Abécédaire de
(LES BOURGEOIS) La Couronne d'Angleterre alliée aux papes et aux pdg des multinationales mettent les Chefs de tous les États en place.
« Les militaires violent pour créer la peur, et ainsi ils peuvent contrôler…
Dit le général Roméo Dallaire au canal 44 ce 9 av 2008.
« La richesse économique ne consiste dans l’abondance des biens produits que si elle fournit une base de qualité de vie à tous ses membres (sans exception), disent les Papes Pie X1 et Pie X11.
Mahomet a marié des fillettes de 9 ans et le CORAN le permet encore.
La Religion Catholique est inondée des scandales de prêtres pédophiles.
Les bandits hypocrites, ils se regardent vicieusement et fiers de conspirer contre l'Humanité bonne et confiante. Ils savent utiliser les bons sentiment et jouer aux humanistes pour endormir les masses. . . Pour les mafias de la Reine, la gentillesse et la charité sont des outils de manipulations..... Sous le couvert de la religion et des bonnes intentions se dissimulent souvent le cruel visage de l'intérêt....
Violer, ''pédophiler'' ou faire tuer des enfants
Les femmes, cibles de la « sale guerre »
En Algérie, le viol a toujours été une arme de guerre utilisée de manière délibérée à des fins militaires, dans le cadre d'une politique de terreur et de propagande. Même si les témoignages, les études et les rapports des organisations internationales sur ce phénomène restent très limités – ils se limitent en général aux exactions des groupes armés, qui ne font pas de doute –, il reste que les chefs de l'ANP endossent une grande partie de la responsabilité dans la perpétuation de ces horreurs.
Le visage de la femme violée par l'ennemi, ou dont les proches ont été des victimes, est une image forte des temps de guerre – comme l'a par exemple montré l'impact international de celle de la « madone » après le massacre de Bentalha en 1997. Mais dans le cas des femmes violées par des militaires, cette image n'existe pas, ou alors elle est exploitée en leur défaveur : elle sert de propagande et marque les esprits. Dans la guerre des années 1990, il m'est souvent arrivé de découvrir des femmes violées par des hommes d'autres unités. Mais, à la différence de ce qu'on a raconté sur les viols dans les autres guerres (comme en ex-Yougoslavie), nous les trouvions presque toujours mortes, gisant dans leur sang. La loi du silence fait partie de celles de la sale guerre, et définit ainsi les règles de conduite des soudards criminels. Le viol n'est ni un acte isolé, ni un accident de parcours ; il s'en tient à une règle implicite, confirmée par la doctrine soldatesque, selon laquelle le soldat a des besoins que les femmes de l'ennemi sont là pour combler.
Ainsi dès le début du conflit, les femmes algériennes ont été victimes de la répression menée par les différents corps de « sécurité ». Elles ont même été une cible de choix, que les chefs du DRS, de l'ANP, de
Je me souviens ainsi qu'en 1993, une instruction du général Mohamed Lamari ordonnait aux unités du CCLAS (« Centre de commandement de la lutte antisubversive ») de l'Algérois de ne « pas négliger dans les barrages les fouilles des femmes, qui peuvent être des agents de liaisons des groupes armés ». Comment fouiller une femme, alors qu'on n'avait pas les moyens de le faire ? Si elles ont dans un premier temps été relativement épargnées au cours des fouilles, des perquisitions et des ratissages, les soupçons vis-à-vis d'hommes pouvant se déguiser en femme ont amené, dans certaines localités difficiles, à des contrôles poussés et inacceptables pour un musulman : pour permettre une fouille minutieuse et immédiate des femmes, il aurait fallu recruter du personnel féminin, ce qui n'est pas le cas dans notre armée.
Par la note sommaire et sans moyens de Lamari, l'inclusion des femmes dans les forces ennemies impliquait bel et bien le commencement des violences contre elles. Dès le début de la guerre, l'ambiguïté de cette note définissant les femmes comme suspectes autorisait en pratique l'ensemble des unités opérationnelles chargées de la répression de la « rébellion » à arrêter, fouiller et utiliser la violence contre les femmes. Comment faire devant ce dilemme, qui pouvait aller d'une simple palpation jusqu'à l'obligation de soulever leur hidjab, leur jupe ou enlever leur pantalon ?
Une humiliation pure et simple, autant pour les hommes que pour les femmes. Et j'ai vu certains militaires fuir cette corvée imposée par le commandement, lorsque des officiers supérieurs expliquaient à des sous-officiers zélés de s'assurer de la pilosité de femmes arrêtées. Parce que les femmes dont le mari était au maquis étaient suspectées de continuer à le voir à la maison ou dans les maquis : le pubis rasé était considéré comme une preuve de relations sexuelles récentes. Des poils rasés devenaient pour les services de renseignements un crime ou une source de renseignement à exploiter.
Avec la progression des opérations militaires dans les zones rurales les plus exposées, les Algériennes sont devenues une cible importante des forces militaires et paramilitaires, de plus en plus souvent contrôlées, insultées, arrêtées, interrogées, torturées, violées et exécutées. Je me souviens par exemple du cas d'une jeune fille habitante de Meftah, dans la wilaya de Blida, enlevée par un groupe de parachutistes du 4 e RPC en février 1994, puis violée et assassinée. Ou de celui d'une jeune fille dont le frère était l'émir Bouchnak, activant dans la région de Lakhdaria : elle a été enlevée, séquestrée, violée et assassinée pour venger la mort de vingt et un policiers tués dans une embuscade tendue par son frère en février 1994 sur
Quand j'étais incarcéré à la prison militaire de Blida, de 1995 à 1999, j'ai également appris, par des codétenus, les exactions de jeunes officiers que je connaissais personnellement. Ainsi, fin 1998, lors d'une opération militaire dans le village de Ouled-Allal dans la région de Sidi-Moussa, un lieutenant nommé M.G., commandant d'une compagnie de fusiliers de l'Air, avait violé la sœur d'un émir de la région. La même année, un cas similaire était signalé lors d'un barrage de contrôle dans la région de Sidi-Ghiles, dépendant de la ville de Cherchell, où le lieutenant F.Y. déposa dans le sac d'une jeune fille les balles d'un AK 47 pour la faire chanter et la violer ensuite. Ces deux viols perpétrés à l'occasion d'opérations militaires illustrent le type d'exactions « opportunistes » couvertes par la hiérarchie militaire, reproduites par milliers au cours de la sale guerre.
Mais il y a eu aussi les viols prémédités, souvent accomplis de nuit par un petit nombre de militaires et restés inconnus ou attribués à l'ennemi. Sous l'influence du DRS, certains commandants d'unités opérationnelles ont ainsi pu ordonner à leurs hommes de se rendre dans des endroits considérés comme contrôlés par les « terroristes », où le viol venait implicitement s'ajouter aux manières de l'« art de la guerre », dès lors que ces actions clandestines étaient conduites de façon à la faire attribuer aux « terroristes » eux-mêmes. Je me souviens, par exemple, du cas d'une famille habitant les hauteurs d'Alger : en juin 1994, une jeune fille a été violée sous les yeux de sa famille par trois militaires en tenue noire et cagoulés – comme si les terroristes avaient besoin d'une cagoule pour violer –, qui faisaient partie de la section spéciale du 90 e BPM (parmi eux figurait un certain lieutenant G.A., qui me l'a raconté).
Bien d'autres femmes, arrêtées sur ordre, ont subi des violences lors de leur arrestation et dans les brigades de la gendarmerie, les centres de détention du DRS ou de la police. Pour ces services, violer un homme ou une femme est une méthode ordinaire de torture, visant bien plus à briser les individus qu'à obtenir des renseignements. Brûlures sur les seins, électrodes placées sur le sexe, pénétration violente au moyen d'un morceau de bois : la partie intime devient pour les bourreaux le lieu privilégié de supplice, le lieu de la douleur, qui détruit et marque à jamais les victimes et leurs proches.
Un État violeur
Réduire les femmes de « terroristes » en esclaves sexuelles, tel était aussi le but des forces engagées dans la lutte et en particulier le DRS et
Peu nombreuses ont été celles qui avaient choisi d'y aller pour porter les armes et se battre. La majorité de celles qui étaient présentes au sein des maquis assumait d'autres tâches, comme les soins, préparer la nourriture, s'occuper des enfants nés dans les maquis… Mais à mesure que la guerre contre le terrorisme s'intensifiait, la répression contre ces femmes s'est durcie. Jusqu'à l'atroce extermination aux gaz de combats en mai 2006, dans la grotte de Seddat, près de Jijel, un « massacre des innocents » où vingt-huit enfants et six femmes ont trouvé la mort.
Quoi que puissent dire certains consommateurs de la propagande militaire, et les écrivains et journalistes qui n'ont jamais évoqué ces crimes, à cette tentative de dissimuler la moindre pulsion irrépressible des militaires – comme s'ils étaient des hommes hors du commun –, répond, chez nombre de militaires, cette sensation d'impunité qui radicalise encore plus leur comportement impulsif et les dégrade en animal face à leurs victimes. Que l'État violeur devienne ainsi le protecteur de tous les violeurs me terrifie. Mais que la classe politique « éclairée », les intellectuels « civilisés » et la presse « libre » couvrent ces crimes, cela me donne encore plus froid dans le dos.
Comment ne pas se révolter devant ces actes inqualifiables, où la plupart des viols accomplis ont été autorisés et tolérés, voire encouragés, pendant des opérations ? C'est l'idéal patriotique qui avait porté tant de jeunes militaires algériens, dont j'étais, fiers d'une ANP héritière de cette ALN qui a permis la libération de notre pays, qui a été définitivement détruit. Aujourd'hui, il suffit que ses chefs évoquent devant un soldat la perspective d'un simple ratissage, et de suite il est tenaillé par une pulsion irrépressible, tel un animal, parce qu'il sait que des femmes pourront être violées. Souvent, les viols sont commis dans les maisons fouillées et de manière collective, sous la menace des armes.
Si la vengeance, la haine ou le désir motivent les simples soldats à pratiquer le viol, pour le commandement qui autorise ou ferme les yeux sur ces pratiques barbares, l'objectif est de briser la morale, l'entourage et tout le cercle auquel appartient le « terroriste ». La violence engendre la violence et le viol est, comme la torture, une arme de guerre qui touche aussi bien la chair et l'honneur et contribue ainsi à nourrir une violence qui fait le jeu du pouvoir, car elle « légitime » son arbitraire : pour l'homme blessé qui n'a pas pu protéger sa femme martyre, le maquis devient la solution pour une lutte à mort – et il reste aveugle au fait que ces maquis, hier avec le GIA, aujourd'hui avec le GSPC, sont en réalité des créatures des services, des monstruosités « made in DRS ».
Les atroces actions militaires menées à Seddat en mai 2006 ont révélé à l'opinion publique une autre réalité de la sale guerre qui se poursuit depuis 1992 : dans l'Algérie des généraux et de leurs « émirs » sanguinaires, les femmes sont plus que jamais considérées comme un « butin de guerre » et chacun y trouve son compte. La fin justifie les moyens et le pouvoir a choisi l'amnésie pour solder ses comptes avec les femmes algériennes. Pour le pouvoir, selon sa presse officielle, « de 1997 à ce jour, plus de 2 000 femmes ont été kidnappées, violées et, dans la majorité des cas, assassinées par les intégristes ». Mais il s'agit bien sûr des « intégristes » des services de renseignements, qu'on ne voit descendre des maquis qu'à travers les déclarations du ministre de l'Intérieur…
Le nombre des femmes enlevées, violées et assassinées de 1992 à 2006 dépasse très largement celui avancé officiellement par le DRS. Sa logique de guerre nous affirme que les rares « délivrées » racontent l'horreur des Antar Zouabri et autres « terroristes islamistes ». Mais sur toutes les autres, victimes de cette soldatesque criminelle qu'est devenue l'ANP, rien, pas un mot ! Ce n'est que lorsqu'une commission d'enquête indépendante exercera sa mission, que la vérité prendra forme. Le viol, ce crime si particulier, cette tache honteuse que les femmes algériennes taisent, c'est comme la torture : il maintient la victime dans une situation de dominé, comme l'Algérie soumise hier par un colonialisme criminel, toujours soumise aujourd'hui par une dictature sanguinaire.
Pendant la guerre du Viêt-Nam, dans les années 60 et 70, l’opinion publique mondiale a appris, grâce à la télévision, que les troupes étasuniennes se livraient à des massacres de civils vietnamiens, n’hésitant pas à raser des villages entiers. Ce que l’on sait moins, c’est que les soldats étasuniens s’en sont également pris très souvent aux femmes vietnamiennes en tant que telles, avec la volonté, semble-t-il, d’humilier leurs compagnons et leurs proches masculins. Selon certains témoignages, au sein des troupes étasuniennes qui combattaient au Viêt-Nam, un soldat qui violait une femme, seul ou en groupe, puis tuait sa victime recevait le titre de «double vétéran(32)».
Vers la fin du premier semestre 2004, des soldats du régiment des Assam Rifles (Tirailleurs de l’Assam) … Scandalisées par les meurtres et par l’impunité avec laquelle l’armée pouvait ainsi violer et tuer, les membres d’un collectif de femmes ont voulu exprimer leur écœurement face aux fréquentes atrocités perpétrées par des membres des forces de sécurité contre des femmes ou des enfants, en se déshabillant sur la place publique et en mettant au défi les soldats de venir les violer. Cet acte courageux et symbolique a été le point de départ d’une vague de manifestations de masse, qui ont finalement amené le gouvernement de l’État à demander au pouvoir fédéral d’abroger
« Les militaires violent pour créer la peur, et ainsi ils peuvent contrôler…
Les sociétés pétrolières sont des fabriquants d’armes, elles sont reliées aux trafiquants d’armes, ce sont souvent des sociétés canadiennes inscrites dans des paradis fiscaux….
10 000 Chinois travaillent dans les sociétés pétrolières au Soudan, donc
« Les Etats-Unis crient au génocide, mais ils collaborent avec les services soudanais dans la guerre au terrorisme….
Vous voyez tous les dilemmes et le jeux égoistes des intérêts des supers puissances économiques, ces gros joueurs d’autrefois sont encore de gros joueurs aujourd’hui… Les E-U sont au Soudan et en Afghanistan pas par altruisme mais par intérêt, ils vendraient leurs mères aux orphelins pour leurs seuls intérêts… l’HUILE esxiste dans le Sud du Soudan, mais le NORD qui gère ce pays ne veut pas que le Darfour se nationalise…. Comme ces pays conquérants jouent à
‘’L’ARMÉE ANGLAISE POURSUIVIE POUR LE VIOL DE 650 FEMMES’’.
‘’LONDRES. Quelques 650 femmes Kényanes affirment avoir été violées par des soldats britanniques lors de leurs entraînements dans un camp situé au Kénya’’. ‘’Elles poursuivent en Cours le ministère de
« Les militaires violent pour créer la peur, et ainsi ils peuvent contrôler…
Les sociétés pétrolières sont des fabriquants d’armes, elles sont reliées aux trafiquants d’armes, ce sont souvent des sociétés canadiennes inscrites dans des paradis fiscaux….
10 000 Chinois travaillent dans les sociétés pétrolières au Soudan, donc
« Les Etats-Unis crie au génocide, mais ils collaborent avec les services soudanais dans la guerre au terrorisme….
Vous voyez tous les dilemmes et le jeux égoistes des intérêts des supers puissances économiques, ces gros joueurs d’autrefois sont encore de gros joueurs aujourd’hui… Les E-U sont au Soudan et en Afghanistan pas par altruisme mais par intérêt, ils vendraient leurs mères aux orphelins pour leurs seuls intérêts… l’HUILE esxiste dans le Sud du Soudan, mais le NORD qui gère ce pays ne veut pas que le Darfour se nationalise…. Comme ces pays conquérants jouent à
Tibérieux disait ‘’Les bêtes ont droit à des tanières, mais les humains qui ont des États doivent tout payer’’
GROUPES DE MILITAIRES TUENT SOURNOISEMENT
Premièrement, sachez qu’il existe UN GOUVERNEMENT MONDIAL depuis le 5ième siècle où deux super puissances se sont unies pour le former. Mais ils se font secret pour ne jamais être ciblés comme coupables de quoi que ce soit (les ‘’irresponsables’’).
C'est le métier des militaires que de DIVISER POUR REGNER, un pays joue au méchant et l'autre tente de se défendre et c'est comme cela qu'ils manipulent l'Humanité pour nous rendre docile et pour qu'on accepte tout ce que Londres décide
C’est le travail de bien des militaires que de s’infiltrer partout dans nos sociétés et nous épier pour leurs supérieurs hiérarchiques.
« Vous savez que nous pouvons le faire butter ou le rendre invalide, qu’en tant que Ministre, nos AGENTS Secrets sont partout et sans scrupules… » dit un Ministre à…
Des commandots habitués de tuer sont mandatés par Londres pour créer la terreur chez des populations paisibles
Voici ce qu’a déjà dit M. Robert Mc Namara, ancien président de
Conférence du 16 mars 2007 enregistrée à Montréal, sur le génocide au Darfour. CoNFÉRENCIERS : général Roméo Dallaire, rediffusée au canal 6 ce 12-4-8 à 3 hrs du matin.
« Le viol est un outil de guerre. Le viol est accepté ujourd’hui comme rme normle de guerre. Le viol pour créer la peur et pour manœuvrer la population. VIOLS MASSIFS » dit le général Romée Dallaire.
Quand on rencontre des enfants de 9 ans à moitié drogué avec une arme dans la mais….. alors on le tue, on le viol et le torture : voilà ce que font les militaires actuellement…. Il y a du viol massif qui se fait pour créer une nouvelle race et pour contribuer les races actuelles (au Darfour comme ailleurs). Ça c’est la réalité, c’est se qui se passe actuellement au Darfour et dans les autres pays en guerre…. Ils vont tuer même leurs propres mondes pour accomplir leurs objectifs…. Ils se font voler et violer par les polices du Soudan qui supportent ce génocide… il y a 1 PIPELINES au Soudan et la géopolitique qui est à l’œuvre et qui ne permet à
… nous dit publiuement à la télé le Général Dallaire.
« Les Etats-Unis qui crient au génocide mais en même temps les Etats-Unis contribueraient à ce génocide ». Vous voyez les intérêts de ces pays égoistes, dit le professeur ………..
Le Tribunal International de Presse ne parle pas de génocide mais de crime de guerre au Darfour
Les Armées capitalistes adoptent le terme de ‘’génocide’’ pour s’autoriser le droit d’intervenir, de foutre le bordel et de piller leurs ressources pendant ce temps de guerres divisantes.
Thierry Meyssan analyse une certaine conception nazie de l’homosexualité. La deuxième partie de cet article révèle les complicités qui ont permis, depuis des années, aux représentants en France de l’extrême droite pédophile d’échapper aux poursuites judiciaires. Le parti nazi, le NSDAP, n’était à l’origine qu’un groupe gay d’extrême droite se réunissant dans une taverne de Münich autour d’Ernst Röhm. Adolf Hitler, dont l’activité sexuelle reste énigmatique mais qui était probablement bisexuel, semble avoir été le premier non-gay à y adhérer. Au commencement de son engagement politique, Hitler prononce des éloges de l’homosexualité comme contestation païenne de la morale bourgeoise. Ainsi, en 1932, il décrit la SA comme " une communauté virile à but politique, une association de guerriers sauvages [...] [et non pas] une institution morale pour jeunes filles de la haute société ". Il fait l’apologie de " la beauté et de la pureté de la race ", de l’élitisme et des confréries guerrières, et pratique le " outing " de personnalités.
Michaël Kühnen (1956-1991). Il y développait une mystique paganiste des confréries masculines germaniques. Selon lui, les homosexuels " actifs " constituent une élite destinée à former des confréries guerrières au service de la horde. Kühnen trouva également une autre expression pour sa volonté de puissance, son mysticisme et sa sexualité : il fonda en Allemagne une société secrète, la loge Thelema de l’Ordo Templi Orientis (OTO). Il s’agit d’une secte luciférienne qui semble avoir pratiqué des orgies comprenant des viols collectifs d’enfant et des sacrifices humains. L’infiltration néofasciste et néonazie dans la minorité gay.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire