d’Académie, Conseil Général, Directeur d’école, etc.) le courrier suivant, en recommandé avec A.R.

« Monsieur l’Inspecteur (ou Monsieur le Directeur),

Près de 2.000 personnes souffrent actuellement de graves maladies neurologiques, ou sont décédées, et les victimes accusent le vaccin contre l’Hépatite B, (Éric GIACOMETTI, « La santé Publique en otage », Éd. Albin Michel). Des plaintes pour empoisonnement et administration de substances nuisibles à la santé ont été déposées, notamment à l’encontre de ceux qui ont obligé les victimes à recevoir un vaccin tant inefficace que dangereux. Elles sont actuellement centralisées chez un Juge d’Instruction à Paris. Malheureusement, une étude approfondie de cette question, montre que tous les vaccins sont concernés, et pas seulement celui contre l’Hépatite B. Vous venez de me demander, par courrier en date du... de faire vacciner mon enfant..., scolarisé à l’école... Je vous remercie de bien vouloir noter mes observations, et répondre aux 5 questions que vous trouverez à la fin de la présente :

I - OBSERVATIONS :

Alors que la quasi-totalité des pays d’Europe, a supprimé les vaccins obligatoires, la France (1er pays producteur mondial de vaccins), en a maintenu 4, malgré les protestations de milliers de scientifiques de tous bords, criant à l’ empoisonnement collectif, devant leur dangerosité, et surtout leur inefficacité.

Voilà plus de 20 ans, que des médecins, biologistes, etc. du monde entier, tentent d’alerter les pouvoirs publics pour leur donner des informations extrêmement graves concernant les vaccins :

Des épidémies de coqueluche aux U.S.A. ont atteint des centaines d’enfants vaccinés contre la coqueluche,

Des épidémies de polio dans le monde entier ont touché des milliers de personnes, pourtant correctement vaccinées,

En 1993, 100 infirmières des Hôpitaux de Paris, atteintes de tuberculose, avaient toutes reçu le B.C.G. etc.

Des scientifiques du monde entier semblent dire aujourd’hui : - Que les produits appelés « vaccins » seraient totalement inefficaces,

Qu’ils seraient dangereux, responsables de scléroses en plaques, encéphalites, méningites, maladies neurologiques.

Fabriqués avec du sérum de veau, des cellules cancérisées, et de l’hydroxyde d’aluminium à des doses30foissupérieuresau seuil maximum de toxicité, ainsi que de dérivés du mercure, ils ont pour effet général de baisser nos défenses immunitaires, et pourraient être liés à l’apparition du Sida,

Que souvent, même, ils nous transmettraient les maladies qu’ils sont censés prévenir !

Que l’on nous aurait menti depuis 50 ans au moins, pour des raisons sordides et honteuses, en nous faisant croire, notamment, que les vaccins auraient enrayé les épidémies.

Or, il semblerait que l’arrêt des épidémies n’ait rien à voir avec les campagnes de vaccination. Ainsi, 1.200 personnes ont été victimes de la Polio en France, en 1956, année où la campagne de vaccination a débuté. Et, en 1957, la France a connu plus de 4.000 cas.

Personne, d’ailleurs, n’est capable d’expliquer pourquoi les épidémies de peste et de choléra du Moyen Âge, de suette picarde (qui a sévi de 1718 à 1906), et plus récemment, de scarlatine, se sont arrêtées sans vaccin, et sans décimer toute l’humanité...

Ces informations sont extraites de nombreux articles de presse et, notamment, d’environ 40 ouvrages dont je vous remets la liste en annexe. Je précise que ces ouvrages sont en vente depuis plus de 10 ans dans les librairies et les FNAC, et aucun d’entre eux n’a fait l’objet du moindre démenti.

La lecture de simples citations extraites de ces ouvrages, conduit tout lecteur, à la conclusion incontournable, suivant laquelle les enfants sont victimes d’un empoisonnement collectif, et qu’il est plus que temps de réagir.

En outre, tous les ans, des centaines de médecins, adressent des pétitions au Ministère de la Santé, afin que cesse ce qu’ils considèrent être un véritable empoisonnement collectif n’ayant pour but que le profit, et pas du tout la SANTÉ...PUBLIQUE. Ces médecins dénoncent le fait que la quasi totalité de leurs confrères sont dans l’ignorance totale de ces informations, car l’information médicale en France passe entièrement par les laboratoires pharmaceutiques.

Ces médecins indiquent également qu’une vaccination n’est pas un acte banal, et qu’un certain nombre de précautions sont, de toutes manières, obligatoires, conformément, notamment, à l’Arrêté du 28 février 1952.

Or, jamais une seule vérification n’est proposée aux enfants, ce qui procède d’une négligence criminelle.

Bien que ces éléments soient publics, et notoires depuis au moins 10 ans, aucun scientifique n’est encore venu les contredire, les vaccinalistes se contentant de répéter, comme une litanie religieuse, que les vaccins auraient enrayé les épidémies. La France est le seul pays d’Europe à avoir maintenu 4 vaccins obligatoires. Aussi, comme par hasard, le pays qui compte le plus de cas de tuberculoses et de tétanos, mais c’est le 1er pays producteur de vaccins du monde... En outre, certains vaccins, obligatoires en France, sont interdits dans d’autres pays de la C.E.E. (Grande-Bretagne, par exemple), vu le nombre de victimes paralysées à vie qu’ils ont faites.

Nous ne pouvons donc plus nous contenter aujourd’hui de nous retrancher derrière des obligations de réserve, faute de quoi nous serions obligés de constater que le procès PAPON n’a servi à rien. Tout citoyen a, aujourd’hui, à partir du moment où il sait, le devoir de prendre une position.

Je vous remets la copie d’un document rassemblant des citations de scientifiques français et étrangers. Je précise qu’aucun d’entre eux ne semble appartenir à la moindre secte, ce qui revient à dire que ce document peut être lu sans crainte d’être hypnotisé ou décérébré...

Vous trouverez également la couverture d’un certain nombre d’ouvrages traitant de la question, montrant que le problème est sérieux.

II - CONSÉQUENCES DE CES OBSERVATIONS :

Les conséquences que l’on peut tirer de l’ensemble de ces informations sont les suivantes :

Un vaccin est une substance « préparée à partir de microbes, virus ou parasites qui, inoculés à un individu lui confère une immunité contre le germe correspondant ».

Les substances inoculées aux enfants contre leur gré et celui des parents, sont, de toute évidence, des substances qui ne confèrent pas l’immunité, puisque les scientifiques nous démontrent aujourd’hui que de nombreux enfants vaccinés, ont, néanmoins, contracté la maladie.

Ces substances, en outre, sont toxiques, puisqu’elles entraînent des effets secondaires graves, parfois mortels.

Ces substances ne sont donc pas des « vaccins », mais réellement des faux vaccins.

Ainsi, le fait d’imposer l’administration de produits toxiques inutiles à des enfants constitue le délit de mise en danger de la vie d’autrui, et peut, à long terme, constituer le crime d’empoisonnement ou administration de substances nuisibles.

III - MES QUESTIONS :

1°) Avez- vous pris connaissance des informations jointes au présent courrier ?

2°) La Loi, et notamment, l’Arrêté du 28 février 1952, impose, préalablement à tout acte vaccinal, de « prendre toutes précautions », c’est-à-dire, de procéder à un examen destiné à vérifier si le produit que l’on veut administrer à l’enfant n’est pas dangereux pour lui. Où puis-je donc, faire pratiquer (gratuitement, s’agissant de vaccins obligatoires), les analyses suivantes, ainsi que la Loi m’en fait obligation) ? :

a) Ionogramme complet, dosage de l’urée, b) Lipidogramme, c) Bilan endocrinien, d) Titrage de tous les anticorps spécifiques aux vaccinations éventuelles déjà subies, e) Test de dépistage du Sida et des différentes hépatites, f) Electrophorèse et immunophorèse des protéines sériques, de manière à avoir une image globale des capacités ou incapacités éventuelles de l’organisme à fabriquer les anticorps, g) Bilan radiologique : - Radiographie panoramique dentaire, ceci dès qu’il y a au moins une dent dévitalisée, - Radiographie pulmonaire, pour éliminer toute image de tuberculose pulmonaire.

3°) Les substances de source bovine étant interdites dans toute médication depuis 1994, dans la mesure où aujourd’hui encore le B.C.G. est fabriqué avec de la bile de boeuf, où puis-je (afin de respecter la réglementation de 1994) trouver un B.C.G. ne comportant pas de produits bovins ?

4°) L’ensemble des scientifiques précités indiquent que les produits actuellement commercialisés sous l’appellation de « vaccins » n’empêchent pas de contracter la maladie. Il est donc évident que les produits actuellement sur le marché ne sont pas des vrais vaccins. Par conséquent, afin de respecter l’obligation vaccinale qui m’est faite de par la Loi, où puis-je trouver des vrais vaccins, dont l’efficacité est garantie ?

5°) Je suis obligé de constater que la composition des vaccins comprend des produits hautement toxiques. Or, l’administration de substances nuisibles à la santé est interdite par la Loi, et constitue d’ailleurs un crime prévu par le Code Pénal. Afin de ne pas me rendre complice du crime d’administration de substances nuisibles à la santé où puis- je trouver des vaccins sans aucun risque pour la santé de mon enfant (c’est-à-dire ne contenant ni hydroxyde d’aluminium, ni dérivés du mercure, ni sérum de veau, ni cellules cancérisées) ?

J’indique, pour le cas où vous ne répondriez pas à mes questions, et où vous m’obligeriez à administrer à mon enfant des substances appelées « vaccins », je serais alors contraint de déposer une plainte pour « mise en danger de la vie d’autrui ». D’autre part, il est bien évident que, dans le cas où, par la suite, mon enfant serait victime d’effets secondaires, que je déposerai une plainte pour administration de substances nuisibles à la santé contre ceux qui auront administré ces substances, mais également à l’encontre de ceux qui se seraient rendus complices de cette infraction, en faisant par exemple, de cette intoxication une condition nécessaire à la scolarisation.

Je vous remercie vivement de l’attention que vous porterez à mes préoccupations, et vous prie de croire, etc.

ANNEXES A MON COURRIER : Liste d’ouvrages accessibles à tous en librairie ou dans les FNAC :

La mafia médicale, (Dr G. LANCTOT), Ed. Voici la clé,

La dictature médico-scientifique, (Sylvie SIMON), Ed. Filipacchi,

Vaccination erreur médicale du siècle, (Dr L. De BROUWER), Ed. Louise Courteau,

Danse avec le diable (G. SCHWAB), Ed. Courrier du livre,

Dossiers sur le gouvernement mondial, (A. MEUROIS-GIVAUDAN), Ed. Amrita,

La guerre des virus, (L. HOROWITZ), Ed. Félix,

Au coeur du vivant, (J. BOUSQUET), Ed. Saint Michel,

Le malade déchaîné, (R. BICKEL), auto édité,

Les chemins de la souveraineté individuelle, (R. BICKEL), auto édité,

Vaccinations : l’Overdose, (Sylvie SIMON), Ed. Déjà,

Tétanos, le mirage de la vaccination, (F. JOET), Ed. Alis,

Pour en Finir avec Pasteur, (Dr Eric ANCELET), Ed. Marco Pietteur,

La santé confisquée, (Mirko et Monique BELJANSKI), Ed. Compagnie,

La lumière médicale, (Dr Norbert BENSAÏD), Ed. le Seuil,

Mon enfant et les vaccins, (Dr F. BERTHOUD), Ed. Soleil,

On peut tuer ton enfant, (Dr P. CHAVANON), Ed. Médicis,

Vaccination, Social Violence ans Criminality, North Atlantic Books, Berkley 1990,

A shot in the dark, (Dr HARRIS et B Loe FISHER), Avery Publishing group, 1991,

Les Vérités indésirables,

Le cas Pasteur (Archives Internationales Claude BERNARD), Ed. La Vieille Taupe, 1989,

L’intoxication vaccinales, (F. DELARUE), Ed. Le Seuil, 1977,

La rançon des vaccinations, (Simone DELARUE), Ed. LNPLV, Ed 1988,

Live viral vaccine, biological pollution, (Pr R DELONG), Cartlon Press Corp, New Yorl, 1996,

L’intox, quelques vérités sur vos médicaments, (Dr Bruno DONATINI), Ed. MIF,

Adverse effects of Pertussis and Rubella vaccines, Washington DC National Academy Press, 1991,

Des lobbies contre la santé, (Roger LENGLET), Ed. Syros,

La médecine retrouvée, (Dr ELMIGER), Ed. Léa,

Vaccinations : prévention ou agression ?, (M. Th. QUENTIN), Ed. Vivez Soleil,

Des enfants sains même sans médecin, (Dr R. MENDELSOHN), Ed. Soleil 1987,

Immunisation, Theory versus reality, New Atlantean Press, 1996,

La poliomyélite, quel vaccin ? quel risque ?, (Dr Jean PILETTE), Ed. de l’Aronde, 1997,

LA catastrophe des vaccins obligatoires, (Pr TOSSOT), Ed. de l’Ouest, 1950,

Les dessous des vaccinations, (Dr SCOHY), Ed. Cheminements,

Tuberculose et vaccin B.C.G., (Pr GRIGORAKI),

Le tabou des vaccinations. Danger des vaccins, thérapies naturelles de prévention des maladies infectieuses, (Miller Schär MANZOLI),

Déjà vacciné ? Comment s’en sortit ?, (Dr A. BANOIS - Sylvie SIMON),

Vaccinations : le droit de choisir, (Dr F. CHOFFAT), Ed. Jouvence,

12 balles pour un veto, (Dr QUIQUANDON), Ed. Agriculture et Vie, 1978,

Les radis de la colère, (J.-P. JOSEPH, Avocat à Grenoble), Ed. Louise Courteau,

Vaccinations, les vérités indésirables, (Pr GEORGET), Ed. DANGLES, préface du Pr CORNILLOT, Doyen de la Faculté de Médecine de Bobigny,

Nous te protégerons, (Dr Jean PILETTE), Ed. Daxhelt,

La faillite du B.C.G., (Dr Marcel FERRU, Pr honoraire de clinique médicale infantile), Ed. Princeps,

La Santé Publique en otage, (Eric GIACOMETTI), Ed. Albin Michel,

Vaccin Hépatite B : Les coulisses d’un scandale, (Sylvie SIMON et Dr Marc VERCOUTERE), Ed. Marco Pietteur.

CONCLUSION

VERS UNE NOUVELLE DEFINITION DE LA « SANTE PUBLIQUE »

Les vaccins ne sont qu’un volet d’un système aussi écoeurant qu’hallucinant :

Dans son ouvrage Vaccin Hépatite B, les coulisses d’un scandale, le Dr VERCOUTERE écrit p. 45 : « ...D’ après un rapport remis en novembre 1997 par le Comité technique de pharmacovigilance à Bernard KOUCHNER, secrétaire d’État à la Santé, 18.000 décès seraient dus aux médicaments en France, soit 2 fois plus que les accidents de la route... Pour maîtriser parfaitement le marché et influencer le corps médical, les laboratoires ne manquent guère de moyens, et dépensent environ 12 % de leur chiffre d’affaires, soit 14 milliards de francs par an, en formation continue, congrès, séminaires (organisés de préférence sous les cocotiers), menus cadeaux, aide à la publication (qui peut aller jusqu’à la rédaction du contenu de l’article), et enfin publicité déguisée sous forme d’articles scientifiques dans la presse médicale, sponsorisée par les laboratoires (excepté 2 revues médicales totalement indépendantes : Prescrire et Pratiques, qui ne vivent que de leurs abonnements. Les laboratoires dépensent en moyenne un peu plus de 80.000 F. (12.200 euros) par an et par médecin pour sa formation et son information (Cf Science et Vie Juin 1998) ». « ...Dès la fac de médecine, les futurs praticiens sont « pris en charge » par l’industrie pharmaceutique. Certains laboratoires offrent aux meilleurs étudiants des préparations gratuites au concours de l’Internat, d’autres les aident à rédiger leur thèse... ».

P.46 : « ...Selon le Pr Robert WEISS, directeur de l’institut de recherche sur le cancer en Grande-Bretagne, une grande partie du corps médical est devenue à tel point l’obligée du corps pharmaceutique que l’évaluation des médicaments en devient aléatoire... ».

P.47 : « ...Ainsi la classe dirigeante fabrique-t-elle, grâce au système scolaire, une foule de personnes coulées dans le même moule à penser... ».

On ne peut être qu’écoeuré, mais du même coup, l’on comprend mieux un certain nombre de faits.

Il y a quelques mois, un directeur d’une société de téléphonie parisienne me raconta : « ...Je vais régulièrement au Brésil. J’adore ce pays. L’avant-dernière fois, j’avais été piqué par des moustiques, et sur tout mon corps, les boutons se sont infectés. C’était très douloureux, et j’avais de la fièvre. Dans un petit hôpital Brésilien, l’on m’appliqua 2 plantes sur les boutons : l’une calma la douleur en quelques minutes, et grâce à l’autre, je fus guéri en 48 heures. L’année suivante, j’eus exactement la même mésaventure, sauf que je n’eus pas le temps de me faire soigner au Brésil : la thérapeutique pouvait bien attendre la 1/2 journée de trajet en avion. Mais je fus hospitalisé à Paris pendant 3 semaines, traité aux antibiotiques, j’ai souffert pendant 3 semaines, et j’ai perdu 7 kilos... ».

Cette anecdote résume à elle toute seule une montagne d’aberrations. Il est fort probable que si l’on avait pratiqué la technique brésilienne en France, le thérapeute aurait été poursuivi pour exercice illégal de la médecine. Le Dr SCOHY, qui fut l’un des premiers à tenter d’alerter l’opinion sur les vaccins, a (évidemment) été radié de l’Ordre des Médecins. Le Dr HAMER grâce à qui des centaines de cancéreux dans toute l’Europe, peuvent affirmer avoir guéri définitivement, est l’objet de poursuites dans presque tous les pays d’Europe. Le Pr BELJANSKI, qui a soigné François MITTERRAND, et grâce à qui des dizaines de cancéreux et de sidéens avaient retrouvé la santé, a connu les pires ennuis, et notamment une perquisition effectuée par 180 gendarmes, hurlant à ce biologiste de 73 ans qui vivait seul avec sa femme, « qu’il était une secte ». La France vient d’être condamnée par la Cour Européenne des Droits de l’Homme, par Arrêt du 7 février 2002, à lui verser... 4.500 euros pour dommage moral. Entre temps, ce malheureux est mort des tracasseries qu’on lui a faites. La famille touchera royalement 4.500 euros...

Qu’importe ? On continue.

Il est clair aujourd’hui qu’il existe une volonté politique de pourchasser toutes les méthodes bon marché susceptibles de nous maintenir en bonne santé, ou de nous la faire recouvrer si nous sommes malades. Les gouvernements font semblant de vouloir résoudre les problèmes de société, mais ne veulent surtout pas que l’on trouve des solutions, puisque la plupart des dirigeants vivent de ces problèmes !

Le Général DE GAULLE a dit un jour « Des chercheurs qui cherchent on en trouve, des chercheurs qui trouvent, on en cherche... ». Aujourd’hui les chercheurs qui trouvent sont immédiatement neutralisés, sauf si ce qu’ils ont trouvé peut rapporter gros...

Je ne compte plus les gens que j’ai rencontrés qui ont guéri de maladies dites « incurables », et qui m’ont indiqué par la suite que le thérapeute qui les avait aidés, était poursuivi. Car chez nous il vaut mieux mourir légalement que rester en vie illégalement.

Je pense encore à ce jeune homme qui a guéri du sida (son dossier était incontournable) et qui se cache, tant il a été l’objet de menaces. Je ne peux que conseiller la lecture du livre du Dr Tal SCHALLER Artisans de leur miracle, qui évoque de nombreux cas de malades condamnés par la médecine, qui ont eu le courage de se guérir. Sa lecture peut redonner l’espoir à ceux qui se croient trop vite impuissants et obligés de souffrir.

En outre, lorsque nous avons évoqué l’hypothèse suivant laquelle les vaccins pourraient être « pucés » (contenir une micro-puce) ce qui pourrait être une des raisons pour lesquelles certains « scientifiques » insistent pour les maintenir, les bien-pensants ont tout de suite fait observer que « personne n’aurait jamais l’idée honteuse d’implanter une micro-puce dans le corps humain, et que nous étions des illuminés en pleine science-fiction... ». Or, le 4 avril 2002 la B.B.C. News nous fait savoir que les États-Unis ont donné l’autorisation d’implanter une puce (appelée « Big Brother » ou « Verichip ») contenant des informations médicales et personnelles dans le corps humain, à la firme A.D.S. ...

La carte Vitale collée à la peau ! On y est ! (Mais nous sommes toujours des illuminés !). Je repense à mon instituteur du C.P. qui traitait certains d’entre nous « d’imbéciles heureux. .. ».

Le système actuel a besoin pour vivre, que nous soyons tous dans une santé précaire, ce qui fait « tourner la machine ». On ne poursuivra jamais ce grand professeur d’orthopédie qui a opéré des tas d’enfants car leurs deux jambes avaient 1 ou 2 millimètres de différence... jusqu’à ce que ses confrères lui fassent observer que pendant la croissance, c’est normal... Mais on poursuivra celui qui guérit les maladies dites « incurables »...

Je propose donc que nous rebaptisions le Code de la Santé publique qui s’appellerait désormais « Le Code de la Maladie Publique ».

ÉPILOGUE POURQUOI UN AVOCAT S’INTERESSE- T-IL AUX PROBLÈMESDE SANTÉ PUBLIQUE ?

Bien qu’une de mes soeurs soit elle-même médecin généraliste, je suis perplexe, face à la médecine dite « classique » : 1°) A la suite d’une intervention chirurgicale que j’ai subie à l’âge de 16 mois, un éminent Professeur de la faculté de médecine de Lille, émit 3 postulats, me concernant : « Cet enfant ne remarchera pas avant l’âge de 3 ans ». « Il faudra déconseiller à cet enfant la pratique de la gymnastique, et du sport en général ». « Cet enfant restera malheureusement stérile ». Or,

1er postulat : « Cet enfant ne remarchera pas avant l’âge de 3 ans ».

8 jours après l’intervention, l’on me récupéra en haut d’un immense buffet que j’avais escaladé malgré mes drains.

2e postulat : « Il faudra déconseiller à cet enfant la pratique de la gymnastique, et du sport en général ».

Je fus effectivement longtemps dispensé de gym au lycée, étant classé dans la catégorie des « enfants fragiles ». Je m’inscrivis à la gym en terminale, quand elle devint facultative. Par la suite je m’inscrivis au Judo, puis, à l’âge adulte, je commençais la pratique du Karaté, et je suis aujourd’hui instructeur fédéral, totalisant près de 30 ans de pratique de karaté, et j’ai participé à des stages d’Aikido, Kenjitsu, Taijitsu, Shintaido, Taichi et Chi Gong.

3e postulat : « Cet enfant restera malheureusement stérile ».

Lors de la naissance de ma fille aînée, au fin fond de l’Écosse, où je m’étais réfugié pour épouser quasi-clandestinement la femme dont l’enfant qui allait naître « ne pouvait pas être de moi » (dixit toute ma famille) j’envoyais un télégramme à mes parents, indiquant : « Enfant née dimanche matin. Prénom Françoise. Ressemblance incroyable (même regard, mêmes grimaces) avec grand-père paternel : Robroyston Hospital ».

2°) La mère de mes filles, qui, dans sa vie, ne s’était vraiment sentie bien qu’en Grande-Bretagne, devint gravement dépressive à partir de 1974. Elle fut traitée par une quantité importante de neuroleptiques, antidépresseurs, somnifères, et alla d’hospitalisations, en retour, puis re-hospitalisation. Voyant que son état allait en s’aggravant au fil des années, je demandais aux médecins s’il n’y avait pas d’autres moyens de traiter cette maladie. Je suggérais même de l’envoyer dans une communauté. Un jour je fus convoqué. Tout le service était là. J’avais l’impression d’être devant une Cour d’Assises dans le rôle de l’accusé. J’avais osé suggérer d’envoyer mon épouse dans une « secte » ! Avec des airs inadmissibles de supériorité, l’on m’expliqua qu’il ne fallait rien changer au traitement, mais qu’il fallait que nous divorcions, ce que je fis, à la 7e année de sa maladie. Après avoir absorbé des quantités impressionnantes de médicaments pendant 17 ans, après que chaque fois que je demandais des nouvelles au service hospitalier qui la suivait, l’on me répondait de manière agacée que l’on s’en occupait activement, et que je n’avais pas à m’en mêler, on la trouva morte, chez elle, un beau matin de l’été 1991.

3°) En 1974, je montrais ma 2e fille, âgée de 4 ans, au chef de service d’orthopédie du C.H.U. de Grenoble, car je craignais une future scoliose, ayant moi-même été scoliotique. Il me fut répondu, après examen qu’il n’y avait aucun risque de scoliose. 4 ans plus tard, le même professeur diagnostiquait chez elle une scoliose de plus de 40°. J’expliquais alors que quand j’étais adolescent j’avais moi aussi, une scoliose importante, que je n’avais redressé que récemment à l’âge adulte, grâce à la pratique des arts martiaux, et lui demandais s’il ne serait pas bon que je l’inscrive au karaté ou à l’Aikido. Monsieur le Professeur m’expliqua qu’une scoliose à l’âge adulte ne se redresse pas, que les arts martiaux n’ont aucune influence sur la scoliose, et que les photos de mon buste d’adolescent tordu que je lui montrais, devant son entêtement, étaient truquées. Il n’y avait qu’une méthode : le corset, surmonté d’une minerve. Ce traitement inhumain, inefficace, et très coûteux (chaque appareil coûtait environ 5.000 F., soit 750 euros, et devait être renouvelé tous les ans, vu qu’elle grandissait), dura 7 ans. Au bout de 7 ans, la scoliose était passée à 65° ! Il fut décidé de l’opérer : 2 interventions, pose d’une broche, puis d’un greffon osseux, phénomène de rejet de la broche, pansements à refaire tous les jours pendant des semaines, rééducation en centre, etc. Aujourd’hui, elle est adulte. Elle a le milieu du dos bloqué en permanence, une large cicatrice tout le long du dos, de fréquentes douleurs, et l’impossibilité de porter des objets lourds. Mais pour Monsieur le Professeur, elle est « guérie »...

Par la suite j’ai découvert (un peu tard) l’ostéopathie, et l’acupuncture, et j’ai appris que cette scoliose aurait pu dès le départ, être traitée par une méthode infiniment moins coûteuse, mais efficace. Très certainement d’ailleurs, ceux qui l’auraient guérie, auraient été poursuivis pour exercice illégal de la médecine.

Et bien naturellement, personne ne dira jamais rien à Monsieur le Professeur qui connaissait l’issue, depuis le départ, et qui, avec des grands airs dogmatiques, continue d’affirmer que ni les arts martiaux, ni l’ostéopathie ne redressent une scoliose, et que la seule solution est le corset, la minerve, et si (par malchance bien sûr), on n’a pas de résultat, il faut opérer.

Ainsi, tout comme sa mère qui est « morte guérie », ma fille souffre à vie du dos, elle aussi « guérie »...

Finalement, j’ai été le seul à ne pas respecter les « ordres » des médecins. En outre, par chance, pour des raisons familiales et géographiques, je n’ai reçu qu’un seul vaccin dans ma vie : le fait de vivre à quelques kilomètres d’une frontière générait chez tout le monde une certaine prudence en cette matière. Inutile de décrire les commentaires affolés de certains, lorsque, en janvier 2001, je suis parti en République d’Haïti, afin de défendre ce navigateur grenoblois, accusé du meurtre de sa femme qui s’était suicidée, sans vaccins, sans traitement préventif contre le paludisme, surtout quand je fus de retour, couvert de piqûres de moustiques.

Si j’avais eu, dans les années quatre-vingt, les connaissances que j’ai aujourd’hui, je suis convaincu que la mère de mes filles serait toujours en vie, et ma fille cadette aurait redressé sa scoliose sans souffrir.

Mais voila, cela n’aurait rien coûté, ou presque.

Alors je n’en ai pas eu les moyens.

P.-S.

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Documents joints

COMMENT ON NOUS A TOUS PROGRAMMÉS ? ET POURQUOI ?

Est-ce pour entretenir l’esprit militaire du combat, de la compétition, des honneurs, de la valorisation, … et de la richesse qu’on accorde qu’aux gagnants de ces anciennes idéologies qui perdurent et perdurent et perdurent et… ? On le voit actuellement que ce qui domine le monde comme avec Bush et son Dieu-vengeur: c’est le militaire et sa technologie de pointe (bombes nucléaires, satellites, avions de guerre sophistiquées, …

FLÉAU DES GUERRES BACTÉRIOLOGIQUES DES MILITAIRES

Et puis… plus rien ! La grippe espagnole disparaît subitement. À la fin du printemps 1919, il ne reste plus que le souvenir d’un cauchemar qui a fait 50 000 morts au Canada, un million aux États-Unis et 100 millions dans le monde entier (on a parlé pendant des années de 20 à 50 millions de victimes, mais des études récentes ont confirmé ce terrible chiffre de 100 millions de morts).

Personne ne sait au juste ce qui s’est passé et ce qui a fait disparaître la maladie. Les mesures de quarantaine ont-elles aidé ? Un des remèdes essayé s’est-il révélé efficace ? La prière collective a-t-elle décidé du sort de l’humanité ? On n’a pas de réponse. Pour cette fois, le monde est sauvé…

D’autres pandémies de grippe ont eu lieu, mais elles ont été beaucoup moins meurtrières. La plus grave, la grippe asiatique, a frappé en 1957 et a causé 4 millions de morts et la grippe de Hong-Kong en 1968 a fait quant à elle 2 millions de morts.

On sait aujourd’hui que la grippe espagnole a été provoquée par une souche H1N1 particulièrement virulente et contagieuse.

En 1948, Heinrich Mueller, l'ancien chef de la Gestapo, a dit à son interrogateur de la CIA que la peste la plus dévastatrice de l'histoire humaine avait été créée par l’homme.

Il se référait à la pandémie de grippe de 1918-1919 qui infecta 20% de la population mondiale et tua entre 60 et 100 millions de gens. C’est en gros, trois fois autant que les morts et blessés de la WWI (Première Guerre Mondiale), et c’est comparable aux pertes de la WWII, néanmoins cette peste moderne a disparu au fond du trou de la mémoire. Mueller a dit que la grippe a commencé comme une arme de guerre bactériologique de l'armée US qui a infecté de façon ou autre les rangs de l'armée US au Camp Riley du Kansas en mars 1918, et s’est propagée autour du monde.

Il dit qu'elle « s’est libérée du contrôle », mais nous devons tenir compte de la possibilité horrible que « la grippe espagnole » était une mesure de dépopulation délibérée de l'élite, et qu'elle pourrait être utilisée encore. Les chercheurs ont trouvé des liens entre elle et l’actuelle « grippe aviaire ».

Il n'y avait rien « d’espagnol » dans cette grippe.

« Aux USA, environ 28% de la population en ont souffert, et 500.000 à 675.000 personnes en sont mortes. 200.000 en sont mortes en Grande-Bretagne ; plus de 400.000 en France. Des villages entiers ont péri en Alaska et en Afrique australe. En Australie 10.000 personnes environ sont mortes. Aux Îles Fidji, 14% de la population est morte en seulement deux semaines et 22% aux Samoa occidentales. 17 millions environ sont morts en Inde, soit à peu près 5% de la population de l’époque. Dans l'armée indienne, pratiquement 22% des troupes ont attrapé la maladie et en sont morts. »

« En fait, les symptômes en 1918 étaient si peu communs qu'au début la grippe a été diagnostiquée comme de la dengue, du choléra, ou de la typhoïde. Un observateur a écrit, « L’une des plus dramatiques complications était l’hémorragie des membranes muqueuses, particulièrement du nez, de l'estomac, et de l'intestin. Des saignements d’oreilles et des hémorragies pétéchiales de la peau se sont également produites.

… Une autre caractéristique peu commune de cette pandémie est qu’elle tuait la plupart du temps des jeunes adultes, avec 99% des décès chez les moins de 65 ans [2], dont plus de la moitié chez les jeunes adultes de 20 à 40 ans. C'est peu commun puisque la grippe est normalement plus mortelle chez les très jeunes (moins de deux ans) et chez les très vieux (plus de 70 ans). »

La source de Mueller

Lors d’une conférence nazie à Berlin en 1944 à propos de la guerre bactériologique, le Général Walter Schreiber, Chef du Corps Médical de l'armée allemande, a dit à Mueller qu'il avait passé deux mois aux USA en 1927 à s’entretenir avec ses homologues. Ils lui ont dit que le « soi-disant double coup viral » (c’est-à-dire la grippe espagnole) a été développé et utilisé pendant la guerre de 1914.

« Mais, » selon Mueller, « elle est devenue hors contrôle et, au lieu de tuer les allemands qui s'étaient rendus à l’époque [3], elle est revenu sur eux, et sur presque tous les autres. ». Extrait de « Gestapo Chief : The Interrogation of Heinrich Mueller » (Chef de la Gestapo : L’interrogatoire de Heinrich Mueller),Vol. 2 par Gregory Douglas, p. 106. (En fait l'armistice n'a eu lieu que le 11 août 1918.)

James Kronthal, l'interrogateur, chef de la station de la CIA de Berne, a demandé à Mueller d’expliquer le « double coup viral. » Cela me rappelle le SIDA.

Mueller : « Je ne suis pas médecin, vous comprenez, mais le « double coup » se rapportait à un virus, ou en fait à une paire de virus qui œuvraient en combattants professionnels. Le premier coup attaquait le système immunitaire et rendait la victime sensible, et ainsi condamnée au deuxième coup qui était une forme de pneumonie… [Schreiber m'a dit] qu'un scientifique britannique l'avait réellement développée… Maintenant vous voyez pourquoi de telles choses sont folie. Ces choses peuvent se modifier elles-mêmes et ce qui commence comme une chose limitée peut se changer en quelque chose de vraiment terrible. »

Le sujet de la grippe espagnole a surgi dans le contexte d'une discussion sur le typhus. Mueller a dit que les nazis avait délibérément introduit le typhus dans les camps de prisonniers de guerre russes et, avec la famine, il a tué environ trois millions d'hommes. Le typhus a été propagé à Auschwitz et dans d'autres camps de concentration avec des prisonniers de guerre russe et polonais.

Dans le contexte de la guerre froide, dit Mueller : « Si Staline envahissait l'Europe… une petite maladie ici et là aurait éliminé ses hordes en laissant tout intact. Du reste, une petite bouteille de germes est tellement meilleur marché qu'une bombe atomique, n'est-ce pas ? Pourquoi voulez-vous tenir dans votre main plus de soldats que Staline pouvait sans doute en commander. Vous n’aurez pas à les nourrir ni à les vêtir, ni à les fournir en munitions. D'autre part, la menace de guerre… fait des merveilles… pour l'économie. » (108)

La secte des « élites » n'a fait nul secret de son désir de diminuer la population mondiale. (Voir Alan Stang, Population Extermination : How Will it be Done ?l (L’extermination de la population : Comment la fera-t-on ? ).

Il est possible que la WWI ait été décevante pour l'élite en termes de nombres de tués. Que « la grippe espagnole » ait été délibérée ou non, nous ne pouvons trancher. Mais apparemment l'armée US a des antécédents d'expérimentation des drogues, des produits chimiques et des bactéries sur des soldats non avertis [4]. Est-ce qu'une telle expérience est devenue « hors contrôle » à Fort Riley ?

Non vous ne rêvez pas ! Les USA voulaient tuer les prisonniers de guerre allemands. On sait aujourd’hui qu’une grande proportion des morts militaires allemands de la WWII furent constituée par des prisonniers de guerre que les alliés ont tout bonnement laissé crever de faim et de froid dans les camps de prisonniers.

L’expérimentation des armes bactériologiques, pour ne parler que d’elles, ne se limite pas seulement aux soldats US. Les USA la pratiquent aussi sur les populations… canadiennes. Voir par exemple cet article en français de Nexus : Armes bactériologiques. Heureusement pour nous, la propagation des calamités à l’aide d’aérosols n’a pas l’air de marcher aussi bien que la vaccination ou les comprimés de « médicaments ». Cela recoupe les informations du Dr Lanka, [1] ci-dessus, selon lesquelles il faut se méfier en premier lieu des vaccinations contre la grippe aviaire.

VACCINATIONS POLLUANTES

L’Afrique est le pays le plus vacciné au Monde et c’est aussi là où il y a le plus de cas de sida étrangement! Le vaccin causerait-il le sida? Commandé par l’O.M.S., en 1978, on procéda aux essais d’un nouveau vaccin sur les homosexuels de Chicago, de New York et Saint-Louis et sur ceux de San Francisco en 1980. Ce nouveau vaccin officiellement contre l’hépatite B, causa la mort par le SIDA de plusieurs d’entre eux comme nous le savons maintenant. C’est la première hécatombe officiellement reconnue du SIDA ! p. 127 G. Lanctôt

VACCINATIONS COMME ARMES

VACCINATIONS COMME ARMES

La production de vaccins médicaments ou d’autres substances actives biologiquement dites “comestibles” (moléculture), car produites par des cultures agricoles, peut rapidement se révéler dangereuse dans le cadre d’une utilisation hostile. Depuis une dizaine d’années, les modifications génétiques des plantes agricoles cherchent, entre autres, à produire et fournir des vaccins. Plusieurs articles démontrent que les plantes transgéniques peuvent induire une réponse immunitaire chez l’Homme (Haq et al. 1995, Streatfield/Howard 2003), et des essais cliniques sur patients humains sont en cours de réalisation, testant des vaccins produits par des cultures (3). Ces vaccins peuvent être extraits de la plante en vue de traitement ultérieur ou bien directement administrés aux patients par consommation de la plante productrice. Les vaccins ne sont qu’un exemple des différentes molécules pouvant être produites par des cultures transgéniques. Plusieurs entreprises utilisent cette technologie afin de produire des enzymes industrielles

, des hormones de croissance ou encore, des produits pharmaceutiques, ce qui pose un problème sérieux pour la santé humaine et l’environnement, surtout lorsque ces molécules pharmaceutiques sont produites par des plantes comestibles (4). En ce sens, la récente mission parlementaire française sur les enjeux des essais et de l’utilisation des OGM a proposé dans son rapport d’“adapter les conditions de ségrégation d’une culture OGM à finalité médicamenteuse en fonction du danger potentiel que représenterait une ingestion accidentelle. En particulier, utiliser des plantes qui n’ont pas de finalité alimentaire, sauf nécessité absolue dûment justifiée [...] et protéger matériellement les parcelles de plantes transgéniques à finalité médicale contre les intrusions humaines et animales ; requérir l’avis du ministère de la santé” (5).

Dans le cas de conflits prolongés, il pourrait être tentant d’utiliser de telles cultures pour répandre des molécules nocives, induisant par exemple des cancers ou des diminutions de fonctions vitales comme la fertilité chez les Hommes ou les animaux, ou encore en introduisant la fragilité d’une culture qui pourrait conduire à sa destruction complète. De tels “outils guerriers” pourraient aisément être introduits dans les stocks de semences, grenier alimentaire d’un pays. Une telle action peut être simplement effectuée sous couvert de distribution d’aide alimentaire.

Des molécules comme celles agissant sur la composition sanguine pourraient représenter une arme efficace et la production de ces molécules ne serait pas techniquement difficile. Ainsi, l’entreprise américaine Epicyte a développé un maïs contraceptif en modifiant génétiquement le maïs afin qu’il produise un anticorps contre le sperme humain. Elle souhaite dorénavant pouvoir le produire en grande quantité afin de vendre ces anticorps sous la forme d’un gel contraceptif. Pourtant, il n’existe encore aucune preuve de l’intérêt économique des “plantes-médicaments” par rapport à la production des mêmes molécules par des cellules GM cultivées en fermenteur. De plus, cette technologie ainsi que les produits qui en résultent sont très difficiles à contrôler. Le scandale du maïs Starlink (cf. Inf’OGM n°18) ou plus récemment du maïs Bt10 aux Etats-Unis sont là pour nous le rappeler (cf. Inf’OGM n°62).

Quand le contrôle biologique légitime les armes biologiques

Fin des années 90, deux champignons GM étaient prêts dans les laboratoires, Pleospora papaveracea et Fusarium oxysporum. Le premier fut testé en 2001 en Ouzbékistan, avec financements et appuis scientifiques américains, pour ses capacités à détruire des champs d’opium. Le deuxième devait être testé en Colombie en 2000 pour sa capacité à détruire les cultures de coca, mais un mouvement international de protestation a fait suspendre temporairement le projet. Afin de prévenir les critiques évidentes qui, sur la base de la BTWC, pourraient dénoncer l’utilisation de ces organismes destructeurs de cultures, les promoteurs de ces organismes expliquent que l’objectif n’est pas la guerre mais un contrôle biologique des mauvaises herbes ou insectes dans le cadre d’une agriculture durable. Cet argument est dénoncé par des scientifiques spécialisés dans le contrôle biologique qui déclarent : “nous rejetons tout lien entre un contrôle biologique légitime et l’utilisation d’agents biologiques dans l’élimination des parasites. Nous souhaitons également souligner que le contrôle biologique est inoffensif pour l’environnement et n’est jamais utilisé sans l’accord des agriculteurs...”. Ainsi, le contrôle biologique régule les populations de parasites mais n’éradique pas les cultures cultivées comme le font les deux champignons modifiés génétiquement.

Cette convention interdit donc le développement, la production, le stockage, l’acquisition et la rétention d’armes biologiques ou toxiques “quels que soient la méthode de production, le type et la quantité concernés qui ne soient pas à usage prophylactique, défensif ou autres usages pacifiques”. Cette interdiction s’étend également aux “armes, équipements ou modes de dissémination destinés à l’utilisation de ces armes biologiques ou toxiques à des fins hostiles ou dans le cadre de conflits armés”. La convention définit les armes biologiques par des critères généraux. Ces critères n’interdisent pas des organismes vivants spécifiques ou leurs produits dérivés. Ils n’interdisent que leur développement à des fins hostiles puisque tout organisme vivant peut être utilisé à des fins pacifiques. Mais les connaissances et l’équipement nécessaires pour en faire des armes sont les mêmes que dans le cadre de recherches civiles. Pour exemple, la toxine du Botulinium (“Bot Tox”) est une arme biologique du fait de ses effets sur les muscles mais également un produit de cosmétique réputé pour agir sur les rides du visage.

Dans une autre étude mentionnée dans le même rapport annuel, une toxine produite par C. perfringens a été insérée génétiquement dans une autre souche et a été produite avec une concentration de 40 à 80 fois supérieure à celle de la souche sauvage. Dans le même laboratoire, des études sur (et des transferts de gènes avec) des gènes de la toxine botulique ont également été réalisées par un chercheur invité venu du centre des forces armées US pour la biodéfense médicale, l’USAMRIID

L’objectif général de ces recherches sur les venins reste peu clair. La plupart des toxines étudiées sont des neurotoxines, et de nombreuses études neurologiques ont été réalisées, incluant l’analyse des effets neurotoxiques de venins bruts, des recherches fondamentales sur les mécanismes de la toxicité,

sur les effets d’une toxine de poisson sur l’activité du cerveau (11), et sur les effets comportementaux de mycotoxines (12). Une vaste gamme de toxines de serpents a été étudiée au CRSSA, dont la dendrotoxine, la paradoxine, la crotoxine, et l’ammodytoxine (13). Il est notable qu’un élément constant des travaux français de biodéfense a été et reste les recherches sur la grippe. La grippe est le seul virus sur lequel travaille le CEB. Des recherches sur les infections de la grippe par voie aérienne ont été publiées dès 1974 par des chercheurs du service de santé de l’armée française (14). Plus récemment, le CEB et l’hôpital militaire HIA Bégin, en collaboration avec des chercheurs universitaires, étaient impliqués dans plusieurs projets se concentrant sur le développement de traitements possibles contre les infections de la grippe propagées par voie aérienne (15). Un des volets de ce travail est la surinfection par d’autres pathogènes d’animaux infectés par la grippe (16). Selon une publication récente, une “souris modèle d’infection par le virus létal de la grippe A” a été créée pour ces expériences. Ce type de recherches n’est pas exceptionnel, et les personnels militaires sont autant sujets aux infections par la grippe que le public en général.Unprogramme militaire de recherches sur le traitement de la grippe ou sur sa prophylaxie peut aisément être justifié. Il faut noter, cependant, que le CEB est un complexe dédié à la biodéfense et que l’hôpital militaire Bégin est l’une des trois principales institutions militaires de recherches en biodéfense Il est donc prudent de présumer que ces recherches sur la grippe se consacrent spécialement à la défense biologique. Bien que le virus de la grippe puisse réellement être une arme biologique efficace - en particulier si l’on considère des souches modifiées génétiquement portant des gènes de la souche mortelle de 1918 (17) - il n’est pas, d’un point de vue militaire, le principal agent viral d’armes biologiques. La plupart des experts considèrent d’autres virus tels qu’Ebola, Lassa ou la variole comme des menaces biologiques majeures (18). La question reste ouverte de savoir pourquoi la communauté militaire française de biodéfense a maintenu une attention spéciale sur la grippe, au moins de 1974 jusqu’à aujourd’hui.

Attention

Les récentes discussions au sein de l’Assemblée Mondiale de la Santé sur le virus de la variole sont une excellente description de ce que peut être la réalité de la situation sur les OVM. Suite à un rapport du Comité d’Experts Ad-Hoc sur la variole, cette assemblée constitutive de l’OMS doit s’exprimer sur le bien fondé de la demande des Etats-Unis et de la Russie à ne pas éradiquer les dernières souches du virus de la variole, en raison de travaux en cours dans ces deux pays pour le modifier génétiquement (19).

De nombreuses nouvelles armes, dont certaines encore inimaginables aujourd’hui, vont suivre. Les compréhensions croissantes des interactions entre le vivant et ses maladies vont permettre le développement, par le génie génétique, d’armes ciblant les cultures agricoles ou les élevages. Le décryptage du génome humain, les gènes et organismes synthétiques, les nouvelles approches de thérapie génique et de délivrance des médicaments, et enfin les expérimentations du génie génétique sur des micro-organismes potentiellement pathogènes vont accroître les disponibilités d’agents biologiques aux fins hostiles. L’Humanité saura-t-elle s’autocontrôler avant de lâcher ces germes mortifères

Les armes biologiques comprennent les armes bactériologiques et les armes virologiques.

Application des anticorps catalytiques à la dégradation d'organophosphorés toxiques = Antibody catalysed hydrolysis of organophosphorus poisons

ARMES MILITAIRES BACTÉRIOLOGIQUES POUR TUER OU RENDRE INVALIDE

Sur l'exemple du VX, le toxique militaire le plus puissant, nous avons évalué le potentiel des anticorps catalytiques pour la dégradation in vitro des organophosphorés toxiques. Lors d'une première approche, 13 anticorps monoclonaux ont été sélectionnés vis à vis de leur reconnaissance d'un haptène de structure α-hydroxyphosphinate (PYPh7). Parmi ceux-ci, nous avons montré qu'un anticorps (PAR15) possède une activité catalytique pour l'hydrolyse du PhX, l'analogue aromatique du VX (K[cat]/(K[m] × k[ncat]) = 14400 M[−1]). Le mécanisme d'hydrolyse du PhX, à pH 7.4, résulte principalement de l'assistance de la chaîne azotée, via une catalyse basique intramoléculaire. Aussi, dans un deuxième temps, nous avons synthétisé un haptène plus élaboré, de structure α,α-difluorophosphinate (DFP), destiné notamment à mimer le repliement de la chaîne latérale azotée sur le phosphore. DFP a pu être synthétisé en 9 étapes, avec un rendement global de 17%, à partir du 5-hydroxy-2-nitrobenzaldéhyde, via une étape clef de fluoration électrophile. Cinq anticorps monoclonaux ont été sélectionnés vis à vis de leur reconnaissance de l'haptène DFP : l'évaluation de leurs propriétés catalytiques est en cours. Enfin, nous avons envisagé l'utilisation d'haptènes en équilibre entre deux formes P(IV) via un intermédiaire P(V). Cette stratégie de sélection d'abzymes est particulièrement innovante et pourrait permettre d'accéder à des intermédiaires réactionnels impossible d'accès sinon. Plusieurs haptènes ont été synthétisés (JEQ1, JEQ2, PEQ) et nous avons démontré qu'ils étaient en équilibre entre les deux formes P(IV). Les difficultés liées à la stabilité réduite de ces haptènes en milieu physiologique et à la détection de l'activité catalytique n'ont pas permis de mettre en évidence d'activité catalytique pour les anticorps monoclonaux sélectionnés vis à vis de leur affinité pour JEQ2.

Armes biologiques : potentialités décuplées par la transgénèse

Les armes biologiques sont une classe à part d’armes puisqu’elles sont une menace directe à la biodiversité et que leur développement est lié au contrôle qui sera effectué sur la biotechnologie moderne. Ces armes biologiques incluent des organismes vivants capables de se reproduire et de sévir au-delà des cibles prévues initialement. La biosécurité et la biodéfense dépendent toutes deux des nouvelles techniques de génie génétique et de la dissémination d’organismes vivants aux caractéristiques nocives. Le 10 avril 1972, la Convention sur les Armes Biologiques et Toxiques (BTWC - Biological and Toxin Weapons Convention) était ouverte à ratification. Cette convention rend illégaux le développement et la production d’armes biologiques. Elle a contribué au désarmement biologique et a empêché la mise en place d’une course à l’armement biologique. Mais la décennie écoulée a vu se dérouler des changements rapides dans les domaines des sciences biologiques qui ont considérablement facilité le développement de telles armes. Du point de vue législatif, certains articles du Protocole de Carthagène (contrôle du mouvement transfrontalier des OGM) et de la BTWC offrent des possibilités de synergie d’actions. Ces deux conventions partagent des éléments communs dans leurs objectifs, leurs sujets, la précaution mise en avant, les transferts de technologie, la volonté d’agir pour le développement du bien-être humain et leur souci de contrôler les mouvements des agents biologiques. Dans cet article, des pistes sont avancées sur les usages possibles de ces deux conventions.

Les propriétés des agents biologiques qui les rendent utilisables en tant qu’armes sont : capacité infectieuse, virulence, toxicité, pathogénicité, période d’incubation, transmissibilité, létalité et stabilité. Les caractéristiques qui les différencient des agents chimiques sont leur capacité à se reproduire, se multiplier dans le temps et donc, augmenter leurs effets nocifs. Historiquement, la plus grande utilisation d’armes biologiques date de la seconde guerre mondiale. L’armée japonaise basée en Mandchourie (Nord-est de la Chine) expérimenta des armes biologiques sur des prisonniers et des villages chinois, en utilisant des bombes ou divers appareils recouverts, entre autres, de bactéries responsables de la peste. Depuis cette époque, d’autres cas d’utilisation ont été reportés. Le génie génétique, qui débuta dans les années 70, a ouvert de nouvelles voies de création d’armes biologiques. La biotechnologie actuelle est même utilisée comme menace lors de conflits commerciaux ou politiques entre Etats.

Révolution biotechnologique et armes biologiques

Au cours des années 80, les implica tions militaires du génie génétique se sont précisées. Ainsi, en 1989, dans un article de la Revue de la Marine Américaine (Naval War College Review), un stratège américain déclarait : “Les perspectives des armes biologiques sont très intéressantes. Les armuriers commencent à peine à explorer ce domaine. Tout porte à croire que la plupart des découvertes sont à venir plutôt que passées” (1). Les micro-organismes par exemple, peuvent être rendus résistants à des antibiotiques, des vaccins, être plus mortels, plus faciles à manipuler, difficile à détecter et plus stables dans un environnement extérieur. Les exemples de l’encadré (p.4) montrent que ces objectifs ne sont plus du domaine de la science-fiction mais bien de la réalité.

Le développement d’armes biologiques efficaces et fiables nécessite un programme de recherche lourd qui doit répondre, étape par étape, à trois problèmes majeurs : comment se procurer des souches virulentes d’un agent biologique, comment en produire de grandes quantités sans perdre l’efficacité d’action et comment développer des méthodes de dissémination efficaces. Ce dernier problème est assez ardu et a rarement trouvé de réponses probantes

Mais la faible propension des agents pathogènes à devenir des armes de guerre ne doit pas être sous estimée. Au sens militaire, un organisme doit répondre à un “cahier des charges” particulier. Il doit pouvoir être produit en grandes quantités, agir rapidement, et persister dans l’environnement. Les maladies doivent disposer d’un traitement afin de protéger les troupes militaires offensives. Le Bacille d’Anthrax, par exemple, répond à l’ensemble de ces exigences militaires et les victimes peuvent être guéries, même après plusieurs jours, par un traitement aux antibiotiques. Ainsi, seule une minorité de personnes mourront d’une attaque à l’anthrax dans des circonstances où la réponse médicale est disponible, comme ce fut le cas lors des attaques terroristes en 2001 aux Etats-Unis. Dans ces conditions, une simple manipulation génétique visant la résistance aux antibiotiques de l’agent pathogène pourrait le rendre bien plus létal en affectant l’efficacité et les délais des traitements. Les possibilités techniques de telles manipulations sont multiples et des méthodes ont été mises au point avec succès. De nombreux exemples pourraient démontrer cela mais un est particulièrement parlant : le transfert de gènes de “bronzage”. De nombreux micro-organismes sont rapidement éliminés par une exposition au soleil et sont donc limités en tant qu’armes biologiques. Ces micro-organismes sont donc utilisés de préférence la nuit pour atteindre une grande efficacité d’action, puisqu’ils ne sont pas exposés aux rayons ultraviolets de la lumière du soleil. Mais des “gènes de bronzage” ont pu être transférés dans leur génome, procurant à ces organismes une protection contre ces rayons ultraviolet. Ces gènes peuvent être, par exemple, impliqués dans la synthèse de caroténoïdes (Sandmann et al. 1998).

D’autres organismes ont été modifiés afin de pouvoir s’attaquer directement à certains matériaux (plastique, caoutchouc, métaux...) et donc avoir “clairement le potentiel d’armes de guerre ou d’agression si utilisés contre du matériel crucial pour le déroulement de la vie civile”, selon le gouvernement britannique (2). Ainsi, un microbe génétiquement modifié pour être capable de détruire le manteau en plastique recouvrant les avions militaires en moins de 3 jours, a été mis au point par les laboratoires de recherche de la marine américaine.

Les plantes transgéniques : nouvelles armes biologiques

Les Etats-Unis ont accentué leurs efforts depuis une dizaine d’années afin de produire des organismes vivants modifiés (OVM) capables de s’attaquer directement aux cultures produisant de la drogue (cf. encadré).

Ils ont aussi développé la technologie Terminator (cf. Inf’OGM n°48, décembre 2003) qui rend les semences de plantes stériles afin de protéger les intérêts des semenciers et qui pourrait être utilisée dans le cadre de la guerre économique. Si les cultures de plantes Terminator se répandent dans le monde entier, il serait alors aisé pour une entreprise transnationale d’arrêter les ventes de semences à un pays ou une région pour des raisons économiques ou politiques. En effet, après plusieurs années de culture de ces plantes stériles, seules de petites quantités de semences seraient disponibles, paralysant l’agriculture et exposant le pays à une crise économique et / ou une famine.

Des virus modifiés pour tuer

Dans les années 90, des chercheurs russes ont modifié génétiquement des propriétés de la bactérie Anthrax. Ces modifications avaient pour conséquences de rendre obsolètes les vaccins existants et les méthodes de détection de la bactérie (1). Ils ont également développé un nouveau vaccin contre cette bactérie modifiée. Faisant suite à ces travaux, des chercheurs américains du Ministère de la Défense ont également modifié génétiquement cette bactérie (2). Ces expériences auraient pour objectifs de comparer la souche modifiée américaine à la souche modifiée russe. En 1986, des chercheurs américains ont introduit dans la bactérie Escherichia coli (inoffensive et présente dans l’estomac humain), un gène codant pour une toxine de la bactérie Anthrax. Escherichia coli modifiée synthétisait cette toxine et avait donc acquis des propriétés meurtrières (3).

La peste a également été étudiée. Selon des scientifiques russes, la bactérie responsable des épidémies de peste a été modifiée afin de résister à 16 antibiotiques différents (4).

Des chercheurs allemands ont modifié génétiquement le virus Ebola et ont découvert que ce virus devenait encore plus mortel lorsqu’une partie d’un de ses gènes était supprimée. Les chercheurs venaient de supprimer la fonction virale diminuant la toxicité de ce virus (5).

Enfin, des scientifiques japonais ont réalisé une combinaison de gène du virus du SIDA humain avec des gènes du même virus attaquant les singes et un gène humain codant une protéine impliquée dans le système immunitaire. Les résultats obtenus ont montré que le gène humain stimule la multiplication d’un tel virus, et, selon les chercheurs, “a un effet sur la multiplication virale et la toxicité chez l’Homme” (6).

Contrôle démographique par les vaccins (V.I.H. et autres). La vaccination est utilisée comme arme bactériologique depuis longtemps…que ce soit pour décimer des populations précises. L’Afrique est le pays le plus vacciné au Monde et c’est aussi là où il y a le plus de cas de sida étrangement! Le vaccin causerait-il le sida ? Les vaccinations font le lit des leucémies infantiles et celui du sida ! - - - > > > Commandé par l’O.M.S., en 1978, on procéda aux essais d’un nouveau vaccin sur les homosexuels de Chicago, de New York et Saint-Louis et sur ceux de San Francisco en 1980. Ce nouveau vaccin officiellement contre l’hépatite B, causa la mort par le SIDA de plusieurs d’entre eux comme nous le savons maintenant. C’est la première hécatombe officiellement reconnue du SIDA ! <>

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Les anatomistes, les physiologistes et les biologistes nous présente l’humain comme un fruitarien.

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« Pour vivre 14 ans de plus…. Mangez des fruits et des légumes pour vivre plus vieux. De saines habitudes de vie….» affirme une étude effectuée sur 20 000 résidants du Royaume-Uni, LONDRES. 10-1-8 Journal De Québec.

DES ÉTATS HUMANISTES pour une vie saine et une alimentation pacifique.

Donnez les fruits aux gens qui sont pauvres au lieu d'en faire du vin

Quiconque a entendu les cris d’un animal qu’on tue : ne peut plus jamais manger de sa chair. " Confucius.

Oh, ..please'', ne transformez plus de bons fruits
en poisons (cidres, vin, alcool...)

C'est 3 repas gastronomiques de RAISINS qui disparaissent dans une bouteille de vin pour les pays riches déconnectés des véritables besoins des humains. Il faut nourrir les nôtres au lieu de penser à les saouler et les droguer ...

C'est criminel de produire de l'alcool avec de BONS ALIMENTS. Et de plus c'est coûteux en vies humainse et maux sociaux.

Un jour des gens diront: ''Autrefois, le monde utilisait des pommes et des raisins pour faire de l'alcool et du vin pendant que 1 milliards d'humains ne mangeaient pas à sa faim



2 commentaires:

AIB FUNDING. a dit…
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AIB FUNDING. a dit…

COMMENT J'AI GUÉRIS DU VIRUS DE L'HERPÈS.

Bonjour à tous, je suis ici pour donner mon témoignage sur un herboriste appelé Dr Imoloa. j'ai été infecté par le virus de l'herpès simplex 2 en 2013, je suis allé dans de nombreux hôpitaux pour y guérir, mais il n'y avait pas de solution, alors je réfléchissais à la façon de trouver une solution pour que mon corps se porte bien. un jour, j'étais au bord de la piscine, je cherchais et je pensais où trouver une solution. Je passe par de nombreux sites Web où j'ai vu tant de témoignages sur le Dr Imoloa sur la façon dont il les a guéris. je n'y ai pas cru mais j'ai décidé de lui donner un essai, je l'ai contacté et il m'a préparé l'herpès que j'ai reçu par le service de messagerie DHL. je l'ai pris pendant deux semaines après, puis il m'a demandé d'aller vérifier, après le test, on m'a confirmé l'herpès négatif. suis tellement libre et heureux. donc, si vous avez un problème ou si vous êtes infecté par une maladie, veuillez le contacter par e-mail drimolaherbalmademedicine@gmail.com. ou / whatssapp - + 2347081986098.
Ce témoignage exprime ma gratitude. il a aussi
remède à base de plantes pour, FIÈVRE, DOULEUR CORPORELLE, DIARRHÉE, ULCÈRE DE LA BOUCHE, FATIGUE DU CANCER DE LA BOUCHE, ACHES MUSCULAIRES, LUPUS, CANCER DE LA PEAU, CANCER DU PÉNILE, CANCER DU SEIN, CANCER PANCRÉATIQUE, CANCER CHINIQUE, CANCER VAGIN, CERVICALE MALADIE POLIO, MALADIE DE PARKINSON, MALADIE D'ALZHEIMER, MALADIE BULIMIAQUE, MALADIE COMMUNE INFLAMMATOIRE FIBROSE KYSTIQUE, SCHIZOPHRÉNIE, ULCÈRE CORNÉENNE, ÉPILEPSIE, SPECTRE D'ALCOOL FETAL, LICHEN PLANUS, CANTIDE, BARDEAUX, BARDEAUX, BARDEAUX / SIDA, MALADIE RESPIRATOIRE CHRONIQUE, MALADIE CARDIOVASCULAIRE, NÉOPLASMES, TROUBLE MENTAL ET COMPORTEMENTAL, CHLAMYDIA, ZIKA VIRUS, EMPHYSEMA, TUBERCULOSIS LOW SPERM COUNT, ENZYMA, DRY COUGH, ARTHRITE, LUCHE, LUCHE ÉRECTION, ÉLARGISSEMENT DU PÉNIS. ETC.